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dimanche, février 05, 2017

Bloc québécois : Martine Ouellet se lance dans la course à la direction

http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/

PUBLIÉ IL Y A 10 MINUTES | Mis à jour il y a 7 minutes

EN DIRECT -La députée péquiste de la circonscription de Vachon, Martine Ouellet a annoncé dimanche qu'elle se lance dans la course à la direction du Bloc québécois.
« On envoie 50 milliards d'argent des Québécois et des Québécoises au Canada année après année et je crois qu'il est important que l'on s'occupe de nos affaires. Et c'est pourquoi j'ai accepté l'invitation des militants et militantes », a-t-elle expliqué.
Devenir députée fédérale, ajoute-t-elle, aidera à la cause souverainiste. « Les pouvoirs que nous souhaitons rapatrier au Québec s'exercent actuellement à Ottawa. Donc pour pouvoir travailler ces pouvoirs-là, préparer leur rapatriement dans le gouvernement du Québec [...], je pense que c'est une belle place à Ottawa pour préparer l'indépendance du Québec », a-t-elle indiqué.
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Martine Ouellet

J’ai le goût de porter la voix des Québécois et des Québécoises. Martine Ouellet, députée de Vachon
La députée provinciale qui a perdu à deux reprises la course à la direction du Parti québécois réfléchissait à se lancer ou non dans la course à la chefferie du Bloc québécois.
Des militants bloquistes avaient sollicité sa candidature en décembre.
Le nouveau chef de la formation politique fédérale sera choisi le 22 avril prochain.

mercredi, juillet 22, 2015

Trudeau revient à la charge sur la position du NPD sur la souveraineté du Québec

http://www.985fm.ca/national/nouvelles/

Publié par La Presse Canadienne le mardi 21 juillet 2015 à 18h20.
Trudeau revient à la charge sur la position du NPD sur la souveraineté du Québec
LAVAL, Qc — Le chef du Parti libéral du Canada (PLC), Justin Trudeau, affirme que le Nouveau Parti démocratique (NPD) se doit d'expliquer aux Canadiens pourquoi il estime que le Québec devrait avoir une voie plus facile vers la souveraineté que celle déterminée par la Cour suprême du Canada.
Écoutez le reportage :
 
 
 
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M. Trudeau est revenu à la charge contre la position du NPD à l'égard de l'indépendance du Québec, mardi, lors d'un événement au Cosmodôme de Laval, au lendemain de la publication d'un sondage Léger qui place son parti au quatrième rang au Québec, avec le NPD significativement en tête.

M. Trudeau a réagi à l'hypothèse que le fort appui au NPD au Québec puisse être attribué à sa sollicitation sans crainte des voix de souverainistes au Québec.

«Je regrette, mais je ne crois pas que quiconque accusera un jour un libéral portant le nom Trudeau d'avoir peur d'affronter les souverainistes», a rétorqué le chef libéral en anglais.

Poursuivant sur la question en français, M. Trudeau a affirmé que la population était bien au fait de sa position sur l'unité du pays, ainsi que sur l'importance de respecter la Cour suprême dans ses décisions.

«Depuis 10 ans, on a un gouvernement à Ottawa qui fait fi des décisions de la Cour suprême, et de voir que (le chef du NPD Thomas) Mulcair est en désaccord avec la Cour suprême sur l'unité du pays, je pense qu'il se doit d'expliquer (pourquoi) aux Québécois et aux Canadiens», a-t-il soutenu.

«Sur un enjeu tel que celui de l'unité nationale, je pense qu'il est important pour quiconque veut devenir premier ministre et qui est en désaccord avec une telle chose d'expliquer pourquoi», a poursuivi le chef libéral.

M. Trudeau a affirmé que le PLC était d'accord avec la décision de la Cour suprême en 1998 à l'effet que la question à un référendum ainsi que le résultat devaient être «sans ambiguïté» pour que le gouvernement fédéral se trouve dans l'obligation de négocier une séparation. La Cour suprême n'a pas spécifié un seuil, mais a indiqué plus d'une fois qu'il faudrait davantage qu'une majorité simple.

M. Mulcair a réitéré, lundi, que son parti préconise une majorité simple de 50 pour cent plus un, telle qu'inscrite dans la Déclaration de Sherbrooke du NPD, un document de politiques qui élabore l'approche du parti à l'égard du Québec.

M. Trudeau a soutenu que la position du NPD sur la souveraineté du Québec demeurait floue et que la formation se devait de mieux expliquer pourquoi elle est en désaccord avec la Cour suprême.

