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Publié le 16 octobre 2016 à 10h58 | Mis à jour le 16 octobre 2016 à 10h58
Il «serait là jusqu'en 2018 et on verrait en 2018 si on aura une entente plus large».
Publié le 16 octobre 2016 à 10h58 | Mis à jour le 16 octobre 2016 à 10h58
Jean-Francois LiséePHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE |
PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD
La Presse
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(Victoriaville) Un candidat ni péquiste, ni solidaire - mais appuyé par le Parti québécois (PQ) et Québec solidaire (QS) - qui siègerait comme indépendant à l'Assemblée nationale: c'est la solution proposée par Jean-François Lisée pour prendre Verdun.
Le nouveau chef péquiste a confirmé ce matin que selon un sondage qu'il a commandé, il pourrait s'agir d'une stratégie réaliste pour conquérir le bastion libéral du sud-ouest de l'île de Montréal.
«C'est une question de volonté politique», a dit M. Lisée à son arrivée au caucus spécial des députés qu'il a convoqué à Victoriaville. Leurs électeurs [de QS] souhaitent un candidat commun. Alors je leur demande de faire une pause, d'entendre la réalité.»
Selon une étude de la firme Repère Communication distribuée dimanche matin aux journalistes, les intentions de vote réunies du Parti québécois et de Québec solidaire talonnent celles des libéraux dans Verdun, avec 35 points contre 38 points.
La circonscription a été laissée vacante par la démission de l'ex-ministre libéral Jacques Daoust, à la fin de l'été.
L'éventuel député conjoint élu dans Verdun «siègerait comme indépendant», a souligné Jean-François Lisée. «On pourrait lui confier des dossiers qui sont conjoints, comme le salaire minimum à 15$. On pourrait décider que cette personne va porter ce dossier.»
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