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lundi, février 29, 2016

Conférence Manning : Justin Trudeau ne finira pas son premier mandat, selon Kevin O'Leary

Publication: 
OTTAWA - Kevin O’Leary pense que Justin Trudeau ne terminera pas son premier mandat comme premier ministre et que les libéraux devront se trouver un nouveau chef avant la prochaine élection fédérale.
« Regardez-le aller », a dit l’ancien dragon de l’émission Dragons’s Den, qui pourrait se lancer dans la course au leadership du Parti conservateur du Canada. « Regardez-le aller. »
kevin oleary
« Le mandat de Trudeau va finir en catastrophe économique. Le budget que je vois venir affichera un déficit entre 40 et 45 milliards de dollars. Un tiers de cela va être gaspillé parce que le gouvernement ne peut pas dépenser autant d’argent – peu importe le parti », a-t-il dit au téléphone, en direct de la Floride.
« Je l’ai regardé, pendant ses 60 premiers jours, dépenser quatre milliards de dollars sans créer un seul emploi au Canada. Si c’est une indication du reste de son mandat, ça va finir très mal. Pas seulement pour lui, mais pour tous les Canadiens. »
Le chiffre de 4 G$ provient du journaliste de Sun Media, David Akin, qui a calculé toutes les annonces de dépenses du gouvernement libéral à partir de leur assermentation, le 4 novembre 2015, jusqu’au 12 février 2016. Akin a découvert que la majorité de l’argent serait distribué pour des projets à l’étranger, tel que la promesse d’envoyer 1,6 milliard de dollars pour une mission humanitaire en Irak, en Syrie et en Jordanie.
« Si je me lance »
O’Leary doit prendre la parole lors de la conférence Manning à Ottawa, vendredi, une sorte de grande-messe des conservateurs au Canada. Il prononcera un discours intitulé « Si je me lance, voici comment je m’y prendrais » (If I Run, Here’s How I’d Do It).
Il veut parler de ce qu’il veut faire, c’est-à-dire introduire de meilleures politiques économiques et fiscales.
« Je commence à réaliser, province par province, mandat par mandat, que nous avons droit à une combinaison d’incompétence et de médiocrité », a-t-il dit auHuffPost. « Où est-il écrit que les contribuables canadiens doivent subir cela? Je ne sais pas pourquoi nous devons constamment tolérer les pires décisions économiques, encore et toujours, dans chaque province. Alors j’ai dit c’est assez. Je suis un payeur de taxes, j’ai payé pour ça! »
O’Leary ne croit pas que les gouvernements peuvent dépenser afin de relancer l’économie – comme Trudeau l’entend. Les libéraux disent qu’avec des taux d’intérêt bas et une économie faible, il n’y a pas de meilleur moment pour investir dans les projets d’infrastructure et créer plus d’emplois.
L’homme d’affaires, qui a été comparé à l’Américain Donald Trump, pense que les gouvernements sont inefficaces et bousillent les projets lorsqu’ils sont impliqués.
« Si l’on regarde à ce que le Parti conservateur a fait en 2009 [lors de la récession économique], on se rend compte que les dépenses gouvernementales n’ont créé aucune richesse – elle est venue du secteur privé », a-t-il affirmé.
Cet article initialement publié sur le Huffington Post Canada a été traduit de l’anglais par Catherine Lévesque.

vendredi, octobre 23, 2015

Les successeurs potentiels de Harper restent discrets

http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/politique/

Mise à jour le jeudi 22 octobre 2015 à 20 h 58 HAE   La Presse Canadienne
Le premier ministre sortant, Stephen Harper
Le premier ministre sortant, Stephen Harper  Photo :  PC/Adrian Wyld

