http://www.journaldemontreal.com/
MISE à JOUR
MISE à JOUR
QUÉBEC - Le Parti québécois (PQ) et la Coalition avenir Québec (CAQ) acceptent de soumettre leur financement politique à une vérification indépendante.
- À lire aussi: Oui à une enquête sur le financement du PLQ
Le chef du PQ, Pierre Karl Péladeau, et celui de la CAQ, François Legault, sont donc prêts à relever le défi que leur a lancé Philippe Couillard.
Le Journal de Québec a révélé mercredi que le premier ministre proposait de passer au peigne fin le financement du Parti libéral du Québec (PLQ) des 20 dernières années, à condition que les partis d’opposition acceptent de se prêter au jeu.
«Si la condition du chef du Parti libéral est que le Parti québécois fasse de même, je vous réponds que oui, nous ferons de même», a déclaré Pierre Karl Péladeau.
Il a ajouté que la seule façon pour rétablir la confiance des citoyens envers les élus était de «lever l’opacité qui est sur le PLQ depuis de nombreuses années».
Dans le cas de la CAQ, qui n’a été créée qu’en 2011, les libéraux exigent qu’elle soumette pour étude les livres de l’Action démocratique du Québec (ADQ), qu’elle a avalée en 2012. François Legault n’y voit aucun problème.
«On n’a rien à cacher», a-t-il déclaré.
Le chef de la CAQ propose même de rendre publics les résultats des vérifications indépendantes qui seront effectuées.
«Le premier ministre a fait un pas dans la bonne direction en acceptant d’ouvrir ses livres pour une vérification interne, mais il nous faut maintenant les détails, il faut que ces informations deviennent publiques», a-t-il fait valoir.
François Legault demande également à ce que le Directeur général des élections du Québec ait lui aussi la possibilité d’enquêter sur le financement politique des 20 dernières années. Le délai de prescription est actuellement de cinq ans.
Le Journal de Québec a révélé mercredi que le premier ministre proposait de passer au peigne fin le financement du Parti libéral du Québec (PLQ) des 20 dernières années, à condition que les partis d’opposition acceptent de se prêter au jeu.
«Si la condition du chef du Parti libéral est que le Parti québécois fasse de même, je vous réponds que oui, nous ferons de même», a déclaré Pierre Karl Péladeau.
Il a ajouté que la seule façon pour rétablir la confiance des citoyens envers les élus était de «lever l’opacité qui est sur le PLQ depuis de nombreuses années».
Dans le cas de la CAQ, qui n’a été créée qu’en 2011, les libéraux exigent qu’elle soumette pour étude les livres de l’Action démocratique du Québec (ADQ), qu’elle a avalée en 2012. François Legault n’y voit aucun problème.
«On n’a rien à cacher», a-t-il déclaré.
Le chef de la CAQ propose même de rendre publics les résultats des vérifications indépendantes qui seront effectuées.
«Le premier ministre a fait un pas dans la bonne direction en acceptant d’ouvrir ses livres pour une vérification interne, mais il nous faut maintenant les détails, il faut que ces informations deviennent publiques», a-t-il fait valoir.
François Legault demande également à ce que le Directeur général des élections du Québec ait lui aussi la possibilité d’enquêter sur le financement politique des 20 dernières années. Le délai de prescription est actuellement de cinq ans.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire