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vendredi, juillet 31, 2015

Josée Verner combat un cancer

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Publié par Jonathan Bernard pour (Québec) FM93 le vendredi 31 juillet 2015 à 17h28.
Josée Verner combat un cancer
Josée Verner/Parlement du Canada
QUÉBEC - L'ex-ministre conservatrice de la région de Québec, Josée Verner, est atteinte d'un cancer du rectum.
En entrevue à Radio-Canada, la sénatrice a expliqué avoir récemment été informée de son état de santé par son médecin.
Le député caquiste de Lévis, François Paradis, qui a récemment livré un combat contre le cancer, a réagi à la nouvelle sur Twitter lui disant d'être courageuse.

Ottawa et la province fournissent 100 M$ à Toyota en Ontario

http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/economie/

Mise à jour le vendredi 31 juillet 2015 à 7 h 24 HAE   Radio-Canada avec La Presse Canadienne
 Photo :  AFP/AFP/Getty Images/Justin Sullivan

Le gouvernement de l'Ontario et le fédéral ont mis de côté leurs différends pour faire équipe et offrir de l'aide financière au constructeur automobile Toyota afin qu'il augmente sa capacité de production dans le sud de l'Ontario.
L'annonce, qui a lieu ce matin, a été devancée à cause du déclenchement attendu de la campagne électorale fédérale d'ici lundi.
Les deux ordres de gouvernement fourniront un total de 100 millions de dollars sur l'investissement de 421 millions planifié par Toyota à ses installations de Cambridge. Quelque 25 postes hautement spécialisés doivent être créés. L'investissement aidera aussi à protéger 8000 emplois.
Investissements gouvernementaux :
  • Subvention de 42,1 millions de dollars de l'Ontario
  • Prêt remboursable de 58 millions de dollars du fédéral
L'automne dernier, l'Ontario avait prêté 85,7 millions à Honda pour son projet d'expansion de 857 millions à Alliston, au nord de Toronto.
Annonce devancée
Des sources de la CBC affirment que l'annonce d'aujourd'hui était originalement planifiée pour la semaine prochaine, mais qu'elle a été devancée à la demande des conservateurs à Ottawa.
Un gouvernement ne peut annoncer de nouveaux investissements durant une campagne électorale.
Le ministre d'État responsable de l'Agence fédérale de développement économique pour le sud de l'Ontario, Gary Goodyear, sera présent à Cambridge en matinée aux côtés du ministre ontarien du Développement économique, de l'Emploi et de l'Infrastructure, Brad Duguid.
Toyota Motor Manufacturing Canada a trois usines dans le sud de l'Ontario, soit deux à Cambridge - où sont construits des modèles Corolla, Lexus RX 350 et Lexus RX 450h - et une à Woodstock, où sont construits des modèles RAV4.

Etats-Unis : elle fait son shopping avec son bébé mort dans son sac

http://www.leparisien.fr/faits-divers/

31 Juil. 2015, 12h11
Illustration. Né la veille des faits, la jeune fille avait l'intention d'aller enterrer le nouveau né après le déjeuner.
Illustration. Né la veille des faits, la jeune fille avait l'intention d'aller enterrer le nouveau né après le déjeuner. Wikipedia Commons

Tiona Rodriguez, une new-yorkaise de 18 ans a été inculpée de meurtrejeudi à New York. Elle était accusée d'avoir étouffé son nouveau-né, retrouvé dans son sac à main, alors qu'elle faisait du shopping dans un magasin de sous-vêtements.


L'adolescente a plaidé non coupable au tribunal de Manhattan, et a été incarcérée. «Il n'y a pas de victime plus sans défense qu'un nouveau-né», a commenté jeudi le procureur de Manhattan Cyrus Vance.

Un détour par le centre commercial

L'histoire remonte au 17 octobre 2013. Ce jour là, la jeune fille faisait son shopping à un magasin Victoria Secret de Manhattan avec une amie. Avant de sortir du magasin, elle est interpellée par un agent de sécurité, qui la soupçonnait de vol à l'étalage. Alerté par une forte odeur, il avait alors trouvé le petit corps dans le sac à main de l'adolescente, avec une paire de jeans volés. 

Après son arrestation, elle avait affirmé que le bébé était mort-né, mais le médecin légiste a ensuite conclu que le bébé, un petit garçon de 3,6 kg, était bien mort étouffé.

Selon l'enquête, la jeune mère, qui habite Brooklyn, avait caché sa grossesse à sa famille et accouché la veille dans la salle de bain d'une amie, dans le Queens. Le bébé aurait été étouffé quelques minutes plus tard. Le lendemain, l'adolescente était sortie avec l'intention de se débarrasser du corps en l'enterrant quelque part avant d'aller manger. En chemin, elle s'était finalement arrêtée au magasin de sous-vêtements.

