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dimanche, octobre 18, 2015

Élections Canada 2015 Duceppe convaincu d'obtenir la balance du pouvoir

http://ici.radio-canada.ca/sujet/

Mise à jour le samedi 17 octobre 2015 à 12 h 45 HAE
Gilles Duceppe (Archives)
Gilles Duceppe (Archives)  Photo :  PC/FRED CHARTRAND

« Non seulement on peut, mais on va l'obtenir! » À deux jours du vote, le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, prédit un gouvernement minoritaire et se montre convaincu d'obtenir la balance du pouvoir.
« Je réalise qu'on est plus près de la balance du pouvoir que jamais », a estimé Gilles Duceppe, en marge d'un rassemblement de sympathisants à Sept-Îles.
« Ce sont des enjeux importants... ce que ça veut dire détenir la balance du pouvoir quand on parle d'Énergie Est, surtout avec ce qu'on sait sur les libéraux avec Dan Gagnier, qui travaillait à la fois pour TransCanada et qui en parlait avec Justin Trudeau. »
Selon lui, le Bloc pourra défendre l'intérêt des Québécois dans de nombreux autres dossier que celui du controversé oléoduc, dont celui de la caisse de l'assurance-emploi « pillée par les autres partis », la défense les pêcheurs du Québec « qui ne reçoivent pas le même traitement que ceux des Maritimes » et « la place des femmes dans la société » (en référence au niqab). « C'est pour ça que c'est important la balance du pouvoir », dit-il.
Le chef bloquiste espère notamment récupérer la circonscription de Manicouagan, qui est tombé entre les mains du Nouveau Parti démocratique aux dernières élections.
La candidate du Bloc dans Manicouagan, Marilène Gill, croit que les gens vont revenir au parti de Gilles Duceppe. « Les gens me disent "on a essayé quelque chose d'autre à la dernière élection, maintenant on retourne au Bloc". »
Selon les commentaires qu'elle a recueillis sur le terrain, les gens seraient frustrés de la faible présence du député sortant du NPD, chez eux, ces quatre dernières années. « Déjà qu'on se sent loin ici du pouvoir en étant sur la Côte-Nord dans la deuxième plus grande circonscription du Québec, les gens n'avaient aucun contact, il y avait des refus d'invitation. Les gens sentent que les ponts sont coupés avec leur élu fédéral, donc ils souhaitent avoir quelqu'un qui va porter leur voix à Ottawa. »


Duceppe défend son absence à Lac-Mégantic
Par ailleurs, Gilles Duceppe a dû justifier son absence à Lac-Mégantic. Seul le chef du Nouveau Parti démocratique, Thomas Mulcair, a répondu à l'appel de la mairesse Colette Roy-Laroche, qui s'est dite déçue de tous les autres.
« On n'est pas allé, mais on a été les premiers à prendre position en faveur d'une voie de contournement [de la voie ferrée] », a répliqué Gilles Duceppe.
Talonné par les journalistes, il a ajouté qu'« on ne peut aller partout ». « Mais on a pris position clairement. On a dit que ça suffit l'auto-inspection des trains, on a dit qu'il faut faire disparaitre les [wagons de trains] DOT-111. On a repris toutes les revendications mises de l'avant par la mairesse », a-t-il justifié.

