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vendredi, décembre 04, 2015

Jacques Demers quitte les conservateurs

http://www.985fm.ca/national/nouvelles/

Publié par 98,5 fm pour 98,5 fm le jeudi 03 décembre 2015 à 13h51. Modifié par 98,5 Sports à 18h44.
Jacques Demers quitte les conservateurs
Jacques Demers/PC
(98,5 fm) - Le Sénateur Jacques Demers a remis sa démission au caucus conservateur. L'homme de 71 ans siégera dorénavant comme indépendant.
On en parle en ondes :
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Mis en ligne le jeudi 03 décembre 2015 dans Montréal maintenant avec Paul Houde
Au micro de Benoît Dutrizac, l'ancien entraîneur de hockey a expliqué avoir trouvé lourd le poids des erreurs de certains de ses collègues dans l'affaire des dépenses du Sénat.

Il a expliqué que des citoyens l'ont parfois apostrophé pour lui parler des exagérations de certains et qu'il n'a pas toujours trouvé ça facile. Le sénateur dit ne pas avoir l'intention de rallier les libéraux, il est cependant d'avis qu'il faut donner une chance au nouveau premier ministre Justin Trudeau.
Jacques Demers, dernier entraîneur du Canadien à avoir remporté la coupe Stanley, avait été nommé sénateur par Stephen Harper en 2009.
En point de presse, M. Demers a confié avoir souffert de voir la réputation de la chambre haute en prendre pour son rhume, dans la foulée du scandale des dépenses. Des blagues entendues tantôt sur le terrain de golf tantôt au restaurant lui sont restées sur le coeur.
« Je me suis dit que je ne me suis pas embarqué dans ça pour être vu comme quelqu'un qui n'est pas respecté », a-t-il soutenu.

Les abus de certains de ses collègues avaient commencé à le tracasser il y a plus de deux ans. Quand les dépenses de Mike Duffy, Pamela Wallin et Patrick Brazeau avaient été dévoilées au grand jour, M. Demers avait confié « être en réflexion » quant à son avenir politique. Il avait finalement choisi de demeurer en poste, par loyauté envers Stephen Harper, qui l'avait nommé.
À l'écart

Cette fois, la goutte qui a fait déborder le vase, c'est qu'on l'ait tenu à l'écart de la campagne électorale conservatrice cet été. Il avait pourtant mis la main à la pâte pour donner un coup de pouce à des candidats conservateurs en 2011.

« Là, soudainement, on n'a plus besoin de moi? Ça, ça m'a affecté. Parce qu'on vient de me dire: "tu fais partie de l'équipe pour la première élection, mais là, durant la deuxième élection, tu ne fais plus partie de l'équipe" », s'est-il désolé.

En raison de la mauvaise presse du Sénat, les organisateurs conservateurs n'ont pas confié de grand rôle aux sénateurs du Québec.

« On me dit, soudainement: "on ne veut plus te voir la face là parce qu'on n'a plus besoin de toi". Bien, ok », a illustré le sénateur.

Le sénateur conservateur Jean-Guy Dagenais confirme que les sénateurs n'avaient pas été invités au lancement de la campagne dans la circonscription de Mont-Royal. Cela l'a déçu, mais pas offusqué outre mesure.

« On nous avait demandé d'être plus discrets. Ceci étant dit, ça ne m'a pas du tout empêché d'aller appuyer des candidats de la région de Montréal », a insisté M. Dagenais.

M. Dagenais, tout comme un autre de ses collègues, Claude Carignan, respecte toutefois la décision de M. Demers de siéger à titre d'indépendant.

« Je suis très content qu'il va continuer à demeurer au Sénat (...). Il semblait avoir plus de difficulté à travailler à l'intérieur d'un parti », a dit M. Dagenais.

Après sa carrière d'entraîneur, a poursuivi sa carrière comme commentateur sportif, avant d'être nommé au Sénat en 2009. Sa nomination en avait surpris plus d'un, dont le principal intéressé, de son propre aveu. Il avait révélé quelques années plus tôt son analphabétisme fonctionnel qu'il avait caché tout au long de sa carrière d'entraîneur.