Une mort similaire en 2012

L'adolescente, déjà mère d'un enfant de 4 ans aujourd'hui, avait eu un autre enfant en 2012, dans sa baignoire. Elle avait, durant la naissance, discuté par SMS avec son petit-ami de la façon de s'en débarrasser, avant de lui annoncer qu'il était mort. «Elle a peut-être tué le bébé, il était peut-être mort-né», a déclaré jeudi à propos de ce deuxième enfant la procureure adjointe Rachel Ferrari lors de sa comparution.

Hydro-Québec demande une hausse de ses tarifs de 1,9 % à compter d'avril 2016

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Publié par La Presse Canadienne le jeudi 30 juillet 2015 à 16h40. Modifié par Léandre Drolet à 22h12.
Hydro-Québec demande une hausse de ses tarifs de 1,9 % à compter d'avril 2016
MONTRÉAL ? Hydro-Québec demande à la Régie de l'énergie le droit d'augmenter ses tarifs d'électricité de 1,9 pour cent à compter du 1er avril 2016, pour tous les clients résidentiels et la majorité des clients d'affaires.
Le ministre de l`Énergie et des Ressources naturelles, Pierre Arcand.
 
 
 
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La société d'État a déposé sa demande de hausse tarifaire — la moins élevée des trois dernières années — en la justifiant par l'augmentation des coûts d'approvisionnement et par les coûts liés aux grands froids des derniers hivers.

«Les deux hivers les plus froids de tout l'historique d'Hydro-Québec», a précisé jeudi en appel conférence Daniel Richard, président d'Hydro-Québec Distribution.

Ces frais accrus sont toutefois tempérés par d'autres facteurs, qui ont permis de réduire la hausse demandée, soit l'augmentation des revenus, les gains de productivité de l'entreprise — entre autres par l'installation des compteurs de nouvelle génération qui a aussi mené à la réduction du personnel — et la baisse du coût du service, notamment parce que l'augmentation de la clientèle fait en sorte que les frais fixes sont répartis sur un plus grand nombre de clients, a fait valoir Hydro-Québec.

Si la demande est acceptée, elle signifie une augmentation moyenne de 1,39 $ par mois pour un logement, de 2,53 $ par mois pour une petite maison et de 3,31 $ mensuellement pour une maison moyenne.

L'augmentation serait limitée à 1,2 pour cent pour les grandes entreprises qui paient le tarif industriel.

«On peut considérer que les hausses sont raisonnables», a commenté M. Richard. «Quand on compare nos tarifs avec l'ensemble de l'Amérique du Nord, les tarifs résidentiels à Hydro-Québec demeurent les plus bas.»

Et même si cette hausse est «légère», elle n'est pas faite au détriment de la qualité du réseau, qui est maintenue, soutient-il.

Pour 2015, Hydro-Québec avait été autorisée à augmenter ses tarifs d'électricité de 2,9 pour cent, après avoir demandé une hausse plus substantielle de 3,9 pour cent. L'année précédente, l'augmentation avait été de 4,3 pour cent.

Le ministre de l'Énergie et des ressources naturelles, Pierre Arcand, n'a pas élaboré jeudi sur cette demande qui venait tout juste d'être annoncée, soulignant de plus qu'elle ne relevait pas de lui, mais bien de la Régie de l'énergie.

Il a toutefois déclaré qu'il «est dans l'intérêt des Québécois que les coûts soient autour de l'inflation».

Dans ce but, il dit avoir fait pression sur Hydro-Québec pour qu'elle réalise des gains d'efficience, ce qui peut notamment être fait avec les compteurs intelligents, a avancé le ministre.

Selon les projections les plus récentes de la Banque du Canada, l'inflation avoisinerait les deux pour cent en 2016.

Cette hausse de 1,9 pour cent correspondrait plus ou moins à l'inflation, a aussi commenté Sylvie Roy, porte-parole de la Coalition Avenir Québec (CAQ), ce qui est une bonne chose selon elle.

Mais il ne faut pas oublier que les Québécois ont été frappés par de fortes augmentations ces dernières années, dit-elle. «Hydro-Québec doit se recentrer, être un producteur d'électricité et non un percepteur d'impôts.»

Mme Roy a parrainé à l'Assemblée nationale une pétition signée par quelque 54 000 personnes qui réclament une baisse immédiate de 10 pour cent des tarifs d'électricité.

Selon l'Union des consommateurs, la hausse demandée est peut-être plus faible que les dernières, «mais les consommateurs québécois ont quand même vu leur facture grimper de façon assez importante ces dernières années», souligne Philippe Viel, porte-parole de l'organisme. Il note qu'Hydro-Québec a procédé à des augmentations totalisant près de 10 pour cent au cours des trois dernières années, soit trois fois plus que l'inflation.

