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mercredi, septembre 09, 2015

Le remaniement marque le début d'une nouvelle période, dit Péladeau

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Publié par La Presse Canadienne le mercredi 09 septembre 2015 à 14h13.
Le remaniement marque le début d'une nouvelle période, dit Péladeau
QUÉBEC — Le remaniement du caucus péquiste marque le début d'une nouvelle période au Parti québécois, a déclaré le chef péquiste Pierre Karl Péladeau.
M. Péladeau s'est défendu d'avoir écarté le député Stéphane Bédard du poste de leader parlementaire, confié à son ancien adversaire dans la course à la direction, Bernard Drainville.

En se rendant à une réunion du caucus péquiste, mercredi, M. Péladeau a rendu hommage à M. Bédard au poste de leader, qu'il occupait depuis près de sept ans.

«Écarté, c'est pas, je ne pense pas... La première chose que je voudrais souligner, c'est que Stéphane a fait un travail exceptionnel», a-t-il dit.

Selon le chef péquiste, le remaniement de son caucus, par lequel certains dossiers ont été confiés à de nouveaux députés, était adéquat à la suite de son élection comme chef en mai dernier.

«Nouvelle session et une nouvelle période s'ouvre, je pense qu'il était adéquat, puisque nous avons des compétences exceptionnelles au PQ dans notre députation, de faire en sorte de mettre en valeur ces compétences, cette diversité et cette énergie», a-t-il dit.

De son côté, M. Bédard a pris acte de la décision de M. Péladeau de lui confier les dossiers de la justice au sein du caucus, tout en soulignant au passage que ses fonctions de leader lui ont permis de développer ses compétences à gérer les crises.

«Je pense que Bernard et M. Péladeau ont donné les motifs et tout cela est bien correct, a-t-il dit. Quand on vient en politique, c'est pour servir une cause, des citoyens, les citoyens de Chicoutimi, tout comme l'ensemble des citoyens du Québec, ce que je vais continuer de faire.»

Mardi, M. Drainville a expliqué que le PQ devait sortir de la «bulle parlementaire» pour se reconnecter aux préoccupations de la population.

M. Bédard, qui a été chef intérimaire durant la dernière course à la direction, a affirmé qu'il n'a aucune intention de quitter ses fonctions en raison du remaniement.

«Je suis attaché au Parti québécois profondément, j'ai milité depuis l'âge de dix ans dans ce parti, a-t-il dit. Je suis né, presque, avec, je suis né en 1968.»

Mercredi, M. Péladeau a affirmé que le PQ veut être prêt à répondre aux attaques de ses adversaires contre le projet souverainiste, d'ici la prochaine campagne électorale de 2018.

«Nous allons avoir des réponses aux questions que les fédéralistes ont toujours posées et aussi, surtout, les campagnes de peur que nous connaissons, a-t-il dit. Nous l'avons connu en 1980, nous l'avons connu en 1995.»

Radio-Canada a rapporté mardi que le PQ veut mettre en place une stratégie pour transformer la formation en «machine de guerre», créant notamment une école pour enseigner aux militants les arguments pour l'indépendance du Québec, ce qui a suscité des railleries dans le camp libéral.

«Ils parlent d'ouvrir des écoles de souveraineté, ils veulent endoctriner, essayer d'exposer un point de vue à partir de réponses qu'ils disent qu'ils n'ont pas, a affirmé le leader parlementaire Jean-Marc Fournier. M. Péladeau nous a annoncé qu'il y aurait un institut (sur la souveraineté) parce qu'en ce moment il n'y a pas les réponses.»

Par ailleurs, M. Péladeau a tendu la main au gouvernement fédéral pour faciliter l'accueil au Québec de réfugiés syriens, dont l'exode massif provoque une crise en Europe.

Le PQ a offert son soutien au gouvernement avec le dépôt la semaine prochaine d'une motion soulignant l'ouverture du Québec envers les réfugiés.

Le chef péquiste a plaidé pour une accélération du traitement des demandes de réfugiés, s'en remettant à Ottawa pour évaluer les risques potentiels pour la sécurité intérieure.

«Les délais qui existent, qui se situent autour d'une année, sont absolument inconciliables avec le sentiment d'ouverture que nous devons avoir à l'égard de ce drame humain», a-t-il dit.

