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samedi, avril 09, 2016

Attentats de Paris: l'arrestation de Mohamed Abrini en Belgique confirmée

http://www.985fm.ca/international/nouvelles/

Publié par Associated Press le vendredi 08 avril 2016 à 19h47.
Attentats de Paris: l'arrestation de Mohamed Abrini en Belgique confirmée
BRUXELLES — Un fugitif soupçonné d'avoir pris part aux attentats de Paris a été appréhendé en Belgique, vendredi, ont annoncé les autorités belges, après une intervention policière liée aux attaques du 22 mars à Bruxelles qui a mené à cinq arrestations au total.
Le suspect, Mohamed Abrini, pourrait être le mystérieux ≪homme au chapeau≫ qui a été vu en train de quitter l'aéroport Zaventem après les deux explosions, selon l'un des représentants. Si c'est le cas, cela voudrait dire que Mohamed Abrini a joué un rôle important dans les deux attentats menés par une cellule du groupe armé État islamique (ÉI) qui ont fait un total de 162 morts, soit 130 à Paris et 32 à Bruxelles.

Les autorités belges disent devoir effectuer d'autres vérifications avant d'en venir à cette conclusion. Le procureur Eric Van der Sypt a précisé que le parquet enquêtait pour savoir si l'homme était bel et bien la troisième personne impliquée dans l'attentat à l'aéroport.

Un autre homme arrêté vendredi, Oussama K. — aussi appelé Naim Al Ahmed —, avait été vu avec le kamikaze du métro de Bruxelles, Khalid El Bakraoui, juste avant les attentats du 22 mars.

Oussama K. apparaissait également sur des caméras de sécurité du centre commercial City 2 lorsque les sacs qui ont servi aux assaillants de l'aéroport de Bruxelles ont été achetés.

Les empreintes digitales et l'ADN de Mohamed Abrini avaient été découverts sur une voiture Renault Clio utilisée lors des attentats de Paris, ainsi que dans un appartement du quartier Forest, à Bruxelles, qui avait été fréquenté par Salah Abdeslam, un autre suspect des attaques dans la capitale française.

Les arrestations de vendredi se sont produites un jour après que les autorités belges eurent diffusé des photos et des vidéos du suspect de l'aéroport bruxellois. Cinq heures après les arrestations initiales, les autorités belges menaient toujours une rafle dans le même quartier d'Anderlecht, à Bruxelles.

Le gouvernement belge et les représentants de la sécurité du pays se sont rencontrés vendredi pour évaluer les retombées de l'opération policière.

Mohamed Abrini était le dernier suspect connu encore en cavale relativement aux attentats du 13 novembre à Paris, bien que son rôle exact dans le massacre n'ait jamais été expliqué publiquement.

Âgé de 31 ans, le petit délinquant belge d'origine marocaine se serait rendu en Syrie au début de l'été dernier, pays où son frère cadet est mort en 2014 alors qu'il faisait partie de la ≪brigade francophone≫ de l'ÉI.

Il n'avait pas été vu depuis la publication d'une vidéo captée par une caméra de surveillance le montrant dans le convoi transportant les auteurs des attaques de la capitale française. Mohamed Abrini avait des liens avec Abdelhamid Abaaoud, le cerveau des attentats parisiens tué dans un affrontement avec la police le 18 novembre à Saint-Denis, et est un ami d'enfance de Salah et Brahim Abdeslam.

L'homme a séjourné à plusieurs reprises à Birmingham, en Angleterre, l'an dernier, rencontrant de nombreux individus soupçonnés de se livrer à des activités terroristes, a indiqué un représentant des autorités européennes en matière de sécurité.

La source a ajouté que ces rencontres s'étaient déroulées à de multiples endroits, dont des cafés et des appartements.