Selon lui, les raisons offertes par l'entreprise d'électricité pour justifier sa demande ne sont pas valables. Les hivers ont été froids mais Hydro-Québec a acheté de l'électricité supplémentaire à fort prix à sa division «production», alors qu'il ne s'agit que d'un transfert à l'interne. De plus, l'augmentation de ses coûts d'approvisionnement est en lien avec une décision gouvernementale, soit l'achat d'électricité provenant de l'éolien, qui coûte cher. Le coût de cette politique ne devrait pas être refilé aux consommateurs, croit M. Viel.

Les projections effectuées pour 2016-17 auraient plutôt dû mener à un maintien, voire une baisse des tarifs, ajoute-t-il.

Hydro-Québec avait déjà demandé des baisses tarifaires dans le passé, notamment pour les années 2011-12 et 2012-13.

Comme pour chaque demande de la société d'État, des audiences publiques auront lieu, lors desquelles les personnes intéressées pourront faire valoir leur point de vue sur la hausse demandée. C'est la Régie de l'énergie qui a le dernier mot sur les tarifs.

Affaire Dziekanski: la femme de l'agent qui s'est suicidé poursuit la GRC

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Publié par La Presse Canadienne le jeudi 30 juillet 2015 à 22h29.
Affaire Dziekanski: la femme de l'agent qui s'est suicidé poursuit la GRC
VANCOUVER — La femme d'un agent de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) qui s'est suicidé il y a deux ans affirme que son mari a été utilisé comme bouc émissaire par la force policière dans le dossier de la mort de Robert Dziekanski à l'aéroport de Vancouver en octobre 2007.
Dans sa requête à la Cour Suprême de la Colombie-Britannique, Sheila Lemaître déclare que son mari, Pierre, s'est fait dire qu'il perdrait son emploi s'il tentait de rectifier les informations erronées fournies aux médias au sujet de la nuit où l'immigrant polonais est décédé sur le plancher de l'aéroport après avoir reçu une décharge de pistolet à impulsion électrique.

Le sergent Pierre Lemaître était porte-parole officiel de la GRC dans le dossier de la confrontation mortelle entre des agents de la GRC et Robert Dziekanski.

La requête à la Cour souligne que M. Lemaître voulait corriger les informations erronées données aux médias, mais qu'il avait reçu l'ordre de ne pas le faire. Par conséquent, il a été accusé par des gens du public d'être «le menteur de la GRC» et «le gardien de l'image (spin doctor) de la GRC».

Le document précise que la force policière savait que le sergent Lemaître souffrait d'une détresse psychologique aigue causée par la négligence de la GRC et que cet état d'esprit pouvait lui inspirer des idées suicidaires.

Aucune de ces allégations n'a été prouvée en Cour et aucun montant spécifique de compensation n'est mentionné dans le document juridique, mais la requête déclare que la famille cherche à obtenir des dédommagements de la part du procureur général du Canada et du ministère de la Justice de la Colombie-Britannique, qui sont tous deux redevables des actions de la GRC.

La vidéo d'un passant, dévoilée après la confrontation entre la police et M. Dziekanski, montrait une version bien différente de celle livrée aux médias par la GRC.

En fait, les quatre agents impliqués ont été par la suite accusés de parjure pour leur témoignage livré dans le cadre d'une enquête publique sur la mort de l'immigrant polonais.

Deux des agents ont été reconnus coupables, et deux ont été acquittés.

M. Lemaître avait pris un congé pour des raisons de santé en février 2013, et s'est «suicidé» le 13 juillet 2013, indique le document de la poursuite.

La déclaration allègue qu'un aumônier de la GRC a pris le contrôle des arrangements funéraires, déterminant quelles pièces musicales pouvaient être jouées, et affirmant qu'il était «absolument essentiel» qu'il approuve tous les éloges funèbres.

Il aurait été dit à l'épouse de M. Lemaître, la veille des funérailles, qu'elle ne pourrait pas prononcer un éloge. Selon l'énoncé de la poursuite, lorsqu'elle a demandé qui l'ordonnait, l'aumônier a dit: «Vous savez qui signe mes chèques.»

jeudi, juillet 30, 2015

Les sénateurs suspendus vont recevoir leur salaire durant les élections fédérales

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Mise à jour le mercredi 29 juillet 2015 à 14 h 07 HAE   Radio-Canada avec CBC
Les trois sénateurs suspendus sans salaire: Pamela Wallin, Patrick Brazeau et Mike Duffy
Les trois sénateurs suspendus sans salaire: Pamela Wallin, Patrick Brazeau et Mike Duffy