Les duchesses « ambassadrices » du Carnaval de Québec

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Mise à jour le mercredi 9 septembre 2015 à 15 h 26 HAE
Mahée Paiement, présidente du jury du concours des duchesses
Mahée Paiement, présidente du jury du concours des duchesses

Les duchesses du Carnaval de Québec devront avoir le sens de la fête et la fibre entrepreneuriale cette année afin de promouvoir l'événement et vendre le plus de bougies possible.
Pour la première fois, les heureuses élues participeront même à une mission commerciale à Paris pour promouvoir la fête. Un atout de taille pour l'organisation, affirme Alain April, président du conseil d'administration du Carnaval de Québec.
« Les duchesses prépareront un événement publicitaire qui contribuera au rayonnement de la fête. Elles travailleront aussi à la préparation d'une présentation du Carnaval qu'elles devront effectuer auprès de divers intervenants de l'industrie touristique française », explique-t-il.
Mahée Paiement a accepté la présidence du jury pour le choix des duchesses. La comédienne et femme d'affaires se dit « touchée et honorée » de remplir cette fonction. « La plus grosse fête hivernale au monde, ce n'est quand même pas rien. C'est très prestigieux le Carnaval de Québec. »
« Ce qui est génial c'est qu'en plus, cette année, on met vraiment l'emphase sur la fibre entrepreneuriale des filles, leur côté dynamique, leader. »— Mahée Paiement, présidente du jury

La mise en candidature débute le 10 septembre et se terminera le 24 septembre. Le nom des duchesses sera dévoilé le 8 octobre prochain.
Les candidates intéressées doivent avoir entre 18 et 35 ans et demeurer sur le territoire de la Capitale-Nationale ou de Chaudière-Appalaches.

« Ce qui reste, c’est beaucoup de fierté », affirme Stéphane Bédard

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Stéphane Bédard
Stéphane Bédard  Photo :  PC/Jacques Boissinot

Le député de Chicoutimi, Stéphane Bédard, a rompu le silence trois jours après avoir été écarté du poste de leader parlementaire, qu'il occupait depuis sept ans, par le chef du Parti québécois, Pierre-Karl Péladeau.
Dimanche, M. Péladeau a annoncé que Bernard Drainville serait le nouveau leader parlementaire de l'opposition officielle. Pour sa part, Stéphane Bédard s'est vu confier le poste de porte-parole en matière de justice au sein du cabinet fantôme.
Avant le caucus de la rentrée du Parti québécois, Stéphane Bédard s'est dit fier du travail qu'il a accompli au cours des sept années où il a été leader parlementaire.
Il a aussi nié avoir songé à démissionner à la suite de la décision de Pierre-Karl Péladeau. « Le chef a toute la latitude pour décider qui va occuper quelle fonction et moi, chaque fois que j'ai eu la confiance des chefs, j'ai servi la cause que vous connaissez », affirme M. Bédard.
« J'ai été au cœur de bien des choses. Je pense que j'ai développé une compétence dans la gestion de crise, ça, c'est clair. Maintenant ce sont d'autres défis qui m'attendent. »— Stéphane Bédard, député de Chicoutimi

Le député de Chicoutimi a rappelé qu'il milite pour la cause souverainiste depuis qu'il a dix ans et a insisté sur son attachement pour le Parti québécois. « Je regarde l'ensemble du caucus, je vois une équipe formidable », conclut Stéphane Bédard.
Une nouvelle ère pour Pierre-Karl Péladeau
Arrivé au caucus du Parti québécois quelques minutes après Stéphane Bédard, Pierre-Karl Péladeau n'a pas voulu dire qu'il avait écarté le député de Chicoutimi du poste de leader parlementaire de l'opposition officielle, soulignant plutôt le « travail exceptionnel » qu'il avait accompli.
« Une nouvelle session et une nouvelle période s'ouvrent, dit-il. Je pense qu'il était adéquat, parce que nous avons des compétences exceptionnelles au Parti québécois dans notre députation, de faire en sorte de mettre en valeur ces compétences, cette diversité et cette énergie qui est celle de notre députation et dans un dosage adéquat. »

Quatre juges sont poignardés en Chine

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Publié par Associated Press le mercredi 09 septembre 2015 à 08h51. Modifié par Charles Payette à 09h29.
Quatre juges sont poignardés en Chine
Freedigitalphotos.net
PÉKIN, Chine - Quatre juges chinois ont été poignardés par un homme apparemment ulcéré par un verdict, selon ce que rapportent des médias locaux.
Le suspect avait réussi à introduire un couteau à l'intérieur du tribunal.

