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mardi, juin 30, 2015

L'assurance médicaments coûtera plus cher au Québec

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Mise à jour le lundi 29 juin 2015 à 14 h 37 HAE
Des pharmaciens au travail
Des pharmaciens au travail  Photo :  Radio-Canada/Tamara Altéresco

Le gouvernement Couillard augmente la participation financière des Québécois au régime public d'assurance médicaments à compter du 1er juillet prochain.
La prime annuelle et la contribution en pharmacie lors de l'achat de médicaments seront relevées pour les personnes de 18 à 64 ans et pour les aînés recevant un supplément de revenu garanti (SRG) de 93 % et moins.
La prime annuelle maximale, qui est payée à Revenu Québec lors de la production de la déclaration de revenus, passera de 611 $ à 640 $ par année.
La franchise mensuelle à payer en pharmacie passera quant à elle de 16,65 $ à 18 $, pendant que la coassurance représentera désormais 34 % du coût de l'ordonnance comparativement à 32,5 % auparavant.
La contribution mensuelle maximale passera également de 83,83 $ à 85,75 $ pour les 18 à 64 ans et de 51,16 $ à 51,83 $ pour les 65 ans et plus qui reçoivent un SRG de moins de 93 %.
L'augmentation du coût des nouveaux médicaments pour traiter l'hépatite C, notamment, de même que l'augmentation du nombre de participants et de leur consommation de médicaments expliquent ces hausses de tarifs, selon le communiqué du gouvernement.
Environ un million de personnes couvertes par le régime public d'assurance médicaments - 27 % des assurés - bénéficient de la gratuité complète. De plus, 500 000 personnes à faible revenu ne paient aucune prime annuelle.
Le régime public d'assurance médicaments québécois garantit à tous un accès aux médicaments requis par leur état de santé. Le Québec est la seule province canadienne où toute la population est obligatoirement couverte par un régime d'assurance médicaments.

Magnotta à la recherche de son «prince charmant» derrière les barreaux

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Publié par La Presse Canadienne le lundi 29 juin 2015 à 14h23. Modifié par 98,5 Sports à 14h39.
Magnotta à la recherche de son «prince charmant» derrière les barreaux
OTTAWA - Le meurtrier Luka Rocco Magnotta, qui a vu ses crimes faire les manchettes autour du monde, cherche le prince charmant sur un site de rencontres pour prisonniers.
Le profil de Magnotta a été publié dimanche sur Canadian Inmates Connect Inc., un site qui tente de mettre en contact des prisonniers solitaires — dont quelques-uns qui sont derrière les barreaux pour des chefs de meurtre au premier degré — et des compagnons potentiels de l'extérieur.

Le profil présente deux photos de l'ancien effeuilleur et prostitué, qui a été accusé de meurtre au premier degré au mois de décembre pour le meurtre et le démembrement de l'étudiant universitaire Jun Lin.

Sur les deux photos, Magnotta porte un chandail blanc déboutonné.

Magnotta, qui purge une peine de prison à vie, prévoit qu'il sera libre en 2037.

Il se décrit comme un «homme célibataire blanc de 33 ans, qui mesure cinq pieds 11 pouces et pèse 175 livres, et qui a les cheveux foncés et les yeux bleus».

«Je recherche un homme célibataire blanc, âgé entre 28 et 38 ans, en forme, peut-on lire sur son profil. Un homme fidèle, préférablement éduqué, financièrement et émotionnellement stable pour une relation à long terme. Si tu crois pouvoir être mon prince charmant, envoie-moi une lettre détaillée avec au moins deux photos.

«Seuls ceux que je juge compatibles recevront une réponse, poursuit-il sur son profil, qui inclut aussi son adresse postale actuelle: Institution Archambault, à Sainte-Anne-des-Plaines. Demandes sérieuses seulement s'il vous plaît. Toutes les lettres non sollicitées seront rejetées.»

Melissa Fazzina, qui a créé le site il y a environ quatre ans et demi, a indiqué que Magnotta lui avait fait parvenir les informations par le biais d'un contact. L'inscription et les frais d'adhésion de 35$ lui sont parvenus par la poste — les prisonniers n'ayant pas accès à Internet — il y a environ 10 jours.

«J'étais déconcertée», a-t-elle déclaré.

Elle s'est dite surprise puisque les médias ont rapporté que Magnotta recevait beaucoup de lettres d'admirateurs.

Rappelons que Magnotta a filmé le démembrement de M. Lin avant de mettre la vidéo en ligne et d'envoyer des parties du cadavre par la poste aux bureaux du Parti conservateur et du Parti libéral, à Ottawa, puis dans des écoles de la Colombie-Britannique.

Magnotta s'est ensuite envolé vers l'Europe, ce qui a lancé une chasse à l'homme intercontinentale qui s'est conclue avec son arrestation dans un café de Berlin.