Les sénateurs Mike Duffy, Pamela Wallin et Patrick Brazeau, qui sont suspendus sans solde depuis novembre 2013, recevront leur salaire dès le déclenchement de l'élection fédérale.
Ils pourraient donc tirer profit d'un déclenchement hâtif des élections puisque leur suspension n'est valide que durant la session parlementaire et s'annulera lorsque le Parlement sera dissous.
Un porte-parole du Sénat a confirmé qu'aucune autre démarche n'a à être entreprise pour que les chèques de paie soient envoyés. 
Les trois sénateurs recommenceront donc à toucher leur salaire annuel de 142 000 $ chacun, malgré ce qui leur est reproché. Ils auront aussi droit à leur compte de dépense de logement et pourront réclamer des indemnités journalières s'ils sont à Ottawa ou s'ils peuvent justifier qu'ils travaillaient pour le Sénat.
Mike Duffy fait face à 31 chefs d'accusation de fraude, d'abus de confiance et de corruption. Son procès doit reprendre à Ottawa le 12 août.
Patrick Brazeau, qui est accusé de fraude, subira aussi un procès plus tard cet automne. Pamela Wallin n'a subi encore aucune accusation, mais elle fait toujours l'objet d'une enquête par la Gendarmerie royale du Canada (GRC).
Les sénateurs seront payés mensuellement et leur salaire sera ajusté en fonction du moment du déclenchement des élections.
Ils ne pourront toutefois pas accéder à leur pension puisque le gouvernement a apporté des modifications, en mars dernier, à la loi sur les indemnités de retraite des parlementaires pour empêcher les sénateurs de la prendre s'ils sont suspendus.
Les trois sénateurs ne reçoivent plus de salaire ni d'avantages liés à leurs fonctions depuis qu'ils ont été suspendus en raison d'allégations de réclamations de dépenses frauduleuses.
Le Sénat pourra à nouveau suspendre les sénateurs après les élections, mais il devra attendre le début de la nouvelle session parlementaire.

Égypte : report du verdict du journaliste canadien Mohamed Fahmy

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Mise à jour le jeudi 30 juillet 2015 à 8 h 00 HAE   Radio-Canada avec La Presse Canadienne, Agence France-Presse et Associated Press

Mohamed Fahmy et son collègue Baher Mohamed, à l'extérieur du tribunal où le verdict devait être rendu jeudi.
Mohamed Fahmy et son collègue Baher Mohamed à l'extérieur du tribunal où
e verdict devait être rendu jeudi.
  Photo :  GI/KHALED DESOUKI


Mohamed Fahmy devra attendre encore un peu avant de connaître le verdict à son procès pour incitation au terrorisme. Le tribunal égyptien qui devait rendre sa décision dans le dossier du journaliste canadien et de deux de ses collègues d'Al-Jazira a reporté l'audience qui devait avoir lieu jeudi.
Selon des sources d'Associated Press, le prononcé du verdict de M. Fahmy, de l'Australien Peter Greste et de l'Égyptien Baher Mohamed a été remis parce que le juge responsable de la cause, Hassan Farid, est malade.
L'agence officielle Mena affirme que la décision sera rendue le 2 août. Sur Twitter, Mohamed Fahmy a lui-même évoqué cette date, après une période de confusion. Plus tôt dans la journée, des proches des accusés et des avocats engagés dans le dossier avaient avancé la date du 8 août.
Furieux, Mohamed Fahmy a déclaré que ce report était une « insulte » pour les accusés et leur famille.
« Nous vivons un cauchemar depuis 19 mois. Je vois ce report comme une insulte pour nous, nos familles et nos avocats, parce que personne ne nous a informés officiellement. »— Mohamed Fahmy

Baher Mohamed affirme pour sa part que ce report est « très étrange », voire « troublant », puisque les avocats des accusés n'en ont pas été informés. « Je ne veux rien prédire au sujet du verdict. Tout peut arriver », a-t-il déclaré.
Aux journalistes venus assister au prononcé du verdict, Mohamed Fahmy a annoncé son mariage avec sa conjointe Marwa Omara.
Aux journalistes venus assister au prononcé du verdict, Mohamed Fahmy
a annoncé son mariage avec sa conjointe Marwa Omara
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 Photo :  Asmaa Waguih / Reuters

Mohamed Fahmy était le chef de bureau au Caire du réseau anglophone d'Al-Jazira lorsqu'il a été arrêté avec Peter Greste et Baher Mohamed, en décembre 2013. Il a passé plus d'un an en détention avant d'obtenir une libération sous caution, en février dernier.
Les trois journalistes sont soupçonnés par les autorités égyptiennes d'avoir soutenu les Frères musulmans, organisation dont était issu le président déchu Mohamed Morsi, et qui est désormais interdite au pays. On leur avait aussi reproché d'avoir falsifié des reportages qui pourraient mettre en péril la sécurité nationale.
Ils ont tous trois été condamnés à plusieurs années de prison chacun, avant qu'ils portent leur cause en appel et qu'une cour ordonne un nouveau procès, celui qui doit maintenant se conclure par le verdict attendu. Peter Greste a depuis été déporté, mais est néanmoins jugé par contumace.
Al-Jazira est un média basé au Qatar. Or, l'Égypte et le Qatar ont des relations tendues depuis 2013, dans la foulée de la destitution par les militaires de Mohamed Morsi. Le Qatar est un allié important des Frères musulmans.