L'homme a soudainement sorti son arme et attaqué les deux juges qui le questionnaient, selon un communiqué diffusé par un tribunal de la ville de Shiyan, dans la province centrale de Hubei.

Deux autres juges ont été blessés en tentant d'aider leurs collègues. Le suspect a éventuellement été arrêté par des policiers.

Un des juges a été touché grièvement, mais les trois autres n'ont subi que des blessures mineures.

On ne dispose d'aucun détail concernant la cause de l'homme ou le verdict.

Le plan de Péladeau pour transformer le PQ en une « machine de guerre »

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Mise à jour le mardi 8 septembre 2015 à 21 h 49 HAE
Péladeau veut faire du PQ une « machine de guerre »

Exclusif - Le chef du Parti québécois, Pierre Karl Péladeau, a l'intention de créer une école de formation permanente pour les militants de sa formation politique, selon les informations obtenues par Radio-Canada.
Un texte de Michel PepinTwitterCourriel et de Davide GentileTwitterCourriel
Dans sa volonté de rénover le parti, Pierre Karl Péladeau et le nouveau directeur général du PQ, Alain Lupien, ont indiqué à une centaine d'organisateurs, réunis à huis clos le 29 août à L'Assomption, leur volonté de réimplanter une école pour inculquer aux militants les arguments pour l'indépendance du Québec qui seront développés par l'Institut de recherche appliquée sur la souveraineté.
Cet institut, évoqué à maintes reprises par Pierre Karl Péladeau, serait lancé d'ici la fin de l'année.
C'est une stratégie sur trois ans, jusqu'aux élections de 2018, que les deux hommes ont présentée devant les organisateurs péquistes, dans le but de faire du Parti québécois une « machine de guerre », selon une expression mentionnée par des militants.
Dans cette stratégie, les médias sociaux joueront un rôle central, avec l'aide du logiciel « Nation Builder » qui a servi aux campagnes électorales de Barack Obama aux États-Unis. Ces logiciels de campagne électorale sont de plus en plus répandus parmi les partis politiques des démocraties occidentales.
Les deux hommes ont affirmé leur volonté de décentraliser le parti, de donner davantage de pouvoirs aux circonscriptions et d'encourager les initiatives locales. Ils entendent relancer le recrutement et le financement par une présence constante sur le terrain. Pierre Karl Péladeau était en tournée une partie de l'été, et Alain Lupien devrait se rendre dans toutes les circonscriptions du Québec.
Un parti résolument souverainiste
Le chef du PQ a déclaré qu'il entendait désormais afficher clairement la volonté de son parti de réaliser la souveraineté du Québec.
Vers la fin novembre, le parti formera un comité directeur qui sera chargé de préparer un congrès d'ici la fin 2016 ou dans les premiers mois de 2017. L'article 1 du programme du PQ sur l'accession du Québec à la souveraineté sera au coeur des débats. Actuellement, cet article prévoit qu'un gouvernement du Parti québécois consulterait les Québécois par référendum « au moment jugé approprié ».
« Ça passe ou ça casse »
Les discours des deux hommes ont été accueillis par des ovations par la centaine d'organisateurs présents, pour la plupart des présidents et des vice-présidents d'associations de circonscriptions. Les interventions sur le plancher ont été positives et la bonne humeur des militants était évidente à la sortie de cette rencontre. La détermination de Pierre Karl Péladeau de promouvoir l'indépendance du Québec, dès maintenant et jusqu'aux élections de 2018, a été perçue comme un virage majeur.
Au cours des derniers jours, plusieurs militants, organisateurs et élus du Parti québécois ont utilisé des expressions comme « ça passe ou ça casse » ou encore « c'est tout ou rien » pour décrire la prochaine campagne électorale de 2018.

La Ville de Montréal dévoile une plaque en hommage au Grand Antonio

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Publié par La Presse Canadienne le mercredi 09 septembre 2015 à 06h56. Modifié par Charles Payette à 08h07.
La Ville de Montréal dévoile une plaque en hommage au Grand Antonio
MONTRÉAL - La Ville de Montréal rendra hommage ce mercredi matin à un personnage mythique, le Grand Antonio, qui a marqué l'imagination en raison de ses exploits d'homme fort.
Le maire de l'arrondissement de Rosemont/La Petite-Patrie, François William Croteau, dévoilera à 11h00 une plaque commémorative en hommage au Grand Antonio au parc Beaubien, situé à l'angle de la rue du même nom et de la 8e Avenue.