M. Demers estime que sa position d'indépendant lui permettra de faire davantage avancer les dossiers qui lui tiennent à coeur, notamment l'aide à l'alphabétisation.
(Avec La Presse canadienne)

samedi, novembre 07, 2015

Les conservateurs prêts à appuyer une enquête sur les femmes autochtones disparues

http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/politique/

Mise à jour le vendredi 6 novembre 2015 à 19 h 44 HNE
Rona Ambrose
Rona Ambrose, chef intérimaire du Parti conservateur  Photo :  PC/Sean Kilpatrick
Après avoir défendu la position inverse, y compris durant la dernière campagne électorale, voilà que le Parti conservateur se dit prêt à appuyer une enquête publique sur les meurtres et disparitions de femmes autochtones.
C'est ce qu'a indiqué la chef intérimaire de la formation, Rona Ambrose, dans une entrevue à CBC, vendredi. « Si le gouvernement libéral veut faire une enquête, et qu'ils croient que c'est une chose importante à faire, je l'appuierai », a déclaré Mme Ambrose.
La chef intérimaire conservatrice a eu une rencontre avec la nouvelle ministre de la Justice, Jody Wilson-Raybould, vendredi. « Notre approche a toujours été de dire "ne faisons pas d'autres études, et agissons davantage". Si ce gouvernement veut faire cette enquête, nous l'appuierons, a ajouté Rona Ambrose. Je lui ai dit : "je vous appuierai de toute manière". »
« Il s'agit d'un enjeu absolument non partisan. »— Rona Ambrose, chef intérimaire du Parti conservateur

Interrogé à ce sujet au cours de la campagne électorale, l'ex-chef conservateur Stephen Harper a réitéré que des rapports avaient déjà été produits à ce sujet, dont un de la GRC qui indiquait, selon l'ex-premier ministre, que la majorité des cas de disparition et de meurtre avaient été résolus.
Des organisations autochtones, ainsi que des gouvernements provinciaux et Human Rights Watch, réclament une commission d'enquête depuis plus de trois ans.

mercredi, octobre 07, 2015

Élections Canada 2015 Jagdish Grewal lâché par les conservateurs pour ses propos sur l'homosexualité

http://ici.radio-canada.ca/sujet/

Mise à jour le mardi 6 octobre 2015 à 20 h 48 HAE   La Presse Canadienne
Le candidat conservateur dans Mississauga-Malton, Jagdish Grewal
Le candidat conservateur dans Mississauga-Malton, Jagdish Grewal  Photo :  Radio-Canada/Twitter

