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Publié par La Presse Canadienne le samedi 10 octobre 2015 à 06h34. Modifié par Léandre Drolet à 07h39.
Stephen Harper.
MONTRÉAL - C'est en pleine campagne électorale fédérale qu'est lancé au Québec un documentaire très critique envers la politique étrangère du gouvernement conservateur sortant.
Réalisé par l'ancienne journaliste Hélène Pichette, le film intitulé «Le pays qui dit NON» a pris l'affiche dans des salles de cinéma de Montréal, Québec, Sherbrooke et Aylmer.
Le documentaire, dans lequel on retrouve les témoignages d'anciens diplomates et politiciens, tente d'illustrer comment la politique étrangère du premier ministre Stephen Harper a progressivement sapé l'image de pacificateur et de médiateur dont jouissait le Canada sur la scène internationale.
Fruit d'une douzaine d'années de recherche et de réflexion, le film retrace de l'intérieur le fil de plusieurs événements qui ont présidé à cette détérioration alléguée de l'image du Canada à l'étranger.
La réalisatrice Hélène Pichette affirme qu'elle veut démontrer comment le Canada de Stephen Harper s'est éloigné de l'idéal de bien commun qui sous-tendait autrefois sa politique étrangère, notamment son implication de premier plan dans les missions de maintien de la paix et dans l'aide au développement international.
Presque dix ans plus tard, elle soutient qu'il ne reste que peu de choses du Canada dont rêvaient les Pearson, Diefenbaker, Chrétien, Mulroney et autres.
C'est pour rejoindre le plus vaste public possible que les producteurs disent avoir devancé de plus de deux mois la sortie du film afin que celui-ci puisse être lancé avant la fin de la campagne électorale, moment où le public est plus réceptif aux enjeux politiques, selon eux.
Le documentaire, dans lequel on retrouve les témoignages d'anciens diplomates et politiciens, tente d'illustrer comment la politique étrangère du premier ministre Stephen Harper a progressivement sapé l'image de pacificateur et de médiateur dont jouissait le Canada sur la scène internationale.
Fruit d'une douzaine d'années de recherche et de réflexion, le film retrace de l'intérieur le fil de plusieurs événements qui ont présidé à cette détérioration alléguée de l'image du Canada à l'étranger.
La réalisatrice Hélène Pichette affirme qu'elle veut démontrer comment le Canada de Stephen Harper s'est éloigné de l'idéal de bien commun qui sous-tendait autrefois sa politique étrangère, notamment son implication de premier plan dans les missions de maintien de la paix et dans l'aide au développement international.
Presque dix ans plus tard, elle soutient qu'il ne reste que peu de choses du Canada dont rêvaient les Pearson, Diefenbaker, Chrétien, Mulroney et autres.
C'est pour rejoindre le plus vaste public possible que les producteurs disent avoir devancé de plus de deux mois la sortie du film afin que celui-ci puisse être lancé avant la fin de la campagne électorale, moment où le public est plus réceptif aux enjeux politiques, selon eux.