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samedi, décembre 12, 2015

Un premier contingent de réfugiés syriens arrive à Montréal

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Publié par La Presse Canadienne le samedi 12 décembre 2015 à 05h38. Modifié par 98,5 fm à 07h42.
Un premier contingent de réfugiés syriens arrive à Montréal
À l'aéroport de Montréal, on a mis en place des services particuliers pour accueillir les premiers réfugiés syriens./Photo: PC, Ryan Remiorz
MONTRÉAL - Après Toronto jeudi, Montréal accueillera à son tour, samedi soir, un premier contingent d'environ 160 réfugiés syriens.
Le premier ministre Philippe Couillard se rendra à l'aéroport Montréal-Trudeau, tout comme le maire de Montréal, Denis Coderre. Ils imiteront ainsi le premier ministre fédéral Justin Trudeau qui s'est déplacé à l'aéroport Pearson de Toronto jeudi.

Au total, plus de 25 000 réfugiés syriens arriveront au Canada d'ici la fin de février.

Plusieurs organismes ont été mis à contribution pour répondre aux besoins essentiels de ces réfugiés.

La Croix-Rouge canadienne a mobilisé une quarantaine de bénévoles à temps plein pour les trois prochains mois. L'organisme a une grande expertise dans ce domaine puisqu'il s'occupe des réfugiés syriens qui sont dans des camps de fortune en Jordanie et au Liban notamment.

La Croix-Rouge a créé un fond spécifique dédié à l'aide aux réfugiés. Elle sollicite les dons de la population. Jusqu'à présent, 1,3 million $ ont été recueillis.

mardi, novembre 10, 2015

Montréal ira de l'avant avec le déversement des eaux usées

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Publié par La Presse Canadienne le lundi 09 novembre 2015 à 19h43. Modifié par Léandre Drolet à 21h30.
Montréal ira de l'avant avec le déversement des eaux usées
La ministre fédérale de l`Environnement, Catherine McKenna./youtube.com
MONTRÉAL - Le maire de Montréal, Denis Coderre, a affirmé, lundi soir, que la Ville allait procéder comme prévu au déversement de huit milliards de litres d'eaux usées non traitées dans le fleuve Saint-Laurent, en respectant les conditions imposées par la nouvelle ministre fédérale de l'Environnement, Catherine McKenna.
Le maire Denis Coderre.
 
 
 
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Prenant la parole devant les médias réunis à l'hôtel de ville, M. Coderre a déclaré que la municipalité était tout à fait d'accord avec les exigences de Mme McKenna et qu'elle s'était déjà entendue à ce sujet avec cette dernière.

Il a ajouté qu'une conférence de presse technique aurait lieu mardi durant laquelle les responsables de la gestion de l'eau et de l'environnement de la Ville dévoileront le protocole entourant le rejet des eaux usées.

Plus tôt lundi soir, la ministre de l'Environnement avait annoncé en conférence téléphonique depuis Paris qu'elle avait décidé d'autoriser le déversement prévu par Montréal moyennant certaines conditions.

Afin de minimiser l'impact du déversement planifié, elle demandait à la municipalité d'implanter plusieurs mesures de mitigation basées sur le rapport des experts chargés par sa prédécesseure conservatrice d'évaluer les risques que représente ce rejet pour la santé publique et la faune.

Ainsi, la Ville devait s'engager à exercer une surveillance visuelle des panaches de l'effluent pour remédier à toute accumulation en nettoyant les endroits touchés de même qu'à élaborer et implanter un plan pour gérer les rejets imprévus issus de grandes installations industrielles, institutionnelles ou commerciales durant la période du déversement.

La municipalité devait également recueillir des données relativement à la qualité de l'eau et de l'effluent, des sédiments et de la flore avant, pendant et après le rejet des eaux usées non traitées et les soumettre à Environnement et Changement climatique Canada.