vendredi, octobre 16, 2015

L'affaire Ishaq: Duceppe se fait prudent

http://www.journaldemontreal.com/

RÉGYS CARON
MISE à JOUR 
POL-TOURNÉE DUCEPPE  GATINEAU - Gilles Duceppe invite les services secrets canadiens à faire leur travail et craint qu'un gouvernement conservateur se serve du cas de Zunera Ishaq pour restreindre les libertés des Canadiens.
Le chef du Bloc québécois a commenté avec prudence le reportage du Journal de Montréal révélant vendredi que Mme Ishaq était liée à une organisation musulmane caritative qui aurait elle-même des liens avec un groupe considéré comme terroriste en Europe.
Mme Ishaq s'est rendue célèbre au cours de la campagne électorale en obtenant de la Cour suprême du Canada de prêter serment de citoyenneté canadienne le visage voilé par un niqab. D'origine pakistanaise, Mme Ishaq œuvre au sein de l'antenne féminine du Islamic Circle of North America (ICNA), qui a versé 633 000 $ à la Fondation Al-Khidmat, bras de bienfaisance de l'organisation pakistanaise Jamaa-e-Islami, considérée comme un groupe terroriste en Europe.
«Si quelqu'un se faufilait, cela peut arriver, il faut voir le cas très précisément, dans chaque pays il y a des services de sécurité et certaines fois les services sont déjoués (...) Ce sont des allégations, il faut voir si les services de sécurité vont vérifier de telles allégations et éventuellement porter des accusations (...) Il faut éviter de faire des amalgames», a commenté M. Duceppe, à l'occasion d'un point de presse à Gatineau.
Le leader souverainiste a profité de l'occasion pour décocher une flèche à l'endroit du premier ministre conservateur sortant Stephen Harper. «Je souhaite que les services compétents fassent leur travail. Il ne faut pas tomber non plus dans l'excès et diminuer notre espace de liberté, il faut un équilibre entre liberté et sécurité.»
«La première chose que je commencerais à surveiller chez Stephen Harper, c'est la surveillance du Service canadien de renseignement et de sécurité (SCRS). Quand vous avez placé à la tête des services de sécurité canadiens un gars comme Arthur Porter, qui était consul plénipotentiaire de Sierra Leone, c'était une première dans l'histoire du renseignement. Dans les écoles militaires ou du renseignement, ça va être sûrement l'exemple d'une décision idiote appuyée par les partis fédéralistes à Ottawa, seul le Bloc a voté contre ça.»

jeudi, octobre 08, 2015

Élections Canada 2015 L'exception culturelle dans le PTP s'applique-t-elle au numérique? demande Duceppe

http://ici.radio-canada.ca/sujet/

Mise à jour le mercredi 7 octobre 2015 à 18 h 00 HAE
Gilles Duceppe en point de presse à Montréal
Gilles Duceppe en point de presse à Montréal  Photo :  PC/Peter Mccabe

Le chef du Bloc québécois a continué mercredi de soulever des interrogations sur les conséquences du Partenariat transpacifique pour le Québec.
Gilles Duceppe s'est intéressé plus particulièrement à l'industrie culturelle, exemptée de l'application de cet accord de libre-échange annoncé lundi. Toutefois, a relevé le chef bloquiste, une question précise posée par son parti au sujet des implications pour la production numérique est restée sans réponse.
« Il y a un développement important dans ce secteur, a souligné M. Duceppe. C'est par là que passe la culture de plus en plus. On le voit avec toute la question des redevances, tous ces débats qui ont lieu régulièrement. »
« Si l'entente fait en sorte que, par ce biais-là, la culture soit affectée, c'est grave et c'est dangereux pour notre culture. »— Gilles Duceppe, chef du Bloc québécois

« Est-ce que le volet numérique de la culture québécoise est protégé dans cette entente, oui ou non? » a demandé Gilles Duceppe.
Un fonds pour l'automobile « monopolisé » par l'Ontario?
Le chef bloquiste estime également que le Fonds d'innovation pour le secteur automobile, que le chef conservateur Stephen Harper a promis de bonifier, est « monopolisé par les grands constructeurs installés en Ontario ». M. Duceppe affirme qu'une vérification des comptes publics a permis de constater que depuis 2008, la totalité des sommes de ce fonds a été octroyée au secteur automobile ontarien.
Gilles Duceppe soutient que des industries québécoises pourraient aussi bénéficier de ce soutien. « Les entreprises innovantes du Québec oeuvrant dans l'automobile, les autobus, les camions et les autos électriques sont complètement laissées de côté par le programme », a déclaré le chef du Bloc.
Pour M. Duceppe, le milliard sur 10 ans promis par M. Harper révèle ses intentions. « C'est carrément une manoeuvre des conservateurs pour favoriser leur réélection en Ontario », a-t-il tranché.
Malgré tout, Gilles Duceppe tient à voir le texte du Partenariat transpacifique avant de porter un jugement final. Il critique la position de son adversaire néo-démocrate, Thomas Mulcair, qui a utilisé des termes forts pour dénoncer le contenu de l'accord.
« Ils auraient dû poser des questions et faire leurs travaux plutôt que de se lancer dans des formules ou déchirer quelque chose qui n'est pas encore écrit », a déclaré le chef bloquiste.
« On veut vérifier à fond et c'est sur cette base-là qu'on prendra une décision. Il faut regarder l'effet de telles mesures, est-ce que ça passe par une précision, est-ce que ça passe par des compensations, est-ce que ça passe par une réglementation différente », a ajouté M. Duceppe.

vendredi, octobre 02, 2015

Soir de débat au Québec: Mulcair et Duceppe tentent d'imposer l'enjeu

http://www.985fm.ca/national/nouvelles/

Publié par La Presse Canadienne le jeudi 01 octobre 2015 à 17h19. Modifié par Charles Payette le vendredi 02 octobre 2015
Soir de débat au Québec: Mulcair et Duceppe tentent d'imposer l'enjeu
OTTAWA - À quelques heures du débat qui opposera quatre chefs, Gilles Duceppe, dernier dans les sondages au Québec, tente d'entraîner les trois autres sur son terrain. Et Thomas Mulcair, qui est encore premier au Québec mais voit ses appuis dégringoler, cherche à freiner sa chute.
Jeudi matin, Gilles Duceppe a réclamé des engagements de ses adversaires.

