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Publié par La Presse Canadienne le dimanche 22 novembre 2015 à 08h14. Modifié par 98,5 fm à 09h26.
Photo: iStock
MONTRÉAL - C'est la société civile qui fera en sorte que le débat sur l'indépendance du Québec se remettra en marche et se dirigera à bon port.
C'est ce que soutient Claudette Carbonneau, présidente de l'organisme OUI-Québec, qui tient dimanche après-midi à Montréal, une conférence publique intitulée «La Marche de la Catalogne vers son indépendance», et qui réunit les trois partis indépendantistes du Québec, le Parti québécois, Québec solidaire et Option nationale.
Gemma Calvet, avocate, analyste politique et ex-députée catalane issue de la formation Gauche républicaine de Catalogne, a également accepté l'invitation de s'adresser aux participants.
Claudette Carbonneau souligne qu'à l'instar des Catalans, la société québécoise doit se mobiliser pour obtenir sa souveraineté. Elle doit «peser» sur les partis politiques pour provoquer «de l'unité, une convergence, et un plan de match clair pour l'indépendance», ajoute Mme Carbonneau.
Pour la présidente de OUI-Québec, le débat sur l'avenir de la nation «n'appartient à aucun groupe en particulier, ni à aucun parti politique, mais à tout le monde».
Claudette Carbonneau estime qu'il faut examiner l'exemple de la Catalogne, sans en faire un copier-coller, et voir les pistes intéressantes qui permettraient de rouvrir le débat et de remettre en marche le dossier de l'indépendance du Québec.
Gemma Calvet, avocate, analyste politique et ex-députée catalane issue de la formation Gauche républicaine de Catalogne, a également accepté l'invitation de s'adresser aux participants.
Claudette Carbonneau souligne qu'à l'instar des Catalans, la société québécoise doit se mobiliser pour obtenir sa souveraineté. Elle doit «peser» sur les partis politiques pour provoquer «de l'unité, une convergence, et un plan de match clair pour l'indépendance», ajoute Mme Carbonneau.
Pour la présidente de OUI-Québec, le débat sur l'avenir de la nation «n'appartient à aucun groupe en particulier, ni à aucun parti politique, mais à tout le monde».
Claudette Carbonneau estime qu'il faut examiner l'exemple de la Catalogne, sans en faire un copier-coller, et voir les pistes intéressantes qui permettraient de rouvrir le débat et de remettre en marche le dossier de l'indépendance du Québec.