Annonce

Aucun message portant le libellé Louise Chabot. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé Louise Chabot. Afficher tous les messages

lundi, janvier 04, 2016

La CSQ promet de poursuivre la lutte à l'austérité

http://www.lapresse.ca/actualites/politique/

Publié le 03 janvier 2016 à 12h58 | Mis à jour le 03 janvier 2016 à 17h41
Selon la présidente de la CSQ, Louise Chabot,... (PHOTO JEAN-MARIE VILLENEUVE, ARCHIVES LE SOLEIL)
PHOTO JEAN-MARIE VILLENEUVE, ARCHIVES LE SOLEIL
Selon la présidente de la CSQ, Louise Chabot, le gouvernement Couillard continue d'« étrangler financièrement » les services publics au profit du secteur privé.

MAGDALINE BOUTROS
La Presse Canadienne
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) a promis dimanche de poursuivre la lutte à l'austérité, malgré la conclusion d'une entente de principe avec le gouvernement Couillard sur les conditions de travail des employés de l'État.
« On sait que le gouvernement continue, persiste et signe dans sa volonté de réduire de façon ''exemplaire'' dans les services de garde, en santé, en éducation et ça, c'est un non-choix pour l'ensemble de la société québécoise », tonne la présidente de la CSQ, Louise Chabot, en entrevue à La Presse Canadienne.
Elle demande aux travailleurs de retrousser leurs manches afin de faire reculer le gouvernement avant le prochain budget.
« Si nous ne l'arrêtons pas, il va causer des dommages considérables à notre société », s'inquiète-t-elle.
Les politiques d'austérité mises de l'avant par le gouvernement de Philippe Couillard n'ont « rien à voir avec l'état des finances publiques, mais plutôt avec un préjugé favorable au secteur privé », dénonce-t-elle dans un communiqué.
Mme Chabot s'indigne de la tangente qu'a prise Québec en « étranglant financièrement » les services publics pour lancer « une véritable révolution du rôle de l'État au profit du secteur privé ».
La centrale syndicale dit vouloir profiter des assemblées générales qui seront organisées au cours des prochaines semaines pour relancer la mobilisation.
« Ça va prendre beaucoup de sensibilisation et d'information, c'est certain », convient Mme Chabot qui estime tout de même que les membres de la CSQ seront au rendez-vous pour poursuivre leur lutte pour la défense des services publics.
À l'occasion de ces assemblées, les membres de la CSQ seront invités à voter sur l'entente de principe, fixant les conditions de travail des employés de l'État, conclue par le front commun le 17 décembre.
Malgré plusieurs voix discordantes, Mme Chabot a confiance de voir les membres de la CSQ entériner l'entente.
« C'est certain qu'il y aura des espoirs déçus avec cette entente, glisse-t-elle. [...] Mais je pense que c'est une bonne entente. »

jeudi, décembre 17, 2015

Entente de principe entre le front commun et le gouvernement

http://www.985fm.ca/national/nouvelles/

Publié par La Presse Canadienne le jeudi 17 décembre 2015 à 16h13. Modifié par 98,5 fm à 17h19.
Entente de principe entre le front commun et le gouvernement
Louise Chabot / Page Facebook de la Centrale des syndicats du Québec
MONTRÉAL - Québec et les syndicats du front commun représentant 400 000 des 550 000 employés de l'État ont finalement conclu une entente de principe, jeudi.

C'est la présidente de la Centrale des syndicats du Québec, Louise Chabot, qui en a fait l'annonce en une seule phrase, jeudi en fin d'après-midi.
Les cinq chefs syndicaux du front commun avaient lancé mercredi une séance intensive de négociation à l'appel du président du Conseil du trésor, Martin Coiteux. Ces discussions, qui ont repris jeudi matin, ont visiblement porté fruit.
Mme Chabot n'a donné aucun détail quant au contenu de cette entente de principe conclue à la table centrale, c'est-à-dire qui porte sur les salaires et le régime de retraite.

Juste après, le ministre Coiteux a à son tour pris la parole, mais n'en a guère dit davantage, si ce n'est que pour indiquer que l'entente de principe «respecte le cadre budgétaire» que s'était donné le gouvernement du Québec et que la négociation s'était déroulée dans un cadre budgétaire «difficile».

Comme le veut le processus habituel, chaque organisation syndicale devra ensuite soumettre cette entente de principe à une instance intermédiaire de négociation, avant que celle-ci puisse cheminer jusqu'aux membres en assemblées générales.

Depuis le début de cette longue négociation, il y a un an, une quarantaine d'ententes de principe étaient également intervenues aux tables sectorielles avec différents syndicats, membres et non membres du front commun. À ces tables sont discutées les questions touchant l'organisation du travail, la précarité d'emploi et les tâches, par exemple.

Le front commun est constitué de la CSN, de la FTQ et du Secrétariat intersyndical des services publics, qui est lui-même constitué de la CSQ, de l'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) ainsi que du Syndicat de la fonction publique du Québec.

dimanche, juin 28, 2015

Austérité: la CSQ et la FSE tiennent des actions syndicales symboliques dimanche

http://quebec.huffingtonpost.ca/

 |  Par La Presse Canadienne  Publication: 
LOUISE CHABOT
La présidente de la CSQ, Louise Chabot
QUÉBEC _ Dans le cadre de son congrès qui se déroule à Québec, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) a organisé dimanche matin, une course et une marche symboliques sur les plaines d'Abraham, pour dénoncer les mesures d'austérité.
La CSQ signale que ces deux activités visent à démontrer "qu'il faut être en forme pour suivre les politiques nébuleuses du gouvernement Couillard".
La centrale veut également souligner que ses membres n'hésiteront pas à "prendre la rue" pour contrer la rigueur budgétaire du gouvernement libéral.
La présidente de la CSQ, Louise Chabot, se dit déterminée à freiner ce qu'elle appelle "la course folle au déficit zéro imposée aux plus démunis, aux jeunes, aux femmes et à la classe moyenne".
Parallèlement, la Fédération des syndicats de l'enseignement (FSE), affiliée à la CSQ, procédera dimanche après-midi à la livraison d'une carte de souhaits grand format au ministre de l'Éducation François Blais. L'événement se déroulera devant les bureaux du ministère de l'Éducation, rue de la Chevrotière.
Les enseignants pressent le ministre de mettre fin aux compressions dans le réseau scolaire.