«Ma crainte, c'est que le gouvernement Harper soit encore en train de sacrifier les intérêts du Québec pour servir les intérêts du Canada», a lancé M. Duceppe, qui soupçonne le gouvernement conservateur d'être prêt à sacrifier le système de la gestion de l'offre pour obtenir une signature du Partenariat transpacifique (PTP).

«Ce que je demande, c'est que chacun des chefs s'engage à ce qu'on tienne un vote à la Chambre des communes sur un éventuel Partenariat transpacifique. Je demande aussi à MM. Mulcair et Trudeau de s'engager à voter contre un tel accord si la gestion de l'offre n'est pas entièrement intacte», a réclamé le chef bloquiste.

Justin Trudeau n'a pas voulu dire si, une fois élu, il se sentirait lié par une entente négociée par le gouvernement conservateur à quelques jours du scrutin. Il a réitéré son appui pour la gestion de l'offre, puis a souligné l'importance du commerce international et la nécessité de conduire ce genre de négociations «de la bonne façon».

De son côté, M. Mulcair a tenu un discours enflammé sur la nécessité de défendre «l'intégralité» du système de la gestion de l'offre.

«Stephen Harper, évidemment, n'a pas de mandat, à 15 jours des élections, de négocier ça en catimini», a déclaré le chef néo-démocrate, après avoir accusé le premier ministre sortant de «brader nos fermes».

M. Harper n'a rien répondu à ces attaques. Il n'avait aucune activité publique, jeudi.

Mais trois de ses candidats québécois, Steven Blaney, Jacques Gourde et Maxime Bernier, avaient des manifestants à leurs portes. Des fermiers ont protesté contre le possible sacrifice, en tout ou en partie, du système de la gestion de l'offre.

Trois chefs à Montréal

MM. Duceppe, Mulcair et Trudeau étaient tous trois sur l'île de Montréal jeudi matin. C'est là que le dernier débat opposant quatre des chefs en campagne se tiendra vendredi soir, au réseau TVA.

Dans un discours au Musée d'art contemporain, M. Mulcair a rodé quelques-uns des arguments qu'il utilisera dans le débat de vendredi. Il a tenté de convaincre les électeurs qu'il est le seul à incarner le changement, en appelant ainsi au désir de plusieurs électeurs de se débarrasser du gouvernement conservateur.

Il a pris les exemples de la loi antiterroriste C-51, du pipeline Keystone XL, de la diminution des impôts des grandes entreprises et des enjeux environnementaux pour dire que conservateurs et libéraux logent à la même enseigne.

«Stephen Harper n'a pas d'objectif de réduction des gaz à effet de serre — pas plus que Justin Trudeau et les libéraux d'ailleurs. Justin Trudeau baisse les bras et dit qu'on n'a pas besoin de cible, parce que c'est trop difficile», a-t-il offert.

«C'est pas du changement ça! C'est du pareil au même!», a conclu M. Mulcair.

Et le niqab?

Mercredi soir, à Québec, le chef conservateur s'est fait applaudir par une foule de plus de 600 partisans lorsqu'il a, encore une fois, répété qu'il interdirait le port du niqab aux cérémonies de citoyenneté.

Jeudi, l'Assemblée nationale, à l'invitation de Françoise David, s'est prononcée unanimement pour condamner l'islamophobie. Même si la motion ne faisait pas référence au niqab, celle qui l'a rédigée n'a laissé aucun doute sur son intention de dénoncer le dérapage du discours autour de ce voile.

La députée David a souligné les déclarations intolérantes qui se multiplient sur les réseaux sociaux et s'en est pris particulièrement à Stephen Harper.

«Est-ce qu'il n'y a pas d'autres sujets qui devraient attirer l'attention de l'ensemble des Québécois?», demandait Mme David, jeudi, à Québec.