M. Mulcair a dit, lundi, être fier de l'approche «ouverte, optimiste et positive» de son parti à l'égard de la participation du Québec dans les affaires du pays.

Depuis que le NPD s'est emparé de 59 des 75 circonscriptions fédérales au Québec aux élections de 2011, les Québécois ont élu un gouvernement minoritaire du Parti québécois avant de l'écarter deux années plus tard à la faveur d'un gouvernement libéral majoritaire.

M. Trudeau a dit admettre que son parti avait «beaucoup de travail à faire» pour remonter au sommet dans les sondages, tout en ajoutant que bon nombre de Canadiens sont en vacances et ne commenceront pas à porter une véritable attention aux élections avant les dernières semaines de l'été.

Il a dit croire que le premier ministre Stephen Harper choisirait probablement de déclencher une campagne électorale prématurée pour bénéficier des règles permettant aux partis de dépenser davantage durant une plus longue campagne.

«J'ai vraiment hâte au déclenchement des élections (...) pour présenter l'équipe qu'on a. On a plus de 70 candidats au Québec, on a plus que 300 candidats au pays. Le Parti libéral est prêt», a dit M. Trudeau.

D'autre part,M. Trudeau a affirmé que les familles riches n'avaient pas besoin de la Prestation universelle pour la garde d'enfants (PUGE) du gouvernement conservateur, et qu'il allait donner celle de sa propre famille à un organisme de bienfaisance.

Le chef libéral, père de trois jeunes enfants, a calculé que sa famille recevrait environ 3000 $ de plus cette année en fonction des nouvelles modalités de la prestation.

Il a dit qu'il donnerait cette somme à La Maison bleue, un groupe dans sa circonscription de Papineau à Montréal investi dans l'aide aux femmes vulnérables durant la maternité et les premiers jours après la naissance d'un enfant.

Le chef libéral avait déjà indiqué qu'il n'appliquerait pas, avec son épouse, pour la mesure conservatrice de fractionnement du revenu, disant croire dans les deux cas que le gouvernement erre en n'aidant pas les familles qui en ont réellement besoin.

mardi, juillet 21, 2015

En visite en Ontario, Mulcair défend sa position sur la souveraineté du Québec

http://www.985fm.ca/national/nouvelles/

Publié par La Presse Canadienne le lundi 20 juillet 2015 à 18h57. Modifié par Charles Payette le mardi 21 juillet 2015
En visite en Ontario, Mulcair défend sa position sur la souveraineté du Québec
Thomas Mulcair
OTTAWA - Thomas Mulcair s'est retrouvé sur la défensive, lundi, à l'égard de la politique de son parti sur la souveraineté du Québec, alors qu'il amorçait une tournée préélectorale de huit jours en Ontario.
On en parle en ondes :
Écouter
Mis en ligne le mardi 21 juillet 2015 dans Puisqu'il faut se lever avec Marie Grégoire
Le chef du Nouveau Parti démocratique (NPD) a défendu sa position sur le fait qu'une majorité simple de 50 pour cent plus un serait suffisante pour déclencher des négociations sur l'indépendance du Québec avec le gouvernement fédéral.

Et M. Mulcair s'en est pris aux libéraux, qui ont été les critiques les plus farouches de l'approche du NPD, en les accusant d'avoir «laissé tomber» la majorité des Québécois et de vouloir alimenter les vieilles disputes.

«Je n'ai pas laissé tomber la majorité des Québécois, contrairement aux libéraux», a dit le chef néo-démocrate au lancement de sa tournée à Toronto, qu'il a qualifiée de «plus importante ville au pays».

Le NPD a promis d'abroger la loi sur la clarté, présentée par le gouvernement libéral de Jean Chrétien dans la foulée de la mince victoire du Non au référendum de 1995 sur la souveraineté du Québec.

S'inspirant d'un avis de la Cour suprême du Canada, la loi sur la clarté — intitulée Loi donnant effet à l'exigence de clarté formulée par la Cour suprême du Canada dans son avis sur le Renvoi sur la sécession du Québec — détermine la nécessité d'une majorité claire lors d'un vote sur une question claire sur la sécession pour que le gouvernement fédéral accepte de négocier un divorce avec le Québec.

M. Mulcair a critiqué la loi pour son absence d'un seuil précis de voix nécessaires au déclenchement de négociations sur la souveraineté.

«(Les libéraux) estiment qu'ils ont besoin d'un stratagème, une sorte de jeu politique pour dire: "Nous ne vous dirons pas quel est le chiffre, mais ce sera n'importe quel que vous obtenez, en plus d'un paquet d'autres". Ce n'est pas sérieux», a dit le chef néo-démocrate en réponse à des questions des médias.