Le photographe et biographe Sylvain Laquerre, qui a écrit une biographie du Grand Antonio, de même que l'auteure de livre pour enfants Élise Gravel, assisteront au dévoilement de la plaque commémorative. Mme Gravel a consacré au personnage un album illustré pour le faire connaître aux enfants.

Dans son livre, M.Laquerre raconte comment les démonstrations de force du Grand Antonio lui ont valu une renommée internationale. Il a été vu au cinéma et dans des émissions de télévision.

À la fin de sa vie, le Grand Antonio arpentait les rues du quartier Rosemont, où il vivait dans un petit appartement. On le voyait dans le métro et dans les parcs où il vendait des photos de sa gloire passée.

Le Grand Antonio, dont le vrai nom était Anton Barichievich, mesurait près de deux mètres et pesait quelque 225 kilos. Il avait vu le jour à Zagreb, en Croatie, en 1925; une vingtaine d'années plus tard, il s'est installé au Canada.

Il est mort à Montréal en septembre 2003.

Hausse possible de la TVQ : inquiétudes au Témiscamingue

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Mise à jour le mardi 8 septembre 2015 à 16 h 52 HAE

Le ministre des Finances Carlos Leitao
Le ministre des Finances Carlos Leitao

L'intention du gouvernement du Québec d'augmenter la taxe de vente d'environ 1% fait réagir au Témiscamingue. Le ministre des Finances, Carlos Leitao, a expliqué que la hausse de la TVQ s'incérait dans le cadre de la réforme de la fiscalité et promet en même temps de baisser les impôts. Plusieurs commerçants de la région frontalière avec l'Ontario n'écartent pas la possibilité de voir baisser leurs chiffres d'affaires, si l'annonce se concrétise.
Avec les informations de Boualem HadjoutiTwitterCourriel

Dany Giraudon, propriétaire de la boutique Les Trouvailles de Florentine de Ville-Marie
Dany Giraudon, propriétaire de la boutique Les Trouvailles de Florentine de Ville-Marie  Photo :  ICI Radio-Canada / Boualem Hadjouti

« Tout le monde paye la taxe, tandis que le remboursement de l'impôt, ce n'est pas tout le monde qui va toucher à ça », croit Dany Giraudon, propriétaire de la boutique Les Trouvailles de Florentine de Ville-Marie. « 1 % c'est énorme, continue-t-elle. On est près des lignes ontariennes. Les gens déjà qui viennent de l'Ontario magasiner ici, ils sont un peu titilleux sur la taxe, alors si on nous l'augmente, on ne sait pas où on s'en va. » Elle pense que cela pourrait même encourager ses clients à faire leurs achats en Ontario.
Un avis que partage Claude Bergeron, propriétaire du magasin Bergeron Électronique. Il s'attend à une baisse de sa clientèle. « Un consommateur sur quatre serait porté à penser un peu plus à aller voir [en Ontario], puis même tant qu'à aller voir, il va peut-être faire son achat immédiatement là », craint-il.
Pour les consommateurs rencontrés par notre journaliste, la nouvelle n'est pas réjouissante. « Je vais souvent de l'autre côté en Ontario. Si le gouvernement augmente la TVQ, c'est sur et certain que le monde du Témiscamingue, comme je les connais, on va tous aller vers l'Ontario », pense l'un. « Ce n'est pas une bonne affaire, on paye déjà assez de taxes », affirme un autre.
La Chambre de commerce Temis-Accord ne voit rien de positif dans cette annonce. La coprésidente, Véronique Girard, craint les effets négatifs sur certains commerces. « Nous souhaitons tout de même que les gens continuent d'encourager nos commerçants locaux », souligne-t-elle.
Le ministère des Finances affirme qu'il est en période de consultations et qu'il veut dégager un consensus autour de cette annonce.