La plus longue campagne électorale depuis 1929

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Publié par Léandre Drolet pour CogecoNouvelles le mercredi 29 juillet 2015 à 19h28. Modifié par Charles Payette le jeudi 30 juillet 2015
La plus longue campagne électorale depuis 1929
(Cogeco nouvelles) - Ottawa bouillonne ces jours-ci... et ce n'est pas seulement à cause de la chaleur torride.

C'est en raison aussi de l'annonce imminente du déclenchement de la campagne électorale, dimanche ou lundi.
Un reportage de Lina Dib
 
 
 
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On en parle en ondes :
Écouter
Mis en ligne le jeudi 30 juillet 2015 dans Puisqu'il faut se lever avec Marie Grégoire
Le premier ministre Stephen Harper pourrait annoncer le signal de départ dimanche à l'occasion d'un événement du Parti Conservateur dans la circonscription de Mont-Royal.
Radio-Canada a annoncé que la campagne sera déclenchée dimanche ou lundi.
Si les rumeurs se confirment, la facture sera salée puisqu'au lieu d'une campagne électorale de cinq semaines, on en aurait une de 10 ou 11 semaines. À 11 semaines, il s'agirait de la plus longue campagne de l'histoire canadienne depuis 1929.

UPAC: perquisitions au domicile et au chalet de l'ex-maire Tremblay

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Publié par La Presse Canadienne le mercredi 29 juillet 2015 à 15h04. Modifié par Charles Payette le jeudi 30 juillet 2015
UPAC: perquisitions au domicile et au chalet de l'ex-maire Tremblay
MONTRÉAL - Des agents de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) ont entrepris mercredi matin une perquisition au domicile de l'ancien maire de Montréal Gérald Tremblay, ainsi qu'une autre vers midi à son chalet dans les Laurentides, selon diverses sources.
Le reportage de Denis Couture
 
 
 
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On en parle en ondes :
La résidence de l'ex-maire qui a dirigé Montréal de 2002 à 2012 est située dans l'arrondissement Outremont.
Cette opération s'inscrit dans une récente série de près de 10 perquisitions de l'UPAC à propos du dossier de l'octroi du contrat des compteurs d'eau, il y a quelques années. Gérald Tremblay était maire lors de l'attribution de ce contrat, qui a été annulé plus tard lorsque des éléments de malversation ont été révélés.

La porte-parole de l'UPAC, Anne-Frédérick Laurence, n'a pas confirmé que ce sont les résidences de M. Tremblay qui étaient visées, mais a indiqué qu'une dizaine d'agents participaient à chacun des deux volets de l'opération.

Mme Laurence a affirmé que les agents prendraient le temps nécessaire pour obtenir les documents et les éléments de preuve qu'ils cherchent.

Des personnes pourraient aussi être rencontrées par l'UPAC, mais aucune arrestation n'est prévue.

Les documents et l'information recueillis seront analysés par les procureurs de l'UPAC et des décisions seront ensuite prises quant à la suite de l'enquête et au dépôt d'accusations, a ajouté la porte-parole.

Au printemps 2014, l'UPAC avait réalisé une première série de perquisitions liées au scandale des compteurs d'eau. Plus récemment, l'UPAC a notamment visé la résidence et les bureaux du maire de l'arrondissement Lachine, Claude Dauphin, le domicile de trois ex-élus de l'administration Tremblay, Sammy Forcillo, Francine Sénécal et Cosmo Maciocia, l'entreprise Construction Frank Catania, à Brossard, et la firme de communications MW3, autrefois connue sous le nom de Morrow Communications.

L'évadé Sweat collabore encore avec les enquêteurs un mois après sa capture

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Publié par Associated Press le mercredi 29 juillet 2015 à 20h56. Modifié par Léandre Drolet à 21h13.
L'évadé Sweat collabore encore avec les enquêteurs un mois après sa capture
Richard Matt et David Sweat.
RAY BROOK, New York - Un commandant de la police de l'État de New York ayant dirigé la poursuite de deux meurtriers s'étant échappés d'une prison a affirmé que l'évadé survivant collaborait toujours avec les enquêteurs un mois après sa capture.
Le commandant Charles Guess a affirmé, mercredi, que chaque entretien avec David Sweat avait donné des résultats et a dit s'attendre à encore davantage à mesure que l'enquête se poursuit.

David Sweat et Richard Matt se sont évadés du centre correctionnel Clinton, dans l'État de New York, le 6 juin.
Matt a été tué par balles par ses poursuivants, le 26 juin. Sweat a été blessé et capturé deux jours plus tard.