L'homme d'affaires de Toronto Mark Mulroney soutient qu'il ne briguera pas la direction du Parti conservateur, du moins pour l'instant. La députée de Calgary Michelle Rempel semble considérer cette option de manière un peu plus ouverte.
Et une source au sein du Parti conservateur a souligné que Jason Kenney a été un des collecteurs de fonds les plus efficaces du parti, récoltant 450 000 dollars dans sa circonscription depuis janvier, et 300 000 dollars de plus par l'entremise d'autres activités.
Tous ces murmures sont liés à une course sans ligne d'arrivée pour la direction d'un parti dont Stephen Harper est toujours officiellement le chef. Un comité sur la chefferie du Parti conservateur a été créé mardi soir.
Mark Mulroney, fils de l'ancien premier ministre progressiste-conservateur Brian Mulroney, a souligné que sa famille sera toujours intéressée par la fonction publique et l'univers de la politique. Va-t-il tenter sa chance pour autant?
« Non. Mais il ne faut jamais dire jamais au sujet de ces choses-là », a déclaré Mark Mulroney lors d'une entrevue, jeudi. Pour l'instant, M. Mulroney se dit investi dans ses responsabilités à la Banque Nationale du Canada, comme responsable à Toronto du marché des capitaux propres. Son frère Ben est animateur à la chaîne CTV et sa soeur, Caroline, travaille en gestion d'investissements.
« Ce n'est pas quelque chose qui est passé dans mon esprit ou celui de mon frère », a dit M. Mulroney. Il a toutefois ajouté qu'il était heureux d'aider le parti.
Brian Mulroney a été élu à la direction du parti en 1983 et a été premier ministre de 1984 à 1993.
Jean Charest, qui a succédé à Brian Mulroney chez les progressistes-conservateurs avant de faire le saut en politique provinciale au Québec, a assuré qu'il ne voulait pas prendre la relève de Stephen Harper.
De son côté, la députée Michelle Rempel a semblé tâter le pouls sur Twitter mercredi. Elle a fait référence à des personnes qui lui disaient de « le faire ».
Elle a évoqué les commentaires lancés à certaines femmes quand elles envisagent de faire un tel saut politique.
« Je suis trop effrontée, impétueuse et abrasive, n'est-ce pas? Peut-être que je devrais prendre mon temps, les bonnes choses arrivent à ceux qui savent attendre. Je suis peut-être trop agressive. Peut-être que les gens ne vont pas me comprendre », a-t-elle mentionné dans son gazouillis.
Cependant, Mme Rempel a déclaré à La Presse Canadienne, jeudi, que le public ne devait pas interpréter ses commentaires sur Twitter comme l'indication qu'elle brigue le poste de M. Harper.
« Il est trop tôt pour qui que ce soit pour parler de course à la chefferie », a-t-elle dit lors d'une entrevue téléphonique.
« Je présentais seulement des exemples du type de questions auxquelles toutes les personnes voulant se présenter auront à répondre. Je ne pense pas qu'une personne devrait être jugée sur son sexe, son expérience ou où elle vit. »
D'autres noms ont circulé, comme ceux des députés Jason Kenney, Lisa Raitt, Rob Nicholson, Kellie Leitch, Michael Chong et Tony Clement.
La source chez les conservateurs, ayant fait état des résultats de financement de M. Kenney, a souligné que le ministre de la Défense a été le plus efficace de l'histoire du parti pour collecter des dons.
Jeudi, la députée Diane Finley est devenue la première à soumettre son nom pour le poste à la direction intérimaire du Parti conservateur, une décision qui appartient à l'aile parlementaire du caucus.

vendredi, mai 29, 2015

Le ministre de la Justice Peter MacKay quitte la vie politique

http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/politique/

Le ministre canadien de la Justice, Peter MacKay
Le ministre canadien de la Justice, Peter MacKay  Photo :  PC/Sean Kilpatrick
Le ministre de la Justice et député de Nova-Centre, Peter MacKay, quitte la vie politique. M. MacKay était député du Parti conservateur depuis 1997. Il annoncera cet après-midi qu'il ne sollicitera pas de nouveau mandat.
D'autres informations suivront.