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Publié le 24 février 2017 à 16h35 | Mis à jour à 17h48
Publié le 24 février 2017 à 16h35 | Mis à jour à 17h48
Dans les derniers jours, M. Coiteux avait défendu bec et ongles la décision de confier l'enquête sur les nouvelles allégations concernant le SPVM à la Sûreté du Québec, mais il dit que de «nouveaux éléments» l'ont convaincu d'aller plus loin. PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE |
La Presse Canadienne
Le gouvernement du Québec prend des mesures additionnelles pour faire la lumière sur les allégations de fabrication de preuve touchant le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
Plusieurs autres grands corps de police se joindront à la Sûreté du Québec (SQ) et la directrice du Bureau des enquêtes indépendantes (BEI) codirigera l'enquête.
Le SPVM fera aussi l'objet d'une enquête administrative plus globale sur ses pratiques.
Le ministre de la Sécurité publique du Québec, Martin Coiteux, en a fait l'annonce vendredi après-midi.
Dans les derniers jours, M. Coiteux avait défendu bec et ongles la décision de confier l'enquête sur les nouvelles allégations à la Sûreté du Québec, mais il dit que de «nouveaux éléments» l'ont convaincu d'aller plus loin.
Deux ex-policiers accusent des collègues d'avoir fabriqué de la preuve contre eux afin de les empêcher de dévoiler des allégations de corruption au sein du SPVM, a révélé cette semaine un reportage de TVA.
En soirée, le chef du SPVM Philippe Pichet a tweeté qu'il collaborerait entièrement: «J'apporterai ma collaboration pleine et entière au commissaire que nommera M.@CoiteuxMartin pour l'enquête admin. sur la gestion du @SPVM», a-t-il fait savoir sur le réseau social.
J’apporterai ma collaboration pleine et entière au commissaire que nommera M.@CoiteuxMartin pour l'enquête admin. sur la gestion du @SPVM
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