Sweat a commencé à donner de nombreux détails aux enquêteurs sur l'évasion peu après sa capture.
M. Guess a dit que la police était au fait d'environ 85 pour cent du chemin parcouru par les hommes pendant qu'ils tentaient d'échapper à une armée de poursuivants pendant environ trois semaines.

Une employée de la prison a plaidé coupable d'avoir facilité l'évasion.

mercredi, juillet 29, 2015

Duceppe et Péladeau pédalent ensemble en prévision des élections fédérales

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Publié par La Presse Canadienne le mercredi 29 juillet 2015 à 08h59. Modifié par Charles Payette à 10h20.
Duceppe et Péladeau pédalent ensemble en prévision des élections fédérales
Pierre Karl Péladeau et Gilles Duceppe/PC
REPENTIGNY, Qc - Alors que les rumeurs d'un déclenchement de campagne électorale dès dimanche font de plus en plus de bruit à Ottawa, le chef du Bloc québécois est déjà sur les routes... à vélo.
Gilles Duceppe quittait Repentigny mercredi matin et était attendu à Trois-Rivières à la fin de la journée.

À ses côtés, aussi sur deux roues: Pierre-Karl Péladeau, le chef péquiste.

Les deux hommes prévoyaient passer par L'Assomption, Maskinongé, Louiseville et Yamachiche. Le parcours ne sera pas facile alors que la canicule est bien installée au Québec. On prévoyait 30 degrés pour Trois-Rivières, mercredi.

Les deux politiciens souverainistes sont des habitués du vélo. M. Péladeau a fait les manchettes lorsqu'il a été blessé, en mai 2014, sur les routes de l'Estrie, après une violente chute.

En annonçant son retour en politique en juin dernier, M. Duceppe avait insisté sur sa bonne forme physique pour ceux qui soulignaient son âge. Il vient de fêter ses 68 ans. M. Duceppe aime rappeler qu'il parcourt 20 km par jour à vélo l'été et poursuit son entraînement sur vélo stationnaire quand la neige arrive.

L'UPAC chez Gérald Tremblay

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Publié par La Presse Canadienne le mercredi 29 juillet 2015 à 09h52. Modifié par Charles Payette à 10h10.
L'UPAC chez  Gérald Tremblay
Gérald Tremblay/Cogeco Nouvelles
MONTRÉAL - Des agents de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) ont entrepris mercredi matin une perquisition au domicile de l'ancien maire de Montréal Gérald Tremblay, selon diverses sources.

Le domicile de l'ex-maire qui a dirigé Montréal de 2002 à 2012 est situé dans l'arrondissement Outremont.
Cette opération s'inscrit dans une récente série de près de 10 perquisitions de l'UPAC à propos du dossier de l'octroi du contrat des compteurs d'eau, il y a quelques années. Gérald Tremblay était maire lors de l'attribution de ce contrat qui a été annulé plus tard lorsque des éléments de malversation ont été révélés.

La porte-parole de l'UPAC, Anne-Frédérick Laurence, n'a pas confirmé que c'est la résidence de M. Tremblay qui était visée mais a indiqué qu'une dizaine d'agents participaient à l'opération. Mme Laurence a affirmé que les agents prendront le temps nécessaire pour obtenir les documents qu'ils cherchent. Ils pourraient aussi y avoir interrogatoire mais aucune arrestation n'est prévue.

Au printemps 2014, l'UPAC avait réalisé une première série de perquisitions liées au scandale des compteurs d'eau. Plus récemment, l'UPAC a notamment visé la résidence et les bureaux du maire de l'arrondissement Lachine, Claude Dauphin, le domicile de trois ex-élus de l'administration Tremblay, Sammy Forcillo, Francine Sénécal et Cosmo Maciocia, la compagnie Construction Frank Catania, à Brossard, et la firme de communications MW3, autrefois connue sous le nom de Morrow Communications.

Transparence financière : Ottawa sanctionnera les Premières Nations récalcitrantes

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Mise à jour le mardi 28 juillet 2015 à 15 h 22 HAE
Bernard Valcourt, ministre fédéral des Affaires autochtones et du Développement du Nord
Bernard Valcourt, ministre fédéral des Affaires autochtones et du Développement du Nord  Photo :  Chris Wattie/Pool/The Canadian Press