Mohamed Abrini avait fait le trajet vers Paris en compagnie de Salah Abdeslam, qui est présentement détenu en Belgique en raison de son implication dans les attentats de Paris, 36 heures avant les attaques dans la capitale française.

dimanche, février 28, 2016

Un suspect lié aux attentats de Paris arrêté dans le nord de l'Algérie

Publié le 28 février 2016 à 10h03 | Mis à jour à 10h03
Le djihadiste Abdelhamid Abaaoud a été tué lors d'une... (PHOTO TIRÉE DE L'INTERNET)
Le djihadiste Abdelhamid Abaaoud a été tué lors d'une descente de la police menée dans une banlieue parisienne cinq jours après les attentats du 13 novembre.
PHOTO TIRÉE DE L'INTERNET
Associated Press
PARIS
Les autorités algériennes ont arrêté un homme soupçonné d'avoir des liens avec le cerveau des attentats de Paris, Abdelhamid Abaaoud.
Selon APS, l'agence de presse officielle de l'Algérie, un tribunal de la province de Bejaia a annoncé que le suspect, un citoyen algérien vivant en Belgique, avait été placé en détention, mardi, dans la ville d'Akbou, dans le nord du pays.
L'identité de l'individu et les accusations pesant contre lui n'ont pas été divulguées.
D'après la déclaration du tribunal, l'homme serait lié aux attaques terroristes survenues dans la capitale française l'automne dernier.
Quatre des personnes impliquées dans les attentats du 13 novembre, qui ont fait 130 morts dans la Ville Lumière, résidaient en Belgique, incluant Abaaoud, qui a été tué lors d'une descente de la police menée dans une banlieue parisienne cinq jours plus tard.

lundi, décembre 21, 2015

Attentats de Paris: 5 personnes arrêtées en Belgique, dont deux frères

http://www.985fm.ca/international/nouvelles/

Publié par Associated Press le lundi 21 décembre 2015 à 07h59. Modifié par Charles Payette à 08h33.
Attentats de Paris: 5 personnes arrêtées en Belgique, dont deux frères
BRUXELLES - Cinq personnes, dont deux frères, ont été arrêtées en Belgique en lien avec les attentats terroristes de Paris.
Le bureau du procureur fédéral a dit que deux personnes ont été épinglées lundi lors d'une perquisition dans le quartier bruxellois de Laeken.

Les deux frères ont été arrêtés dimanche soir lors d'une autre perquisition menée à Bruxelles sur ordre d'un juge antiterrorisme. Un de leurs amis a aussi été interpelé.

Le bureau du procureur a révélé que les perquisitions ont été lancées après une analyse des registres des appels téléphoniques.

Ni armes, ni explosifs, n'ont été retrouvés lors des perquisitions, et les individus n'ont pas été identifiés.

Le juge d'enquête déterminera si les cinq hommes doivent demeurer en détention.

Les attentats de Paris, qui ont fait 130 morts le 13 novembre, ont été revendiqués par le groupe armé État islamique.

jeudi, novembre 19, 2015

Fin de course pour le vétéran djihadiste Abaaoud?

http://www.ledevoir.com/international/

19 novembre 2015 | Europe 
Nicolas Gaudichet - Agence France-Presse à Paris
Andréa Bambino - Agence France-Presse
Un passant lève les bras devant l’escouade tactique postée devant l’appartement de Saint-Denis, dans la nuit de mardi.
Photo: Kenzo Tribouillard Agence France-Presse

Un passant lève les bras devant l’escouade tactique postée devant l’appartement de Saint-Denis, dans la nuit de mardi.

Présenté comme possible inspirateur des attentats de Paris, les plus graves de l'histoire de France, le djihadiste belge Abdelhamid Abaaoud est-il en Europe, est-il en vie ? En soirée mercredi, le Washington Post rapportait que l'homme tué lors de..

POUR LES MEMBRES..
LIRE LA SUITE...
http://www.ledevoir.com/international/europe/455662/fin-de-course-pour-le-veteran-djihadiste-abaaoud?



L’assaut de Saint-Denis, heure par heure
Vers 4 h 20 L’assaut est lancé par la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire et l’unité d’élite du RAID contre un appartement dans le centre piétonnier de Saint-Denis, (au nord de la capitale). Une fusillade se produit. Les enquêteurs se sont orientés vers la piste de cet appartement après avoir recueilli un témoignage faisant état de la présence du djihadiste belge Abdelhamid Abaaoud, suspecté d’être l’inspirateur des attentats du 13 novembre, sur le territoire français, expliquera plus tard François Molins. Le Stade de France, une des cibles des attentats de vendredi, est situé à une vingtaine de minutes à pied de l’appartement.