Mme Fazzina soupçonne que la vie du meurtrier est un peu plus calme depuis qu'il est enfermé dans une prison fédérale. Elle affirme avoir été informée que Magnotta, qui a la réputation de vouloir attirer l'attention, ne cherche pas la publicité.

«Peut-être veut-il finalement une relation à long terme avec un partenaire stable.»

Mme Fazzina, qui est la figure publique pour les prisonniers qui désirent une deuxième chance depuis le lancement de son site, se prépare à recevoir des critiques pour avoir accepté la demande d'adhésion de Magnotta.

«Plusieurs personnes penseront qu'il ne mérite pas de se retrouver sur le site ou d'avoir des communications avec le monde extérieur», a-t-elle dit, en reconnaissant que sa présence sur Internet pourrait faire du mal aux proches de sa victime.

«Je crois cependant qu'il a, comme tout le monde, le droit de se racheter et de tenter une réinsertion, et j'espère que ça fonctionnera aussi pour lui.»

Mme Fazzina a précisé qu'elle avait demandé à Magnotta de lui envoyer plus d'informations pour remplir son profil, dont la raison qui l'a poussé à s'inscrire, sa situation en prison et la raison pour laquelle il y est.

Au contraire de plusieurs de ses clients, le profil de Magnotta ne spécifie pas exactement pourquoi il a été emprisonné. Certains refusent de fournir cette information, dit-elle — une approche qu'elle ne recommande pas s'ils veulent réellement trouver l'amour puisqu'ils semblent vouloir cacher quelque chose.

«Les gens peuvent toujours regarder sur Google de toute manière, n'est-ce pas?», a commenté Mme Fazzina.

Le site inclut des profils de gens incarcérés pour toutes sortes de raisons, allant du meurtre à la tentative de meurtre en passant par les agressions sexuelles. Mme Fazzina recommande aux utilisateurs d'être prudents lorsqu'ils interagissent avec les prisonniers, y compris Magnotta.

«Lorsque vous fréquentez le site, vous savez dans quoi vous vous embarquez, et ce, avec n'importe quel prisonnier, a-t-elle lancé. Peu importe la relation qui se développe, qu'elle soit bonne ou mauvaise, je ne suis pas responsable. Je ne suis que l'intermédiaire.»

La Grèce évalue ses options

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Mise à jour le mardi 30 juin 2015 à 7 h 04 HAE   Reuters
Le premier ministre grec Alexis Tsipras
Le premier ministre grec Alexis Tsipras  Photo :  GI/ANGELOS TZORTZINIS

Des contacts se poursuivent entre Athènes et Bruxelles pour parvenir à un accord de dernière minute sur une aide financière à la Grèce, alors que le
programme actuel expire mardi, a dit un responsable grec.
« Il y a des initiatives », a déclaré ce responsable sans plus de précisions.
Le gouvernement d'Alexis Tsipras n'a pour l'instant pas réagi officiellement à la dernière proposition du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker.
M. Tsipras a appelé le président Juncker lundi soir et ce dernier, après avoir discuté avec le président de l'Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem, a exposé les contours d'un accord de dernière minute, a dit à des journalistes Margaritis Schinas, un porte-parole de la Commission.
Sans nouvelle assistance, la Grèce semble dans l'incapacité de rembourser 1,6 milliard d'euros dus au Fonds monétaire international (FMI).
« Les services du premier ministre ont dit à Bruxelles qu'ils examinaient la nouvelle proposition avancée hier par le président de la Commission européenne, qui comprend un allègement de dette en octobre et des changements dans le dispositif EKAS », affirme le journal sans citer ses sources.
L'EKAS est une prime accordée aux retraités les plus pauvres.

Un vol de WestJet a été détourné à Winnipeg : six personnes blessées

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Publié par La Presse Canadienne le mardi 30 juin 2015 à 01h50.
Un vol de WestJet a été détourné à Winnipeg : six personnes blessées
WINNIPEG — Six personnes ont subi des blessures lors d'une évacuation d'urgence, lundi soir, alors que l'un de ses vols a été détourné à Winnipeg en raison d'une «menace», selon la compagnie aérienne WestJet.
Selon un message partagé sur le compte Twitter de WestJet, ils ont tous été transportés à l'hôpital et accompagnés par les membres de l'équipe d'aide de la compagnie.

Le vol WS422 partait d'Edmonton en direction de Toronto.

Aucun détail sur la menace en tant que tel n'a été dévoilé. La compagnie aérienne a cependant précisé que les 54 passagers et cinq membres d'équipage ont été évacués de l'avion peu de temps après l'atterrissage.