Le gouvernement de Stephen Harper assure qu'il sanctionnera les communautés autochtones qui ne se seront pas conformées à la Loi sur la transparence financière des Premières Nations.
La Loi adoptée en 2013 oblige les communautés autochtones à rendre publics leurs états financiers et les salaires versés aux chefs et membres des conseils de bande.
Les Premières Nations qui n'ont pas respecté la date butoir pour publier leurs états financiers recevront des rappels. Mais à partir du 15 septembre 2015, Ottawa retiendra les fonds destinés aux services non essentiels de ces communautés, a expliqué mardi dans un communiqué le ministre des Affaires autochtones et du Développement du Nord, Bernard Valcourt.
« Notre gouvernement s'en tiendra fermement à l'imputabilité et à la transparence pour tous les Canadiens. Nous pressons les leaders autochtones de remplir les documents appropriés conformément à la Loi », a dit le ministre.
Bernard Valcourt souligne que l'application de la nouvelle Loi a permis à 98 % des communautés des Premières Nations du pays de savoir comment leurs chefs et leurs conseils de bande ont dépensé l'argent de leurs réserves.
Ottawa et huit Premières Nations se sont adressés aux tribunaux sur cette question. Le gouvernement fédéral veut obliger ces communautés à appliquer la Loi sur la transparence financière. Les huit Premières Nations veulent mettre fin à la poursuite d'Ottawa, car elles contestent la légalité de cette Loi.

Il y a 260 ans, la déportation des Acadiens


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Mise à jour le mardi 28 juillet 2015 à 13 h 24 HAE

Le 28 juillet 1755, le Conseil de Nouvelle-Écosse prend la décision de déporter les Acadiens. 260 ans plus tard, sa commémoration a eu lieu dans l'Acadie des provinces de l'Atlantique et partout dans le monde.
Mardi, plusieurs événements ont eu lieu afin de rendre hommage aux victimes de cette déportation. Un pèlerinage a été organisé de Dieppe, au Nouveau-Brunswick, à Grand-Pré, en Nouvelle-Écosse.
Les pèlerins ont visité des lieux historiques qui ont marqué l'Acadie. À 16 h 30 (HA), une cérémonie s'est tenue à la Croix de la Déportation à Horton Landing en Nouvelle-Écosse. Puis, à 17 h 55 (HA), les cloches des églises du Nouveau-Brunswick résonneront.
« Les Acadiens et les Acadiennes sont un peuple fort et fier, qui a su traverser des épreuves au fil du temps. »— Jeanne d'Arc Gaudet, présidente de la SANB.

« Les commémorations du Grand Dérangement honorent les victimes de la déportation. Cet événement tragique de notre histoire nous permet de nous pencher sur notre passé afin de le mettre en perspective avec notre avenir », a déclaré par voie de communiqué la présidente de la Société de l'Acadie du Nouveau-Brunswick, Jeanne d'Arc Gaudet.
Grand-PréLa croix du lieu historique national de Grand-Pré, en Nouvelle-Écosse Photo :  Rebecca Martel/Radio-Canada
La colonie acadienne comptait 13 000 membres en 1755 lorsque le lieutenant-gouverneur Charles Lawrence envisage de les déporter. Essentiellement, il conteste le droit à la propriété de ces derniers. Selon lui, les Acadiens occupent les meilleures terres de la Nouvelle-Écosse et représentent un obstacle à la formation d'une colonie anglaise protestante ,puisqu'ils n'auraient jamais prêté allégeance à la Couronne britannique.
« En cette journée commémorative du Grand Dérangement, l'Acadie accomplit son devoir de mémoire en rendant hommage aux victimes de la déportation et à celles et ceux qui ont choisi, au péril de leur vie, de ne pas plier, d'avoir eu le courage de résister, malgré la peur de la déportation, dont très peu sont revenus », a pour sa part déclaré le président de la Société nationale de l'Acadie, René Cormier.
Les déportations ont duré huit ans. Quelque 10 000 Acadiens ont été déportés, soit environ 75 % de la population de l'époque.

Le mollah Omar, chef taliban, serait mort

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   Radio-Canada avec Associated Press et BBC
Une rare photo du mollah Omar
Une rare photo du mollah Omar (archives)  Photo :  AP

Le chef des talibans afghans, le mollah Omar, est-il mort? Des rumeurs à ce sujet relayées depuis des jours par des médias afghans et pakistanais sont devenues plus sérieuses, mercredi, après que le gouvernement afghan eut annoncé l'ouverture d'une enquête pour éclaircir l'affaire.
S'appuyant sur des sources au sein des services de renseignement et du gouvernement afghan, la BBC avance pour sa part que le mollah Omar est en fait décédé depuis deux ou trois ans.
Les talibans afghans n'ont pas commenté l'affaire jusqu'ici. Un porte-parole a déclaré au réseau public anglais que le groupe, qui est toujours en lutte contre le gouvernement, compte publier une déclaration d'ici peu.
Ce n'est pas la première fois que la mort du mollah Omar est annoncée. Selon la BBC, c'est cependant la première fois que des rumeurs sont confirmées par des responsables du gouvernement.
Au cours des derniers jours, des talibans dissidents ont affirmé à des médias locaux que le mollah Omar est mort depuis un bon moment, et qu'il est de notoriété publique au sein du groupe qu'il est enterré dans la province de Zabol. 
« Nous avons vu ces informations », a fait savoir mercredi matin Zafar Hashemi, un adjoint du porte-parole du président afghan Ashraf Ghani. « Nous sommes en train de les vérifier, et aussitôt que nous obtiendrons une confirmation [...] nous informerons le peuple afghan et les médias. »
Le mollah Omar a été le chef d'État de facto de l'Afghanistan entre 1996 et 2001, bien que les talibans, dont il était le chef politique et spirituel, ne contrôlaient pas la totalité du pays. Son pays abritait alors le chef d'Al-Qaïda, Oussama ben Laden, qui avait d'ailleurs épousé une de ses filles.
Le gouvernement taliban du mollah Omar a été renversé par l'armée américaine, après que Washington eut attaqué son pays dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, imputés à Al-Qaïda. Il n'a pas été revu en public depuis.
Les talibans ont néanmoins continué de mener une sanglante insurrection contre les soldats américains et leurs alliés occidentaux, dont les Canadiens. Pas moins de 158 militaires canadiens sont morts en Afghanistan, et quelque 600 autres ont été blessés. 
Des pourparlers entre les talibans et le gouvernement afghan sont cependant en cours depuis peu. Une première rencontre a eu lieu à Murree, au Pakistan, le 7 juillet, et une seconde s'y tiendra vendredi. 