Enfin, Montréal devait promettre de participer à une analyse exhaustive des événements ayant mené au déversement afin d'assurer que cela ne se reproduise plus à l'avenir, et ce, de concert avec les différentes parties intéressées, dont les gouvernements fédéral et provincial de même que les Premières nations concernées.

Catherine McKenna avait indiqué que le déversement pourrait commencer dès que les conditions, sauf celle concernant l'analyse de la situation, seraient respectées, mais qu'il devait être complété avant le 5 décembre. Faute de quoi, tout le dossier devrait être réévalué.

«Je reconnais que ce rejet est loin d'être une solution idéale», avait admis Mme McKenna, qui se trouve dans la capitale française pour prendre part à des pourparlers en prévision de la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques qui s'amorcera à la fin du mois.

«Mais la Ville doit effectuer rapidement des travaux d'entretien essentiels à son infrastructure afin de prévenir tout rejet non prévu qui pourrait causer encore plus de dommages à l'environnement et aux espèces aquatiques.»

Denis Coderre maintient depuis le début que ce déversement d'eaux usées, qui devait à l'origine se dérouler entre le 18 et le 25 octobre, est inévitable puisque la municipalité doit déplacer une chute de neige située sous l'autoroute Bonaventure, qui fait présentement l'objet de travaux, et que les autres solutions envisagées sont trop coûteuses.

À la mi-octobre, l'opération avait été suspendue par l'ancienne ministre conservatrice de l'Environnement, Leona Aglukkaq, qui avait ensuite nommé un comité d'experts indépendants avec le mandat de déterminer si l'afflux d'eaux usées constituait un danger.

Dans son rapport publié vendredi, le comité a statué que les risques associés à un déversement non planifié, ce qui pourrait arriver si les travaux de réfection projetés ne sont pas effectués, étaient plus importants que ceux liés à un rejet planifié tel que celui prévu par la Ville de Montréal.

mercredi, octobre 07, 2015

Eaux usées: Coderre accuse les conservateurs

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Publié par 98,5 fm pour CogecoNouvelles le mardi 06 octobre 2015 à 15h30. Modifié par Charles Payette le mercredi 07 octobre 2015
Eaux usées: Coderre accuse les conservateurs
Denis Coderre/Cogeco Nouvelles
(Cogeco Nouvelles) - Le maire de Montréal, Denis Coderre, accuse les conservateurs de faire de la politique avec le dossier du rejet de huit milliards de litres d'eaux usées dans le fleuve Saint-Laurent.

Réagissant à la demande d'Ottawa de suspendre son projet, le maire Coderre a réaffirmé n'avoir d'autres choix que de déverser ces déchets provoqué par les travaux de l'autoroute Bonavanture.
Le ministre Denis Lebel et le maire Denis Coderre.
 
 
 