4 h 30 Les pompiers interviennent en soutien du RAID face à « un groupe armé retranché dans un appartement »« La porte blindée de l’appartement a résisté dans un premier temps aux charges explosives du RAID, ce qui a permis aux terroristes de préparer leur riposte. Des tirs très nourris et quasi ininterrompus se produisent pendant près d’une heure, plus de 5000 munitions ont été tirées du côté de la police », racontera François Molins. Puis « a retenti une explosion », une femme ayant vraisemblablement « activé son gilet explosif », ce qui devra « être vérifié », toujours selon le procureur.

Vers 4 h 45 Le RAID parvient à interpeller dans l’immeuble trois personnes, dont l’une blessée par balle au bras, selon le procureur.

Vers 5 h Les tirs reprennent, selon des riverains. Le quartier est complètement bouclé par les forces de l’ordre.

6 h 20 Métros, bus et tramways desservant Saint-Denis sont à l’arrêt.

7 h 21 La préfecture annonce la fermeture des écoles et collèges du centre-ville de Saint-Denis.

7 h 30 De fortes détonations sont entendues, trois heures après le début de l’opération ponctuée d’intenses fusillades.

7 h 40 La préfecture recommande aux habitants de rester chez eux.

7 h 58 Une cinquantaine de militaires sont déployés à Saint-Denis.

8 h 05 Le président François Hollande suit l’opération dans son bureau à l’Élysée, avec le premier ministre Manuel Valls et le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve.

8 h 30 Poursuite de l’opération antiterroriste qui mobilise également un hélicoptère.

10 h Un Conseil des ministres est maintenu à l’Élysée alors que l’opération se poursuit.

11 h 26 Une source policière annonce la fin de l’assaut. Huit personnes ont été interpellées au total, dont trois près de l’appartement visé, deux dans les gravats de l’immeuble et les autres sur la voie publique. Cinq policiers ont été légèrement blessés.

19 h Lors de l’opération, « une nouvelle équipe de terroristes a été neutralisée et tout laisse à penser que, au regard de leur armement, leur organisation structurée et leur détermination, ce commando pouvait passer à l’acte », déclare François Molins lors d’une conférence de presse. Au moins deux des individus ont été tués. Des vérifications sont en cours pour savoir si Abdelhamid Abaaoud, et Salah Abdeslam, suspect clé traqué par la police, ont été tués dans l’assaut. « Abaaoud et Salah Abdeslam ne font pas partie des gardés à vue », a en tout cas indiqué François Molins.

dimanche, novembre 15, 2015

Attentats de Paris: un suspect en fuite recherché par la police

http://www.985fm.ca/international/nouvelles/

Publié par Associated Press le dimanche 15 novembre 2015 à 12h43. Modifié par Jacques Thériault à 13h01.
Attentats de Paris: un suspect en fuite recherché par la police
PARIS ? Les autorités françaises ont émis un mandat de recherche pour retrouver un suspect en fuite lié aux attentats de Paris de vendredi soir, ajoutant qu'il est dangereux pour quiconque n'est pas dans les forces de l'ordre de le confronter directement.
La police nationale de France a fait circuler la photo de Salah Abdeslam, un citoyen belge né en 1989 en Belgique. Il mesure 1 mètre 75 et a les yeux marron.

Les autorités croient que c'est l'homme qui a loué le véhicule Polo de Volkswagen, utilisé par le groupe qui a pris des otages à la salle de spectacle Le Bataclan, où il y a eu 89 morts. Les attentats ont fait un total de 129 morts et 352 blessés, dont 99 reposent dans un état grave.

Les autorités croient que trois frères d'une même famille sont impliqués dans le massacre. L'homme recherché serait l'un des trois frères. L'un des frères du suspect a été arrêté en Belgique, et un troisième de la famille est mort dans les attaques.

Trois fusils Kalachnikov ont été découverts dans une voiture de marque Seat utilisée dans les attaques, a rapporté un responsable de la police, qui a requis l'anonymat. Le véhicule a été retrouvé à Montreuil, à six kilomètres à l'est de Paris.Les armes n'ont pas encore été analysées.

Les autorités savent que deux voitures au moins ont été impliquées dans les opérations des terroristes: une Polo de Volkswagen, retrouvée stationnée devant le Bataclan, et une Seat, dans laquelle les armes ont été découvertes.