Reste à voir si cet appel à un changement de discours sera entendu au débat de TVA. Chose certaine, MM. Mulcair et Trudeau aimeraient bien qu'on évite le sujet. La dégringolade du NPD dans les sondages au Québec a été liée à son refus d'interdire le niqab. Et le NPD et les libéraux ont été attaqués à répétition par MM. Harper et Duceppe sur ce front.

«Nous, on va continuer de rester engagés sur l'économie. Et si mes adversaires veulent distraire les gens (...), ils sont en train de manquer leur coup dans cette élection», a répété M. Trudeau, jeudi matin.

Le chef libéral a fait ces déclarations à Pointe-Claire, où il a, par ailleurs, fait miroiter du financement fédéral pour un moyen de transport rapide vers l'aéroport qui porte le nom de son père.

M. Trudeau a souligné la promesse libérale d'investissements en infrastructure: 60 milliards $ en dix ans. Puis, il a assuré qu'un gouvernement libéral appuierait deux projets montréalais: un système léger sur rail (SLR) sur le nouveau pont Champlain et un projet de train vers l'ouest de l'île.

En l'absence de M. Harper, jeudi, comme la veille, le ministre sortant des Finances, Joe Oliver, a fait une apparition publique. M. Oliver a promis qu'un gouvernement conservateur réélu imposerait des peines minimales aux fraudeurs.

dimanche, septembre 27, 2015

Campagne: Mulcair et Duceppe reprennent le collier, mais pas Harper et Trudeau

http://www.985fm.ca/national/nouvelles/

Publié par La Presse Canadienne le dimanche 27 septembre 2015 à 04h19. Modifié par Jacques Thériault à 08h08.
Campagne: Mulcair et Duceppe reprennent le collier, mais pas Harper et Trudeau
MONTRÉAL ? Pendant que les chefs conservateur et libéral, Stephen Harper et Justin Trudeau, prennent une pause dimanche dans la campagne électorale fédérale, pour une deuxième journée de suite, les leaders néo-démocrate et bloquiste, Thomas Mulcair et Gilles Duceppe, ont prévu des activités publiques.
Thomas Mulcair participera en après-midi à une consultation publique dans la circonscription ontarienne de Toronto Centre, un bastion libéral que les néo-démocrates tentent de conquérir.

Quant à Gilles Duceppe, il fera du porte-à-porte dans la circonscription montréalaise où il se présente, Laurier-Sainte-Marie.

A l'exception de M. Duceppe, les chefs se préparent également pour le quatrième débat qui les opposera lundi à Toronto.

samedi, septembre 12, 2015

Harper, Trudeau, Mulcair et Duceppe s'accordent un congé

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Publié par La Presse Canadienne le samedi 12 septembre 2015 à 04h11. Modifié par 98,5 fm à 08h18.
Harper, Trudeau, Mulcair et Duceppe s'accordent un congé
Thomas Mulcair, Stephen Harper, Justin Trudeau, Elizabeth May et Gilles Duceppe/Montage photos: archives PC
MONTRÉAL - La campagne électorale fédérale prend une pause en ce samedi.
Stephen Harper, Thomas Mulcair, Justin Trudeau et Gilles Duceppe s'accordent un repos.

Seule la chef du Parti vert, Elizabeth May, a prévu une activité publique. Elle participera à un défilé de la fierté en Colombie-Britannique.

La campagne entrera dimanche dans sa 7e semaine.
Thomas Mulcair et Gilles Duceppe reprendront le collier, alors que les autres chefs n'ont pas encore fait connaître leur horaire.

dimanche, août 09, 2015

La campagne reprend pour Harper, Mulcair et Trudeau

http://www.985fm.ca/national/nouvelles/

Publié par La Presse Canadienne le dimanche 09 août 2015 à 06h38. Modifié par Léandre Drolet à 07h27.
La campagne reprend pour Harper, Mulcair et Trudeau
Stephen Harper
MONTRÉAL - Après une pause d'une journée dans leur campagne électorale, les chefs du Parti conservateur, du Nouveau Parti démocratique et du Parti libéral, Stephen Harper, Thomas Mulcair et Justin Trudeau, reprennent le boulot dimanche.
Stephen Harper sera à Ottawa, puis à Québec.

Thomas Mulcair participera à un rassemblement à Vancouver.

Justin Trudeau sera accueilli par des militants à Ottawa.

Quant au chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, qui n'a pas fait relâche samedi, il demeure dans la grande région de Montréal.
Il fera campagne à Terrebonne, en compagnie du député péquiste Bernard Drainville.