Dame de 71 ans disparue à Sainte-Julie : la famille lance un appel à l'aide

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Publié par Charles Payette pour 98,5 fm le mercredi 09 septembre 2015 à 07h48.
Dame de 71 ans disparue à Sainte-Julie : la famille lance un appel à l'aide
Doris Hallé-Tremblay
(98,5fm) - Doris Hallé-Tremblay, une dame âgée de 71 ans, a quitté son domicile de Sainte-Julie dimanche en début d'après-midi et n'a pas été revue depuis.
En entrevue au 98,5fm, jeudi matin, son fils a expliqué que sa mère était confuse depuis un certain temps, possiblement après avoir mélangé des médicaments par mégarde.
Dimanche, les policiers ont été alertés puis en mesure de localiser le véhicule dans le secteur de Sorel grâce à un système GSP, mais en soirée, le signal a soudainement disparu.
Voilà maintenant trois nuits que Mme Hallé-Tremblay n’a pas donné signe de vie, ce qui est absolument anormal selon ses proches.
«Mon père est complètement viré à l’envers, c’est très difficile, ça fait trois jours qu’on ne dort pas, dit Martin Hallé. Et on sait qu’après trois jours, les chances de survie diminuent. On est dans un cul-de-sac présentement. On demande aux gens d’ouvrir l’œil entre Sorel et Varennes, en bordure des autoroutes et de leurs résidences.»
Doris Hallé-Tremblay conduit une Nissan Sentra 2015, de couleur grise immatriculée P10 HXV. N’hésitez pas à composer le 911 si vous l’apercevez.

L'Union européenne demande à ses membres d'accueillir 160 000 migrants

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Publié par Associated Press le mercredi 09 septembre 2015 à 07h37. Modifié par Charles Payette à 09h06.
L'Union européenne demande à ses membres d'accueillir 160 000 migrants
Louis Lacroix
BRUXELLES - Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a demandé mercredi aux États membres de l'Union européenne d'accueillir 160 000 réfugiés, en prévenant que la Grèce, l'Italie et la Hongrie ne peuvent plus porter ce fardeau seules.
On en parle en ondes :
M. Juncker a lancé un appel enflammé devant le Parlement européen, au moment de dévoiler une série de mesures pour aider l'Europe à affronter sa pire crise des réfugiés depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.

Il a averti que la crise ne disparaîtra pas magiquement, en rappelant que quelque 500 000 migrants sont entrés en Europe cette année, dont plusieurs qui proviennent de pays déchirés par la guerre comme la Syrie et l'Afghanistan.

M. Juncker a demandé pourquoi les pays qui combattent le groupe armé État islamique ne sont pas prêts à accueillir ceux qui fuient les djihadistes.

Certains pays ont dénoncé la proposition de M. Juncker avant même qu'elle ne soit officiellement annoncée. Les chances qu'elle soit maintenant adoptée sont incertaines, puisqu'elle devra être acceptée par la majorité des 28 pays membres de l'UE.

Le plan de M. Juncker implique le partage parmi 22 membres de 120 000 réfugiés provenant de Grèce, d'Italie et de Hongrie, en plus des 40 000 réfugiés issus de Grèce et l'Italie que l'UE demandait de répartir en mai.

Le Royaume-Uni, le Danemark et l'Irlande n'ont aucune obligation juridique de participer au stratagème, pendant que la Grèce, l'Italie et la Hongrie en sont bien évidemment exclues.

Malgré l'urgence de la situation, seulement 32 000 réfugiés ont été répartis depuis la première proposition. La Hongrie l'avait rejetée, tout comme la République tchèque, la Slovaquie et la Pologne.

M. Juncker a demandé que les deux plans soient acceptés lundi lors d'une rencontre des ministres européens de l'Intérieur, à Bruxelles. «Cela doit être fait de manière obligatoire», a-t-il dit.

À Berlin, la chancelière allemande Angela Merkel a appuyé le nouveau plan et elle aussi demandé qu'il soit obligatoire.

«Nous avons besoin d'un accord contraignant concernant une distribution contraignante des réfugiés parmi tous les États membres, en fonction de critères équitables», a-t-elle dit. L'Allemagne a accueilli plus de migrants que n'importe quel autre pays européen et devrait en accepter 31 000 de plus sous le nouveau plan.

M. Juncker a aussi annoncé une liste de pays jugés «sécuritaires», ce qui signifie que les migrants qui en proviennent risquent d'être refoulés. Ces pays sont tous des candidats à l'accession à l'UE: l'Albanie, la Bosnie-Herzégovine, le Kosovo, la Macédoine, le Monténégro, la Serbie et la Turquie.