Jagdish Grewal n'est plus le candidat conservateur dans Mississauga-Malton, dans la région de Toronto. Le Parti conservateur l'a désavoué après qu'il eut défendu les thérapies visant à ramener les gais sur le chemin de l'hétérosexualité.
M. Grewal a même écrit un éditorial sur le sujet dans lequel il qualifie l'homosexualité de « comportement contre nature » et décrit les hétérosexuels comme étant « normaux ». Il a publié ce texte dans le journal Punjabi Post plus tôt cette année, avec le titre : « Est-ce mal pour un homosexuel de vouloir devenir normal? »
Dans l'article, il fait référence à un projet de loi émanant d'un député néo-démocrate provincial qui a été adopté à l'unanimité par l'Assemblée législative ontarienne en juin et qui met un terme au financement public des services ayant pour objectif de « changer ou d'influencer l'orientation sexuelle ou l'identité de genre d'un patient ».
M. Grewal écrit que, selon certains psychologues, l'homosexualité est causée par un traumatisme subi durant l'enfance, mais que ce changement peut être « corrigé ».
« Si un parent a le droit d'établir des lignes directrices pour ses enfants sur le plan de l'éducation, de la carrière et de la santé, pourquoi n'a-t-il pas le droit de vouloir renforcer l'hétérosexualité naturelle de sa progéniture? » s'interroge le candidat dans son éditorial.
« Ces propos ne reflètent en rien les positions du Parti conservateur du Canada, a réagi le parti. Nous croyons que tous les Canadiens - quels que soient leur race, leur religion, leur sexe ou leur orientation sexuelle - méritent d'être traités avec respect et dignité ».
En entrevue mardi, Jagdish Grewal a déclaré que son but était d'informer les lecteurs à propos d'un enjeu ayant déjà fait les manchettes en exposant les points de vue des différents partis politiques provinciaux et des psychologues.
Il a dit ne pas se souvenir des noms des psychologues mentionnés dans son texte.
Dans l'éditorial, il cite l'Alliance for Therapeutic Choice and Scientific Integrity, un groupe américain qui propose des thérapies aux personnes souffrant « d'attirances homosexuelles non désirées ».
« Oui, il y a des enfants qui ont des tendances, qui ressentent certaines attirances, a reconnu M. Grewal. Mais si un enfant confie à ses parents qu'il veut abandonner ce mode de vie, alors ces derniers devraient avoir le droit de le ramener sur le chemin de l'hétérosexualité. »
Le texte du candidat conservateur n'évoque pas les critiques formulées par les professionnels de la santé relativement à ces thérapies « réparatrices » ou « de conversion ». L'avis de la Société canadienne de pédiatrie en ce qui a trait à l'orientation sexuelle des adolescents stipule que ce type de traitement ne devrait pas être administré parce qu'il ne fonctionne pas et parce qu'il peut accroître les sentiments de culpabilité et d'angoisse.
Le Parti progressiste-conservateur de l'Ontario a accordé son soutien au projet de loi contre ces thérapies.
Le principal adversaire de M. Grewal est le libéral Navdeep Bains, un ancien député qui agit aussi comme organisateur pour le Parti libéral à Toronto.
Un dépliant récemment distribué dans la circonscription et portant la mention « Autorisé par l'agent électoral de Jagdish Grewal » en petits caractères comprend une photo du leader libéral, Justin Trudeau, et de la première ministre de l'Ontario, Kathleen Wynne, prise durant le défilé de la fierté gaie de Toronto. Le titre : « Est-ce que cela correspond aux priorités de votre famille? »
Certaines communautés culturelles se sont opposées au nouveau programme d'éducation sexuelle mis de l'avant par le gouvernement ontarien, qui traite notamment d'orientation sexuelle, d'identité de genre et d'homophobie.
Jagdish Grewal a révélé avoir reçu beaucoup de plaintes de la part d'électeurs musulmans, sikhs et hindous choqués par ce programme, soutenant que c'était le principal sujet de discussion lorsqu'il faisait du porte-à-porte.
M. Bains n'était pas d'accord, faisant valoir que la population comprenait qu'un député fédéral n'avait pas le pouvoir de réformer un programme éducatif provincial.
« Le taux de chômage est élevé, plus élevé que la moyenne nationale, le taux de chômage chez les jeunes est élevé et les gens sont inquiets par rapport à l'économie et à leur emploi, a-t-il affirmé à propos des habitants de Mississauga-Malton. Ce sont là les questions qui les préoccupent. »
Le chef du Nouveau Parti démocratique, Thomas Mulcair, a demandé à Stephen Harper d'exclure le candidat Grewal, pour « ses propos homophobes inacceptables ».

Eaux usées: Coderre accuse les conservateurs

http://www.985fm.ca/national/nouvelles/

Publié par 98,5 fm pour CogecoNouvelles le mardi 06 octobre 2015 à 15h30. Modifié par Charles Payette le mercredi 07 octobre 2015
Eaux usées: Coderre accuse les conservateurs
Denis Coderre/Cogeco Nouvelles
(Cogeco Nouvelles) - Le maire de Montréal, Denis Coderre, accuse les conservateurs de faire de la politique avec le dossier du rejet de huit milliards de litres d'eaux usées dans le fleuve Saint-Laurent.

Réagissant à la demande d'Ottawa de suspendre son projet, le maire Coderre a réaffirmé n'avoir d'autres choix que de déverser ces déchets provoqué par les travaux de l'autoroute Bonavanture.
Le ministre Denis Lebel et le maire Denis Coderre.
 