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On en parle en ondes :
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Mis en ligne le mercredi 07 octobre 2015 dans Puisqu'il faut se lever avec Mario Dumont, Commission Curzi-Dumont et Pierre Curzi
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Mis en ligne le mercredi 07 octobre 2015 dans Puisqu'il faut se lever avec Paul Arcand
Le maire Coderre a aussi déploré la récupération politique du chef néodémocrate Thomas Mulcair, mais c'est aux conservateurs qu'il a lancé ses flèches.
Mardi matin, le ministre conservateur responsable de Montréal, Denis Lebel, a expliqué que le déversement pourrait aller à l’encontre de l’article 36.3 de la Loi sur les pêches qui précise «qu’il est interdit d’immerger ou de rejeter une substance nocive dans des eaux où vivent des poissons ».
« C’est un sujet qui soulève beaucoup de passion aujourd’hui, a affirmé M. Lebel. Ce sont les spécialistes d’environnement Canada qui vont prendre le temps de regarder ce dossier. »
Le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal soutenaient pourtant qu’il s’agissait de l’unique solution.
La Ville devait déverser ces milliards d’eaux usées à partir du 18 octobre, la veille de l’élection.
Thomas Mulcair et Justin Trudeau, deux candidats montréalais, ont aussi du commenter le dossier aujourd’hui.
« L'idée qu'en 2015, on va lâcher des milliards de litres d'eaux usées dans le St-Laurent, c'est tellement saugrenu que c'est évident qu'un gouvernement du NPD ne le permettrait pas », a affirmé M. Mulcair.
Il a aussi promis qu’un gouvernement néo-démocrate sera un partenaire des villes pour qu’elles aient l’argent nécessaire pour leurs usines d’épuration.
Le chef libéral Justin Trudeau a refusé de dire s’il s’y opposerait, préférant plutôt attaquer les gouvernements conservateurs.
« Je comprends aussi la position impossible dans laquelle le gouvernement fédéral, qui a refusé d'être un partenaire adéquat pour le traitement des eaux usées à travers le pays, a mis nos élus et nos villes», a-t-il affirmé.
PTP au centre des discussions
Stephen Harper promet un milliard $ pour l’industrie automobile, afin d’atténuer les impacts du Partenariat transpacifique (PTP) : une admission que des milliers d’emplois seront perdus, selon Thomas Mulcair.
Justin Trudeau est pour sa part resté vague refusant de commenter l’utilité des compensations aux agriculteurs ou à l’industrie automobile, ni les bien-fondés de l’accord lui-même.
«On va regarder les détails de cet accord. Pour l’instant, on n’a pas les détails au complet. On va regarder ce que le gouvernement propose dans les semaines et les mois à venir», a-t-il répondu, en déplorant le fait que les négociations aient été menées en secret.
Pour le chef conservateur, ces 100 millions $ par année pour les 10 prochaines années «ne sont pas des compensations, mais des programmes incitatifs. »
Selon lui, ces sommes ne sont pas les mêmes que les 4,3 milliards$ promise lundi aux agriculteurs affectés par la brèche dans la gestion de l’offre.
«Nous investissons dans ce secteur pour attirer ces mandats. Pour garder des mandats continental et mondial, c'est nécessaire d'avoir un tel accès au marché », a indiqué le chef conservateur.
Le chef du NPD Thomas Mulcair a profité d’une annonce de statistique Canada pour attaquer le chef conservateur.
Selon l’agence fédérale, en août, les exportations du Canada ont diminué de 3,6%, ce qui entraine une hausse du déficit du commerce de marchandises qui est passé de 817 millions de dollars en juillet à 2,5 milliards en août.
« M. Harper se vante d'avoir signé plus de 50 ententes et que c'est bon pour l'économie, a-t-il lancé. La preuve que c'est faux, c'est qu'on a le pire déficit commercial de l'histoire du Canada cette année. »
« Nous pensons que cet accord est mauvais. Il s'agit d'une brèche importante dans notre système de gestion de l'offre, c'est le cheval de Troie qu'ils tentent d'amener dans la gestion de l'offre », a-t-il ajouté, se différenciant davantage de ses adversaires.
Par Philippe-Vincent Foisy