L'enquête s'étend bien au-delà des frontières de la France. Les autorités belges ont arrêté dix personnes en tout, samedi et dimanche. Un responsable des services policiers a aussi indiqué à l'Associated Press que deux des sept kamikazes étaient des Français vivant à Bruxelles. L'un d'eux habitait dans la commune de Molenbeek-Saint-Jean, en banlieue de Bruxelles, où plusieurs perquisitions ont été effectuées samedi.

De plus, selon un responsable de la police française, trois des sept kamikazes étaient des citoyens français.

L'un des assaillants identifié samedi, Omar Ismaïl Mostefaï, un Français de 29 ans, était connu des policiers pour des délits mineurs, même s'il n'avait jamais été incarcéré. Il avait été fiché pour radicalisation en 2010. Un doigt retrouvé au milieu du carnage à la salle de spectacle Le Bataclan a permis de l'identifier. Son père, son frère et d'autres proches ont été interpellés pour interrogatoire. Ils sont tous originaires de la région de Chartres.

Un passeport syrien retrouvé près du corps d'un autre assaillant, qui s'est exploser près du Stade de France, semble avoir parcouru la route migratoire. Il s'agirait d'un individu né en Syrie en 1990 qui n'était pas connu des services de renseignement français. Les autorités grecques ont révélé que le détenteur de ce passeport serait arrivé en Europe en passant par l'île de Leros. Son passeport a aussi été retracé jusqu'en Serbie, où il était entré le 7 octobre par la Macédoine, demandant l'asile avec un groupe de réfugiés. Le lendemain, il était dans un centre de réfugiés en Croatie. Il a seulement été identifié comme A.A. On ignore cependant si le passeport appartenait bel et bien au kamikaze, et même s'il était authentique.

S'appliquant à maintenir le calme dans son pays après une année exceptionnellement violente, le président, François Hollande, a rencontré dimanche les chefs de l'opposition, l'ancien président Nicolas Sarkozy et la chef du Front national de la droite conservatrice, Marine Le Pen, qui a profité des attaques pour faire valoir sa position contre l'immigration.

À sa sortie de l'Élysée, M. Sarkozy a réclamé des changements à la politique française face à la Syrie, laissant entendre que le pays devait collaborer tant avec les États-Unis que la Russie pour «exterminer» l'ÉI.

«Nous avons besoin de tout le monde, et notamment des Russes. Il ne peut pas y avoir deux coalitions en Syrie», a-t-il affirmé.

«Sur le plan européen, l'Europe doit se ressaisir et déterminer les conditions d'une nouvelle politique de l'immigration.»

Un peu plus tôt dimanche, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, a réclamé une rencontre spéciale des ministres de l'Intérieur et de la Justice de l'Union européenne, pour évaluer les attentats. La réunion aura lieu vendredi prochain. M. Cazeneuve considère que la lutte contre le terrorisme doit être renforcée partout dans l'Europe.

Les autorités locales de l'Allemagne et de l'Italie ont rapporté chacun un citoyen parmi les victimes, soit un homme allemand et une étudiante italienne.

Début de deuil

Les Français se recueillaient un peu partout dans Paris, protégée par 3000 soldats supplémentaires, lors du premier de trois jours de deuil national décrétés par le président.

Des fleurs et des notes continuaient d'être déposées sur des monuments et près des sites des attaques. Les drapeaux étaient en berne et des services commémoratifs étaient célébrés dimanche dans plusieurs églises de France à la mémoire des victimes des attaques. La principale cérémonie présidée par le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, se déroulera à 18 h30, heure locale, dans la célèbre Cathédrale Notre-Dame de Paris, fermée aux touristes, comme plusieurs autres sites populaires de la ville.

L'état d'urgence, décrété vendredi, se poursuit. Le président français, François Hollande, doit s'adresser aux députés et sénateurs réunis en Congrès à Versailles, lundi après-midi.