 
 
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On en parle en ondes :
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Mis en ligne le mercredi 07 octobre 2015 dans Puisqu'il faut se lever avec Mario Dumont, Commission Curzi-Dumont et Pierre Curzi
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Mis en ligne le mercredi 07 octobre 2015 dans Puisqu'il faut se lever avec Paul Arcand
Le maire Coderre a aussi déploré la récupération politique du chef néodémocrate Thomas Mulcair, mais c'est aux conservateurs qu'il a lancé ses flèches.
Mardi matin, le ministre conservateur responsable de Montréal, Denis Lebel, a expliqué que le déversement pourrait aller à l’encontre de l’article 36.3 de la Loi sur les pêches qui précise «qu’il est interdit d’immerger ou de rejeter une substance nocive dans des eaux où vivent des poissons ».
« C’est un sujet qui soulève beaucoup de passion aujourd’hui, a affirmé M. Lebel. Ce sont les spécialistes d’environnement Canada qui vont prendre le temps de regarder ce dossier. »
Le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal soutenaient pourtant qu’il s’agissait de l’unique solution.
La Ville devait déverser ces milliards d’eaux usées à partir du 18 octobre, la veille de l’élection.
Thomas Mulcair et Justin Trudeau, deux candidats montréalais, ont aussi du commenter le dossier aujourd’hui.
« L'idée qu'en 2015, on va lâcher des milliards de litres d'eaux usées dans le St-Laurent, c'est tellement saugrenu que c'est évident qu'un gouvernement du NPD ne le permettrait pas », a affirmé M. Mulcair.
Il a aussi promis qu’un gouvernement néo-démocrate sera un partenaire des villes pour qu’elles aient l’argent nécessaire pour leurs usines d’épuration.
Le chef libéral Justin Trudeau a refusé de dire s’il s’y opposerait, préférant plutôt attaquer les gouvernements conservateurs.
« Je comprends aussi la position impossible dans laquelle le gouvernement fédéral, qui a refusé d'être un partenaire adéquat pour le traitement des eaux usées à travers le pays, a mis nos élus et nos villes», a-t-il affirmé.
PTP au centre des discussions
Stephen Harper promet un milliard $ pour l’industrie automobile, afin d’atténuer les impacts du Partenariat transpacifique (PTP) : une admission que des milliers d’emplois seront perdus, selon Thomas Mulcair.
Justin Trudeau est pour sa part resté vague refusant de commenter l’utilité des compensations aux agriculteurs ou à l’industrie automobile, ni les bien-fondés de l’accord lui-même.
«On va regarder les détails de cet accord. Pour l’instant, on n’a pas les détails au complet. On va regarder ce que le gouvernement propose dans les semaines et les mois à venir», a-t-il répondu, en déplorant le fait que les négociations aient été menées en secret.
Pour le chef conservateur, ces 100 millions $ par année pour les 10 prochaines années «ne sont pas des compensations, mais des programmes incitatifs. »
Selon lui, ces sommes ne sont pas les mêmes que les 4,3 milliards$ promise lundi aux agriculteurs affectés par la brèche dans la gestion de l’offre.
«Nous investissons dans ce secteur pour attirer ces mandats. Pour garder des mandats continental et mondial, c'est nécessaire d'avoir un tel accès au marché », a indiqué le chef conservateur.
Le chef du NPD Thomas Mulcair a profité d’une annonce de statistique Canada pour attaquer le chef conservateur.
Selon l’agence fédérale, en août, les exportations du Canada ont diminué de 3,6%, ce qui entraine une hausse du déficit du commerce de marchandises qui est passé de 817 millions de dollars en juillet à 2,5 milliards en août.
« M. Harper se vante d'avoir signé plus de 50 ententes et que c'est bon pour l'économie, a-t-il lancé. La preuve que c'est faux, c'est qu'on a le pire déficit commercial de l'histoire du Canada cette année. »
« Nous pensons que cet accord est mauvais. Il s'agit d'une brèche importante dans notre système de gestion de l'offre, c'est le cheval de Troie qu'ils tentent d'amener dans la gestion de l'offre », a-t-il ajouté, se différenciant davantage de ses adversaires.
Par Philippe-Vincent Foisy