vendredi, août 14, 2015

Dalles de béton de Postes Canada Coderre joue au démolisseur

http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/

Première publication 13 août 2015 à 11h53 
Mise à jour : 13 août 2015 à 20h12

Par Améli Pineda | 24 Heures
À lire également:
En colère contre Postes Canada, le maire de Montréal, Denis Coderre, a sorti son marteau piqueur jeudi après-midi pourdémolir les dalles de béton aménagées dans un parc-nature de l'Ouest-de-l'Île qui devait accueillir des boîtes postales.
«Le message qu'on envoie c'est que Postes Canada va nous respecter. La bullshit c'est assez», a-t-il lancé en arrivant sur les lieux.
(Photo Agence QMI) 
Plus tôt jeudi, le maire avait fait une sortie pour dénoncer l'implantation «sauvage» de dalles de béton dans le parc de l'Anse-à-l'Orme de l'arrondissement de Pierrefonds.
Le maire a soutenu que Postes Canada n'a jamais obtenu de permission de la Ville pour ces boîtes postales. Il s'est donc engagé personnellement à aller détruire l'installation de Postes Canada.
«Ils vont me poursuivre si je casse les dalles de béton? Qu'ils me poursuivent», a-t-il déclaré.
(Capture d'écran TVA Nouvelles)
Postes Canada n'a pas accordé d'entrevue au 24 Heures. La société de la Couronne a déclaré par écrit qu'elle était disposée à travailler avec la Ville de Montréal.
«Notre objectif est de sélectionner des emplacements qui sont sécuritaires, accessibles et pratiques pour les ménages dans chaque quartier. Nous serons heureux de discuter avec eux de leurs suggestions pour d'autres emplacements», a indiqué Phil Legault, de Postes Canada.

(TVA Nouvelles)

Prêt à récidiver

Le maire s'est même dit prêt à poursuivre les démantèlements. Il a déjà dans la mire des boîtes postales installées au parc du Cap-St-Jacques.
«On va les enlever aussi. Laissez-moi le temps», a-t-il souligné.
Il a fait savoir que la facture de toutes ces opérations sera envoyée à Postes Canada.
Interrogé à savoir s'il craignait que son geste inspire d'autres Montréalais mécontents, le maire a prévenu qu'il ne fallait pas prendre exemple sur lui.
«Je l'ai fait dans les règles. Avec un casque et tout le reste», a-t-il expliqué.
Sur place plusieurs curieux ont assisté à l'opération.
Alain Robitaille, du Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes, soutient que la Ville de Montréal n'avait plus d'autres choix que d'agir de la sorte.
«Ils sont assez cavaliers dans leur approche. On trouve ça déplorable et ce que le maire Coderre fait, c'est parce qu'on n'a pas le choix quand on n'est pas écouté», a-t-il commenté.

Appel aux chefs de partis

Le maire a également interpelé les chefs de partis. Il dit vouloir profiter de la campagne électorale pour obtenir des engagements et des actions de la part des chefs de partis.
«On a déjà demandé un moratoire. Maintenant, je veux savoir ce que chacun va faire concrètement dans ce dossier», a indiqué le maire Coderre.
En mai dernier, les Villes de Montréal, Wetsmount, Laval et Longueuil ont annoncé avoir entamé des procédures judiciaires contre Postes Canada pour maintenir la livraison du courrier à domicile.

vendredi, juillet 24, 2015

Coderre recommande Philippe Pichet à la direction du SPVM

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Publié par La Presse Canadienne le vendredi 24 juillet 2015 à 15h43. Modifié par 98,5 Sports à 17h06.
Coderre recommande Philippe Pichet à la direction du SPVM
Philippe Pichet/SPVM
MONTRÉAL - Le maire de Montréal, Denis Coderre, a annoncé vendredi après-midi la recommandation de Philippe Pichet à la direction du Service de police de la ville de Montréal (SPVM).

M. Pichet devrait ainsi remplacer Marc Parent, qui avait annoncé en mai dernier qu'il quitterait ses fonctions à la fin de son mandat, en septembre. La semaine suivante, Denis Coderre avait appelé les policiers intéressés par le poste à soumettre leur candidature.

Philippe Pichet était l'assistant-directeur au bureau du chef de police. Il a obtenu la préférence de M. Coderre parmi les cinq candidats qui s'étaient manifestés pour le poste.
Le reportage de Any Guillemette.
 
 
 
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En point de presse, M. Coderre a précisé qu'il ne s'agissait pour l'instant que d'une simple recommandation, même s'il a dit n'avoir aucun doute que celle-ci sera entérinée le mois prochain.

Sa nomination devrait ensuite être officialisée par la ministre de la Sécurité publique, Lise Thériault.

Denis Coderre a précisé que le candidat recommandé n'accorderait aucune entrevue.