Trois personnes âgées périssent dans une collision avec un camion

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Publié par Léandre Drolet pour CogecoNouvelles le mardi 08 septembre 2015 à 23h43. Modifié par Charles Payette le mercredi 09 septembre 2015
Trois personnes âgées périssent dans une collision avec un camion
Zone911
(Cogeco Nouvelles) - Une violente collision entre une automobile et un poids lourd a coûté la vie à trois aînés à Saint-Flavien, dans la région de Chaudière-Appalaches, mardi soir.

Les trois personnes, deux dames et un homme âgées entre 70 et 90 ans, sont mortes sur le coup. Le conducteur du camion a de son côté subi un violent choc nerveux.
L'accident s'est produit vers 20h30 quand le véhicule s'est retrouvé coincé sous un camion poids lourd percuté alors qu'il reculait pour se garer sur le rang Saint-Joseph.

Gilles Duceppe à Gatineau le 13 septembre

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Publié par 104,7 fm Outaouais pour (Outaouais) 104,7 Outaouais le mercredi 09 septembre 2015 à 07h27.
Gilles Duceppe à Gatineau le 13 septembre
Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe./Photo: Twitter
Le chef du Bloc Québécois fera campagne à Gatineau, dimanche.
Gilles Duceppe prendra part à un déjeuner-causerie au restaurant Ben & Florentine sur le chemin de la Savane, secteur Gatineau, en compagnie des candidats bloquistes de la région.
Rappelons que Richard Nadeau a été député du Bloc Québécois à Gatineau de 2006 à 2011. Ce fut la seule percée de ce parti en Outaouais à ce jour.

Valérie Poulin Collins en liberté surveillée

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Publié le 09 septembre 2015 à 07h22 | Mis à jour à 07h22
Valérie Poulin Collins... (Photo: Sylvain Mayer, Le Nouvelliste)
Valérie Poulin Collins
PHOTO: SYLVAIN MAYER, LE NOUVELLISTE

OLIVIER GAMELIN
Le Nouvelliste
(TROIS-RIVIÈRES) Si elle avait reçu une peine de prison de 31 mois, Valérie Poulin Collins a pu bénéficier d'une libération conditionnelle et est donc sortie de sa cellule mardi. Rappelons d'emblée que la jeune femme avait été condamnée pour avoir enlevé un poupon au centre hospitalier de Trois-Rivières le 26 mai 2014, ainsi que pour quatre vols à l'étalage et possession de méthamphétamine.
Valérie Poulin Collins n'a toutefois pas pris le chemin de la liberté. C'est sous conditions qu'elle a quitté la prison Tanguay pour intégrer la Maison Carignan de Trois-Rivières, où elle bénéficiera d'une thérapie spécialement conçue pour elle. À Carignan, elle devra respecter à la lettre les différentes étapes de sa thérapie pendant au mois six mois, dont trois mois sous une surveillance 24 heures sur 24 de la part d'une équipe multidisciplinaire. Toute sortie extra muros devra être préalablement approuvée et par les intervenants de la Maison Carignan, et par la Commission des libérations conditionnelles.
Notons que, outre sa dépendance aux stupéfiants, Valérie Poulin Collins souffre d'un trouble de personnalité limite ainsi que d'une tumeur au cerveau. En mars dernier, elle avait tenté d'obtenir une libération conditionnelle, demande qui avait été refusée considérant son attitude en prison, qu'on jugeait négative, illustrée entre autres par son arrogance et par son refus d'obtempérer.
Considérant les problèmes multiples de Valérie Poulin Collins, aucune maison de thérapie ne voulait appuyer la jeune femme sur le chemin de la guérison. La Maison Carignan est la seule a avoir levé la main, acceptant de recevoir la jeune femme à l'intérieur de ses murs. Après cette thérapie, Valérie Poulin Collins devra se soumettre à une probation de trois ans, au cours de laquelle elle ne pourra pas se retrouver en compagnie d'enfant de moins de 10 ans, ni visiter des lieux où l'on garde des enfants.
Le 26 mai 2014, déguisée en infirmière, Valérie Poulin Collins enlevait bébé Victoria, une cavale qui dura quelques heures. C'est la vigilance d'internautes qui avait permis de la retracer et, du même souffle, de remettre Victoria, saine et sauve, dans les bras de ses parents.
olivier.gamelin@lenouvelliste.qc.ca