Samedi en fin de journée, le procureur de Paris, François Molins, a pris la parole devant les médias afin de détailler le modus operandi des tueurs. Trois groupes bien organisés ont sévi de manière coordonnée entre 21 h 20 et 21 h 50 dans six endroits différents. Sept assaillants se sont suicidés en actionnant des ceinture d'explosifs identiques, un huitième a été abattu par les forces de l'ordre. La responsabilité de l'attentat a été revendiquée par le groupe armé État islamique (ÉI), qui a évoqué l'implication militaire de la France en Irak et en Syrie pour expliquer ses actions.

L'ÉI a revendiqué la responsabilité de plusieurs attaques récentes. Jeudi à Beyrouth, deux attentats suicides ont tué au moins 43 personnes et blessé plus de 200. À Bagdad en Irak, vendredi, un autre kamikaze a actionné son gilet d'explosifs et une bombe placée en bordure de la route ont fait 26 morts. L'ÉI a également proclamé avoir visé un avion russe qui s'est écrasé en Égypte. Les 224 personnes à bord ont péri.

Attentats de Paris: plusieurs arrestations en Belgique

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Publié par La Presse Canadienne le samedi 14 novembre 2015 à 12h42. Modifié par 98,5 fm à 17h32.
Attentats de Paris: plusieurs arrestations en Belgique
Photo: AP
Les autorités belges ont arrêté trois personnes en lien avec les attentats meurtriers de Paris, a annoncé le procureur de Paris, François Molins, samedi.
Relatant la suite des événements de vendredi soir, M. Molins a indiqué qu'une des voitures impliquées, retrouvée près du Bataclan, une salle de spectacles où trois hommes armés ont fait 89 morts, était une voiture louée.
Le ministre de la Justice belge, Koen Geens, a de son côté indiqué au réseau VRT que la présence d'une automobile louée ayant des plaques d'immatriculation belges près du Bataclan, un des lieux des attentats, avait soulevé la curiosité des policiers belges.
Une personne a été arrêtée à la frontière de la Belgique en lien avec cette voiture, a indiqué M. Molins. Il circulait dans un autre véhicule, a-t-il précisé.

La police belge a mené des perquisitions dans plusieurs résidences situées à Molenbeek-Saint-Jean, une commune de la banlieue de Bruxelles où vit une grande communauté marocaine et turque.

Selon M. Geens, les recherches pour retrouver la personne ayant loué le véhicule ont mené à plus qu'une arrestation.
Ailleurs en Europe
Par ailleurs, les autorités de plusieurs pays européens craignent que des individus imitent les terroristes de Paris et perpètrent à leur tour une série d'attentats coordonnés.

Le gouvernement britannique a tenu une réunion de son comité d'urgence connu sous le nom de COBRA. En Italie, les autorités ont haussé les mesures de sécurité aux frontières et dans les principaux lieux publiques.

Le chef de la police de Londres a affirmé que les autorités réviseront les protocoles visant à réagir à des attaques armées à la suite des attentats parisiens. Elles déploieront des patrouilles de visibilité près des endroits importants de la capitale britannique.

Le commissaire de la police métropolitaine Bernard Hogan-Howe a reconnu que «l'échelle de ces attaques et l'armement utilisé par les terroristes sont préoccupants».

Les autorités n'ont pas relevé le niveau d'alerte de sécurité présentement à «grave», le quatrième seuil sur cinq, cela signifie qu'une attaque est « hautement probable». M. Hogan-Howe a déclaré que les autorités menaient des centaines d'enquêtes et effectuaient en moyenne une arrestation par jour.

Interpol a mis sur pied une cellule de crise à ses quartiers généraux en France.

Le secrétaire-général de la police internationale a dénoncé les «attaques lâches commises de sang froid» qui ont fait au moins 129 morts depuis vendredi soir. Interpol a indiqué que ses bases de données d'empreintes digitales et d'ADN et ses effectifs aux frontières pourraient contribuer à suivre les terroristes étrangers.

Puis en Grande-Bretagne, la police de Sussex a affirmé interroger un homme français de 41 ans après que «ce qui semble être une arme à feu» eut été découverte à l'aéroport de Gatwick.

Le terminal nord de l'aéroport a été évacué et des experts en explosifs ont été appelés sur les lieux, samedi matin, lorsqu'un homme s'est défait d'un item de manière suspecte, a relaté la police.

L'aéroport a été fouillée et le terminal a rouvert tout juste avant 16 h.