mardi, septembre 29, 2015

Vote à visage couvert: les conservateurs moins pressés

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Publié par 98,5 fm pour 98,5 fm le lundi 28 septembre 2015 à 14h04. Modifié à 16h28.
Vote à visage couvert: les conservateurs moins pressés
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(98,5 fm) - Le Parti conservateur n'entend pas passer rapidement une loi qui interdirait le vote à visage couvert, s'il prend le pouvoir.
Le ministre de la Sécurité publique Steven Blaney a expliqué que son parti désirait se concentrer uniquement sur la cérémonie de citoyenneté.
«Le vote est un geste privé qui se fait dans l'isoloir, a expliqué le député de Lévis-Bellechasse. Le serment de citoyenneté, ça veut dire que tu adhères à la société canadienne. On t'accueille les bras ouverts, mais viens nous respecter, respecte les valeurs et ce que nous sommes. On a besoin de faire en sorte que les générations futures puissent vivre dans un monde libre dans lequel on n'a pas besoin de se promener avec une cagoule sur la tête.»
Pourtant, en 2007, Stephen Harper avait annoncé une loi pour interdire le vote à visage couvert, dont un déposé par M. Blaney.
La controverse entourant le niqab a fait gagner des points au Parti conservateur dans les récents sondages, tandis que le NPD continue de reculer surtout au Québec.

jeudi, septembre 24, 2015

Élections Canada 2015 Sondages Ekos et Léger : le niqab propulse les conservateurs en tête

http://ici.radio-canada.ca/sujet/

Une femme portant le niqab
Une femme portant le niqab  Photo :  AFP/FRED DUFOUR

Le Nouveau Parti démocratique (NPD) perd des appuis au Québec en vue des élections du 19 octobre et le parti est tombé au troisième rang des intentions de vote dans l'ensemble du Canada, selon les derniers sondages Ekos et Léger.
Le Parti conservateur (PC) profite de ce recul du NPD pour se hisser en tête dans l'ensemble du pays.
Le sondage Ekos publié dans le quotidien La Presse ce matin place les conservateurs en en avance avec 35 % des intentions de vote, le Parti libéral du Canada (PLC) arriverait deuxième avec 26 % et le NPD arrive troisième avec 24 %.
Intentions de vote au Canada Photo :  Radio-Canada
Le PC effectue une remontée de six points de pourcentage en une semaine, selon ce sondage. Une remontée principalement attribuable à la position du parti sur le port du niqab lors de la prestation de serment de citoyenneté.
Le sondage Ekos a été effectué du 17 au 22 septembre auprès de 2343 personnes et sa marge d'erreur est de 2 %. L'écart qui sépare le PLC du NPD se retrouve ainsi dans la marge d'erreur.
L'autre sondage, le Léger réalisé pour le compte du journal The Globe and Mail, place le PC et le PLC à égalité en tête des intentions de vote, avec 31 % des intentions de vote chacun dans l'ensemble du pays.
Tout comme le sondage précédent, celui-ci place le NPD en troisième position des intentions de vote au Canada. Il demeure toutefois en tête au Québec, avec 38 % des intentions de vote, malgré une perte de huit points de pourcentage en trois semaines dans la Belle Province.
Intentions de vote au Québec Photo :  Radio-Canada
Les libéraux se classent deuxièmes au Québec avec 22 % d'appui suivi du Bloc québécois avec 20 % et les conservateurs en quatrième position avec 18 % des intentions de vote.
Le sondage Léger / The Globe and Mail a été effectué auprès de 1023 personnes et sa marge d'erreur est de 2,1 %.

mercredi, septembre 23, 2015

Les conservateurs accusés de politiser Terry Fox

http://www.lapresse.ca/actualites/elections-federales/

Publié le 23 septembre 2015 à 07h10 | Mis à jour à 07h10
Terry Fox... (PHOTO D'ARCHIVES)
Terry Fox  PHOTO D'ARCHIVES

