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mercredi, juillet 20, 2016

Mike Ward propose de payer un avocat au Journal de Mourréal

http://www.lapresse.ca/le-soleil/justice-et-faits-divers/

Publié le 19 juillet 2016 à 10h34 | Mis à jour le 19 juillet 2016 à 10h34
L'humoriste québécois Mike Ward propose un appui financier... (Édouard Plante-Fréchette, La Presse)
ÉDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE
L'humoriste québécois Mike Ward propose un appui financier aux responsables du site internet satirique Le Journal de Mourréal.

La Presse Canadienne
Montréal
L'humoriste québécois Mike Ward propose un appui financier aux responsables du site Internet satirique Le Journal de Mourréal dans l'éventualité où ils entreprendraient des démarches juridiques contre Média QMI inc. et Québecor Média.
Sur sa page Facebook, il a écrit qu'il était prêt à offrir les recettes d'un spectacle pour la liberté d'expression prévu en octobre pour payer d'éventuels frais d'avocats.
Pour justifier son aide, Mike Ward fait valoir que tout le monde n'a pas les moyens de se tenir debout.
Le 7 juillet dernier, le propriétaire du Journal de Montréal, Média QMI, avait déposé une demande d'injonction dans l'espoir de mettre fin aux activités du site humoristique, qui est en activité depuis près de quatre ans.
Mike Ward
lundi
Triste jour pour la liberté d'expression, malheureusement c'est pas tout le monde qui a les moyens de se tenir debout.
Si jamais vous changez d'idée et que décidiez de vous battre. J'organise un show pour la liberté d'expression au mois d'octobre, je vous offre les recettes pour payer vos frais d'avocats.
http://www.admission.com/…/mike-ward-stand-up-debou…/859377…
Le Journal de Mourréal
Média/actualités/édition119 261 J’aime
18 juillet, 11:46
Comme mon collègue et ami a décidé hier d'abandonner le combat sans même m'en parler, de peur que j'essaie encore une fois de l'en dissuader, je sens moi aussi ...
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France: 2 policiers libérés d'accusations de viol contre une canadienne

http://www.lapresse.ca/le-soleil/justice-et-faits-divers/

Publié le 20 juillet 2016 à 07h53 | Mis à jour à 07h53
L'affaire, à l'écho international, avait ébranlé le fameux... (Photothèque AFP, JACQUES DEMARTHON)
PHOTOTHÈQUE AFP, JACQUES DEMARTHON
L'affaire, à l'écho international, avait ébranlé le fameux 36, quai des Orfèvres, siège emblématique de la police judiciaire parisienne, au coeur de la capitale française.

Agence France-Presse
Paris, France
Deux juges d'instruction français ont prononcé un non-lieu au bénéfice de deux policiers de la BRI, une unité d'élite de la police parisienne, qui étaient accusés de viol par une touriste canadienne en 2014, selon des sources judiciaire et proche du dossier.
Cette décision intervient alors que le parquet de Paris avait requis le renvoi des deux policiers devant une cour d'assises pour «viols en réunion». Le parquet a la possibilité de faire appel.
«Cette décision juste et motivée est l'aboutissement du travail minutieux des juges d'instruction qui ont notamment tenu compte des contre-vérités et des incohérences dans les déclarations de la plaignante», s'est félicité Me Sébastien Schapira, avocat d'un des deux policiers.
«Mon client, dont la vie familiale et professionnelle a été dévastée par ces accusations, est ému et soulagé que son innocence soit ainsi reconnue», a-t-il ajouté.
Sollicitée, l'avocate de la jeune femme n'était pas disponible dans l'immédiat pour commenter cette information.
L'affaire, à l'écho international, avait ébranlé le fameux 36, quai des Orfèvres, siège emblématique de la police judiciaire parisienne, au coeur de la capitale française.
Le 22 avril 2014, dans un pub irlandais en face du 36, des policiers s'étaient liés avec la jeune femme, alors âgée de 34 ans. En pleine nuit, les fonctionnaires, qui n'étaient pas en service, lui avaient fait visiter les locaux.
Elle en était ressortie en larmes un peu plus tard, extrêmement choquée. Elle avait porté plainte pour viol.
Un des policiers avait évoqué une relation sexuelle «consentie», l'autre démentant tout rapport.
ADN retrouvé
Des empreintes génétiques des deux fonctionnaires, membres de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI), avaient été retrouvées sur les sous-vêtements de la jeune femme, ainsi qu'une troisième, inconnue.
Une vaste opération de prélèvements ADN sur des fonctionnaires de la police judiciaire avait eu lieu en septembre 2015, mais n'avait rien donné.
Des confrontations avaient été organisées à l'automne 2015 où chacun avait campé sur ses positions. Une reconstitution avait aussi eu lieu au même moment, mais la jeune femme n'y avait pas participé.