M. Mulcair a souligné que la «mère de tous les Parlements», l'assemblée au Royaume-Uni, avait accepté la majorité simple comme seuil devant être atteint lors du récent référendum sur l'indépendance de l'Écosse.

«Les gens doivent comprendre que oui veut dire oui. Oui ne peut pas signifier 'Bon, peut-être que nous voulons une meilleure entente'», a-t-il illustré.

La majorité de 50 pour cent plus un fait partie de la Déclaration de Sherbrooke du NPD, un document de politiques qui élabore l'approche du parti à l'égard du Québec et qui est crédité en partie pour la vague orange ayant déferlé sur la province lors des élections fédérales de 2011.

M. Mulcair a souligné qu'il était le seul chef fédéral à avoir fait campagne activement contre la séparation du Québec lors de deux référendums.

Le chef du Parti libéral du Canada (PLC), Justin Trudeau, a répliqué qu'il ne s'agissait pas pour quiconque de «jouer un jeu» politique, rappelant que la loi sur la clarté se basait sur une décision historique de la Cour suprême du Canada en 2000.

Le plus haut tribunal a affirmé que la question à un référendum ainsi que le résultat devaient être «sans ambiguïté» pour que le gouvernement fédéral se trouve dans l'obligation de négocier une séparation. La Cour suprême n'a pas spécifié un seuil, mais a indiqué plus d'une fois qu'il faudrait davantage qu'une majorité simple.

«M. Mulcair se montre en désaccord avec la Cour suprême sur quelque chose d'aussi fondamental que l'unité du pays», a dit M. Trudeau, parlant d'une position «étonnante et très inquiétante».

«C'est encore plus important que n'importe quel combat que (le premier ministre) Stephen Harper a entrepris contre la Cour suprême. Il s'agit de savoir ce qu'il faudrait pour que le Canada continue d'exister ou qu'il soit brisé», a poursuivi le chef libéral.

Une tournée de huit jours en Ontario

Le chef du NPD a commencé une visite de huit jours en Ontario visant à présenter son équipe et ses politiques et à démontrer que son parti est sur une lancée.

L'Ontario compte plus du tiers des 338 sièges qui seront disponibles le 19 octobre, jour des prochaines élections fédérales.

Son séjour ciblera principalement des circonscriptions que le NPD croit pouvoir arracher aux mains des conservateurs.

On n'y verra pas d'avion ou d'autobus de campagne, mais malgré tout, la visite aura toutes les apparences d'une véritable campagne électorale, avec deux événements par jour, des entrevues avec les médias locaux et des rassemblements partisans presque tous les soirs.

La tournée s'est amorcée lundi au centre-ville de Toronto et mènera M. Mulcair à Oshawa, Mississauga, Scarborough, Cambridge, Hamilton, Stratford, Chatham, Windsor, Amherstburg, London, Sarnia, Waterloo, Brampton, Thunder Bay, Sudbury, Sturgeon Falls et North Bay.

«C'est certainement pour nous une occasion de tester notre campagne et de démontrer qu'il existe un choix», a déclaré la directrice de campagne du NPD, Anne McGrath.

«Ce que nous essayons de dire aux gens, c'est que (...) si vous voulez un changement, nous avons le chef, le plan et l'équipe», a-t-elle ajouté.

Au fil de sa tournée, M. Mulcair présentera certaines des politiques qu'il a dévoilées au cours de la dernière année, notamment au sujet de la garde des enfants, des petites entreprises, de l'agriculture, des infrastructures et du transport en commun.

Lundi, M. Mulcair a fait valoir son plan de créer un million de places en service de garde à 15 $ par jour, et sa promesse de réduire le taux d'imposition des petites entreprises de 11 à 9 pour cent.

Il présentera également quelques candidats qui, l'espère-t-il, réussiront à chasser certains députés conservateurs. Parmi eux, on note l'ex-chef provincial du NPD Howard Hampton, qui affrontera le ministre des Ressources naturelles, Greg Rickford, dans Kenora, la conseillère Diane Freeman, qui fera face au député conservateur Peter Braid dans Waterloo, le pasteur Alex Wilson, qui souhaite arracher Scarborough Centre des mains de la conservatrice Roxanne James, et l'enseignante Mary Fowler, qui luttera contre le conservateur Colin Carrie dans Oshawa.

M. Mulcair a promis de relayer le message de son parti aux familles de la classe moyenne à travers l'Ontario, faisant valoir que le pays était «à un scrutin près» d'une classe moyenne plus forte et d'une économie plus solide.