Un engagement électoral du Parti conservateur pour la recherche sur le cancer a suscité un malaise au sein de la Fondation Terry Fox.
Dimanche, le premier ministre Stephen Harper a voulu rendre hommage à ce «véritable héros canadien» qui a couru pendant 143 jours il y a 35 ans. Son parti a alors annoncé qu'un gouvernement conservateur réélu doublerait les dons versés à l'organisation portant son nom, jusqu'à concurrence de 35 millions.
Rapidement, la Fondation a tenu à prendre ses distances, en disant avoir toujours pris soin d'éviter de politiser ses activités. «On ne devrait pas politiser un héros canadien comme Terry Fox», a d'ailleurs dénoncé pour sa part le chef du Nouveau Parti démocratique, Thomas Mulcair.

vendredi, mai 08, 2015

Les conservateurs de Cameron minoritaires au Royaume-Uni

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Publié par La Presse Canadienne le jeudi 07 mai 2015 à 18h19. Modifié par 98,5 Sports à 22h06.
Les conservateurs de Cameron minoritaires au Royaume-Uni
David Cameron/Twitter
LONDRES - Si les sondages à la sortie des urnes se confirment, les conservateurs du premier ministre sortant David Cameron seraient en mesure de former le prochain gouvernement du Royaume-Uni, surpassant les prédictions avancées dans les dernières semaines.
Or, ils seront encore vraisemblablement forcés à conclure une entente avec un ou plusieurs partis pour constituer une coalition.
Selon les chiffres compilés par les firmes GfK et Ipsos MORI et diffusés par les grands réseaux télévisés britanniques, les conservateurs pourraient gagner 316 sièges, contre 239 pour les travaillistes d'Ed Miliband.
Un parti doit récolter 326 sièges sur 650 pour former un gouvernement majoritaire. La négociation d'un gouvernement de coalition pourrait être un processus long de plusieurs jours, voire plusieurs semaines.

Aux dernières élections de 2010, les conservateurs, minoritaires, avaient dû s'entendre avec les libéraux-démocrates de Nick Clegg — qui, selon les sondages, perdraient une bonne partie de leurs acquis des dernières élections.

Par ailleurs, le Parti national écossais (SNP) ferait une percée spectaculaire, en s'emparant de 58 des 59 sièges en Écosse, la plupart des mains des travaillistes.

Ces prédictions doivent toutefois être considérées avec précaution puisque les résultats finaux devraient être très serrés. Les partis d'opposition ont d'ailleurs rapidement mis en garde le public lorsque les premiers chiffres ont été révélés.

«Ces sondages doivent être pris avec BEAUCOUP de précaution. J'espère que nous aurons une bonne soirée, mais je crois que de (récolter) 58 sièges est peu probable», a écrit la chef du Parti national écossais Nicola Sturgeon sur son compte Twitter.

L'ancien chef du Parti libéral-démocrate Paddy Ashdown a même dit sur les ondes de la BBC qu'il «mangerait son chapeau» si les chiffres se concrétisaient.

Les données récoltées dans les sondages à la sortie des urnes, menés auprès de 22 000 électeurs britanniques, diffèrent considérablement de celles publiées dans les dernières semaines, qui plaçaient les conservateurs et les travaillistes aux coudes-à-coudes.

Le maire de Londres Boris Johnson, qui s'est présenté pour le Parti conservateur, a indiqué que ces chiffres signalaient une «victoire manifeste» des conservateurs et une «très mauvaise soirée pour les travaillistes».

Les premiers résultats officiels arrivaient au compte-goutte, jeudi soir. Vers 21 h, heure du Québec, les travaillistes avaient élu neuf députés, contre trois députés conservateurs. Le Parti unioniste démocrate de l'Irlande du Nord, avait élu deux députés. Le Sinn Féin et le Parti social-démocrate et travailliste, de la même région, avaient un député chacun.