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Publié par La Presse Canadienne le samedi 05 mars 2016 à 07h50. Modifié par 98,5 fm à 08h29.
Photo: capture d'écran de la vidéo promotionnelle de la campagne web «Je garde ça pour moi»
MONTRÉAL - Trois grandes institutions bancaires québécoises s'unissent afin de contrer la cybercriminalité qui est en constante évolution.
Desjardins, la Banque Nationale et la Banque Laurentienne s'allient pour la première fois afin de mener la campagne «Je garde ça pour moi» et sensibiliser le public à l'importance de protéger ses renseignements personnels et bancaires en ligne.
Selon les trois institutions, bien qu'on entende de plus en plus parler de cybercriminalité, une bonne partie de la population ne sait pas reconnaitre les arnaques, ni comment se protéger. Ainsi, elles ont créé un site Internet, «jegardecapourmoi.com», dans lequel les pièges et les moyens de protection contre la fraude en ligne et le vol d'identité sont décrits.
Selon le Centre antifraude du Canada, les vols d'identité ont coûté aux consommateurs plus de 10 millions $ en 2015. Les banques en ont aussi fait les frais, dédommageant pour plusieurs millions de dollars de nombreux clients.
Benoit Dupont, professeur de criminologie à l'Université de Montréal et directeur scientifique du Réseau intégré sur la cybersécurité, souligne que les fraudeurs adaptent constamment leur méthodologie et leurs techniques pour tromper la vigilance des consommateurs.
De leur coté, les corps policiers incitent les victimes à signaler tout acte frauduleux afin de repérer les malfaiteurs.
Selon les trois institutions, bien qu'on entende de plus en plus parler de cybercriminalité, une bonne partie de la population ne sait pas reconnaitre les arnaques, ni comment se protéger. Ainsi, elles ont créé un site Internet, «jegardecapourmoi.com», dans lequel les pièges et les moyens de protection contre la fraude en ligne et le vol d'identité sont décrits.
Selon le Centre antifraude du Canada, les vols d'identité ont coûté aux consommateurs plus de 10 millions $ en 2015. Les banques en ont aussi fait les frais, dédommageant pour plusieurs millions de dollars de nombreux clients.
Benoit Dupont, professeur de criminologie à l'Université de Montréal et directeur scientifique du Réseau intégré sur la cybersécurité, souligne que les fraudeurs adaptent constamment leur méthodologie et leurs techniques pour tromper la vigilance des consommateurs.
De leur coté, les corps policiers incitent les victimes à signaler tout acte frauduleux afin de repérer les malfaiteurs.
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