Le transporteur aérien a confirmé que les passagers allaient passer la nuit dans des hôtels de Winnipeg. Ils vont pouvoir prendre de nouveaux vols à destination de Toronto, mardi matin.

L'avion a été fouillé et pourra reprendre du service après une opération routinière de maintenance, selon la compagnie aérienne.

Une enquête a été ouverte.

Il s'agit de la troisième menace impliquant un vol aérien au pays dans la dernière semaine.

Samedi matin, un vol de WestJet entre Edmonton et Halifax a atterri à Saskatoon en raison d'une menace.

La police a dit qu'un appel avait été fait affirmant qu'un engin explosif se trouvait à bord de l'appareil, ce qui s'est avéré être un canular.

Jeudi dernier, l'aéroport international de St. John, à Terre-Neuve, a été fermé temporairement, en raison d'une alerte à la bombe concernant un vol d'Air Canada.

L'administration de l'aéroport a affirmé avoir mis en place les mesures nécessaires après que le vol 143 reliant St. John à Ottawa ait été menacé d'une alerte à la bombe, vers 18h50.

Vendredi, le porte-parole de la Force constabulaire royale de Terre-Neuve, Steve Curnew, a déclaré aux journalistes que le vol était sur le point de décoller quand une note, considérée comme une menace, ait été trouvée dans une des toilettes de l'avion.

Aucun objet suspect n'avait alors été trouvé.

Indonésie: au moins 49 morts dans l'écrasement d'un avion militaire

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Publié par Associated Press le mardi 30 juin 2015 à 06h29. Modifié par Charles Payette à 08h12.
Indonésie: au moins 49 morts dans l'écrasement d'un avion militaire
AP
DJAKARTA, Indonésie - Un avion militaire de transport Hercules C-130 de l'armée de l'air indonésienne est tombé mardi dans un quartier résidentiel de Medan, la 3e ville la plus peuplée d'Indonésie, faisant au moins 49 morts.
Une porte-parole des autorités hospitalières locales a ajouté que d'autres personnes avaient été grièvement blessées. Le bilan n'est donc pas définitif.

Pour leur part, les autorités militaires ont affirmé que l'avion était tombé à peine deux minutes après son décollage de l'aéroport militaire de Soewondo.

La cause de l'accident reste à établir. Cependant, au moins un témoin a déclaré avoir vu de la fumée s'échapper de l'appareil pendant qu'il était encore en vol.

Le Hercules C-130, construit par la firme américaine Lockheed, est un avion militaire largement utilisé à travers le monde depuis une soixantaine d'années. Celui qui est tombé ce mardi en Indonésie transportait 50 personnes, selon l'armée.

C'est la deuxième fois en à peine 10 ans qu'un avion tombe dans un quartier de Medan. En septembre 2005, un Boeing 737 de la compagnie Mandala Airlines s'est écrasé juste après son décollage, ce qui a entraîné 143 personnes, dont 30 au sol.

Medan compte environ 3,4 millions d'habitants.

Un incendie fait rage autour de la centrale nucléaire de Tchernobyl

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Publié par La Presse Canadienne le mardi 30 juin 2015 à 07h58. Modifié par Charles Payette à 00h00.
Un incendie fait rage autour de la centrale nucléaire de Tchernobyl
Freedigitalphotos.net
KIEV, Ukraine - Un incendie brûle actuellement dans la zone d'exclusion autour de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine.
On ne sait toutefois pas si les flammes ont touché la zone la plus contaminée par la radiation lors de la catastrophe de 1986. L'incendie couvre un secteur d'un peu plus d'un kilomètre carré.
L'agence de presse russe Tass citait mardi Iouri Antipov, un dirigeant ukrainien responsable de la zone d'exclusion, qui expliquait que le sinistre a éclaté lundi soir et que la situation semblait avoir été maîtrisée en fin de matinée mardi.
Une zone de 30 kilomètres autour de la centrale est interdite à tous, à l'exception des ouvriers qui construisent une nouvelle structure pour recouvrir le réacteur éventré. Des touristes s'y rendent aussi parfois pour une courte durée.
L'explosion et l'incendie qui a suivi ont lourdement contaminé certains secteurs, tandis que d'autres ont été moins touchés.
Une autre dirigeante ukrainienne, Victoria Ruban, a dit que les niveaux de radiation sont demeurés inchangés.
Il s'agit du deuxième incendie à se déclarer dans la zone d'exclusion au cours des trois derniers mois. Un feu de forêt _ apparemment le premier à survenir dans la région en plus de 20 ans _ avait dévasté quelque 400 hectares en avril.

Julie Snyder forcée d'abandonner la production télévisuelle

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Publié par 98,5 Sports pour CogecoNouvelles le lundi 29 juin 2015 à 15h06. Modifié par Charles Payette le mardi 30 juin 2015
Julie Snyder forcée d'abandonner la production télévisuelle
Pierre Karl Péladeau et Julie Synder/PC
(Cogeco Nouvelles) - La productrice Julie Snyder a annoncé lundi qu'elle est forcée d'abandonner la production d'émissions télé en raison de sa situation conjugale.

La présidente de Productions J a expliqué sa décision en raison de la perte du crédit d'impôt lié à la production cinématographique et télévisuelle.
Julie Snyder
 
 
 
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Mis en ligne le lundi 29 juin 2015 dans Montréal Maintenant avec Thérèse Parisien et Paul Houde
L'animatrice et productrice a soutenu qu’elle était contrainte de poser ce geste parce qu’elle se retrouvait privée d’une aide à laquelle les autres producteurs indépendants québécois avaient droit. Cette part représente environ 15 à 20 pour cent des budgets télévisuels, selon Pierre Lampron, ancien président de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC), qui était aussi à la conférence de presse.

Elle a expliqué que le ministère des Finances du Québec s'opposait à ce que son entreprise bénéficie du régime d'aide à la production cinématographique indépendante.

Selon la conjointe du chef péquiste Pierre Karl Péladeau, le ministère considère que sa situation conjugale place les Productions J en situation de dépendance et disqualifie ainsi l'entreprise de recevoir l'aide accordée aux autres producteurs.
« Je suis vue comme dépendante de mon conjoint (le chef de l’Opposition officielle, Pierre Karl Peladeau). »

Mme Sder a fait valoir qu’elle se retrouvait ainsi hors jeu dans le contexte concurrentiel d’aujourd’hui et qu'elle ne pouvait produire des émissions commeStar AcadémieLa voix ou L'été indien sans cette aide financière.
« On présume que mon entreprise est indépendante de son principal client (TVA) », a déploré l'animatrice qui a souligné que ses succès comme productrice faisant affaire avec le réseau privé dataient de bien avant sa relation avec M. Péladeau.
La fondatrice des Productions J a déploré que les règles actuelles la plaçaient devant un choix impossible: mettre fin à sa relation de couple ou se déposséder d'une part importante des activités de son entreprise.
Les détails sur l'avenir de l'entreprise demeurent encore nébuleux.

Dans un communiqué, Julie Snyder a déclaré qu'elle ne quittait pas Productions J. Pourtant, elle a martelé en conférence de presse qu'elle devait « abandonner » ses productions télévisuelles et qu'elle ne pouvait plus être la « patronne ».

Elle a indiqué qu'elle « évaluerait différents scénarios » et qu'elle voulait d'abord s'assurer qu'elle cède les rênes de l'entreprise « entre bonnes mains », tout en conservant les emplois. D'ailleurs, elle a révélé que « quelques personnes » avaient déjà été licenciées dans les dernières semaines.
La Voix en danger?

Elle n'a pas voulu élaborer sur le sort de certaines émissions populaires, dont La Voix, qui pourraient peut-être se retrouver en danger.
« J'ai espoir que cette question-là ne soit pas une question qu'on doive se poser », a-t-elle lancé après un long silence.

Dans un bref communiqué, la direction de TVA s'est dit « confiante » que la programmation soit respectée, bien qu'elle « regrette » la nouvelle annoncée aujourd'hui.

La conjointe de M. Péladeau s'est livrée à une charge virulente contre le gouvernement Couillard, qui, dit-elle, « présume de sa situation de dépendance avec son conjoint ».
Le gouvernement a toujours répété qu'il avait pris cette décision par souci d'équité pour tous les acteurs du milieu. Julie Snyder était d'ailleurs flanquée de l'avocate en droit de la famille Sylvie Schirm, qui a qualifié la décision du gouvernement « d'exécrable ».

Lorsque la nouvelle s'était éventée dans les médias, Mme Snyder avait menacé de poursuivre le gouvernement pour cette mesure « discriminatoire ». Questionnée à savoir pourquoi elle n'était pas passé de la parole aux actes, elle a tout simplement indiqué « qu'elle n'en était pas là ».

« C'est super dur. C'est mon bébé. C'est vraiment comme si tu donnais ton bébé à quelqu'un d'autre. J'ai sacrifié mes jours, mes nuits, toute mon énergie, mes vies sentimentales, qui étaient n'importe quoi (...) Je n'en suis pas là aujourd'hui. C'est trop pour moi », a-t-elle affirmé en sanglotant.

Questionné sur l'annonce alors qu'il visitait une entreprise à Montréal, le premier ministre Philippe Couillard a réitéré que son gouvernement avait voulu agir pour « qu'aucune entreprise ne bénéficie d'une situation particulière par rapport aux autres ».

« Je trouve ça très triste comme commentaires. Je vais lui laisser », a-t-il tranché.

(Avec La Presse canadienne)