Un avion de British Airways s'est posé d'urgence à Montréal-Trudeau

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Mise à jour le mercredi 29 juillet 2015 à 7 h 28 HAE
Atterrissage d'urgence d'un avion de British Airways à l'aéroport Montréal-Trudeau
Atterrissage d'urgence d'un avion de British Airways à l'aéroport Montréal-Trudeau  Photo :  Radio-Canada
Un avion de British Airways s'est posé d'urgence mercredi matin à l'aéroport Montréal-Pierre-Elliott-Trudeau à la suite d'un appel à la bombe.
L'avion, un Boeing 747, faisait la liaison entre Las Vegas et Londres.
Selon les représentants de British Airways, le commandant de bord du vol BA274 a pris la décision de détourner l'avion par mesure de sécurité. 
L'appareil a atterri à 6 h sans problème. Les passagers ont été évacués dans le calme et conduits vers l'aérogare. L'avion transportait 312 passagers et 16 membres d'équipage.
Les douanes et British Airways évaluent la possibilité de faire sortir les passagers par les arrivées.
Des chambres d'hôtel à proximité de l'aéroport seront fournies pour les passagers évacués et British Airways leur procurera des billets d'avion pour d'autres vols en direction de Londres, a indiqué le transporteur britannique dans un communiqué mercredi matin.
Aucun détail n'a été fourni pour l'instant sur la façon dont l'appel à la bombe a été reçu.
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) affirme que les maîtres-chiens et tous les appareils requis pour de pareilles circonstances sont sur place. L'avion et les bagages seront inspectés. La compagnie aérienne travaille avec les autorités canadiennes.
L'avion reste maintenu au sol pour une durée indéterminée.

Garçon brûlé au 2e degré en s’amusant dans des jeux d’eau

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La jeune victime, Greyson Pelvin, a été brûlée grièvement aux pieds et à la main droite.
La jeune victime, Greyson Pelvin, a été brûlée grièvement aux pieds et à la main droite.  Photo :  Famille Pelvin

Exclusif - Un garçon d'un an devrait savoir aujourd'hui s'il subira des greffes de peau aux pieds, après avoir été brûlé grièvement lundi, en s'amusant dans des jeux d'eau à Georgetown, en banlieue de Toronto.
L'enfant a marché sur des panneaux de métal au sol, à quelques mètres de l'aire de jeu. Ces plaques recouvrent les valves du système d'eau des jets, comme c'est souvent le cas pour nombre de municipalités.
Or, le métal, exposé au soleil, était brûlant, raconte sa mère, Jill Pelvin.
« Quand je l'ai soulevé, la plante de ses pieds était brûlée. La peau était devenue jaune et s'était recroquevillée. »— Jill Pelvin, mère de la victime

L'enfant a aussi été brûlé à la main droite.
Il a été transporté d'urgence à l'Hôpital pour enfants de Toronto, où les docteurs lui ont prescrit de la morphine pour apaiser sa douleur.
Il devait rencontrer à nouveau des spécialistes, aujourd'hui, pour la suite de son traitement.
L'aire de jets d'eau et les plaques de métal sur lesquelles l'enfant s'est brûlé.
L'aire de jets d'eau et les plaques de métal sur lesquelles l'enfant s'est brûlé.  Photo :  CBC
Barrière installée
Les autorités municipales ont installé une clôture autour des portes de métal, à la suite des événements. L'avertissement « Danger » est apposé sur les plaques, ce qui n'est souvent pas le cas dans des aires de jeux d'eau semblables à Toronto, par exemple.
Néanmoins, Mme Pelvin envisage de poursuivre sa municipalité pour négligence.
Une porte-parole municipale indique qu'une enquête est en cours.