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mercredi, juillet 29, 2015

Duceppe et Péladeau pédalent ensemble en prévision des élections fédérales

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Publié par La Presse Canadienne le mercredi 29 juillet 2015 à 08h59. Modifié par Charles Payette à 10h20.
Duceppe et Péladeau pédalent ensemble en prévision des élections fédérales
Pierre Karl Péladeau et Gilles Duceppe/PC
REPENTIGNY, Qc - Alors que les rumeurs d'un déclenchement de campagne électorale dès dimanche font de plus en plus de bruit à Ottawa, le chef du Bloc québécois est déjà sur les routes... à vélo.
Gilles Duceppe quittait Repentigny mercredi matin et était attendu à Trois-Rivières à la fin de la journée.

À ses côtés, aussi sur deux roues: Pierre-Karl Péladeau, le chef péquiste.

Les deux hommes prévoyaient passer par L'Assomption, Maskinongé, Louiseville et Yamachiche. Le parcours ne sera pas facile alors que la canicule est bien installée au Québec. On prévoyait 30 degrés pour Trois-Rivières, mercredi.

Les deux politiciens souverainistes sont des habitués du vélo. M. Péladeau a fait les manchettes lorsqu'il a été blessé, en mai 2014, sur les routes de l'Estrie, après une violente chute.

En annonçant son retour en politique en juin dernier, M. Duceppe avait insisté sur sa bonne forme physique pour ceux qui soulignaient son âge. Il vient de fêter ses 68 ans. M. Duceppe aime rappeler qu'il parcourt 20 km par jour à vélo l'été et poursuit son entraînement sur vélo stationnaire quand la neige arrive.

L'UPAC chez Gérald Tremblay

http://www.985fm.ca/national/nouvelles/

Publié par La Presse Canadienne le mercredi 29 juillet 2015 à 09h52. Modifié par Charles Payette à 10h10.
L'UPAC chez  Gérald Tremblay
Gérald Tremblay/Cogeco Nouvelles
MONTRÉAL - Des agents de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) ont entrepris mercredi matin une perquisition au domicile de l'ancien maire de Montréal Gérald Tremblay, selon diverses sources.

Le domicile de l'ex-maire qui a dirigé Montréal de 2002 à 2012 est situé dans l'arrondissement Outremont.
Cette opération s'inscrit dans une récente série de près de 10 perquisitions de l'UPAC à propos du dossier de l'octroi du contrat des compteurs d'eau, il y a quelques années. Gérald Tremblay était maire lors de l'attribution de ce contrat qui a été annulé plus tard lorsque des éléments de malversation ont été révélés.

La porte-parole de l'UPAC, Anne-Frédérick Laurence, n'a pas confirmé que c'est la résidence de M. Tremblay qui était visée mais a indiqué qu'une dizaine d'agents participaient à l'opération. Mme Laurence a affirmé que les agents prendront le temps nécessaire pour obtenir les documents qu'ils cherchent. Ils pourraient aussi y avoir interrogatoire mais aucune arrestation n'est prévue.

Au printemps 2014, l'UPAC avait réalisé une première série de perquisitions liées au scandale des compteurs d'eau. Plus récemment, l'UPAC a notamment visé la résidence et les bureaux du maire de l'arrondissement Lachine, Claude Dauphin, le domicile de trois ex-élus de l'administration Tremblay, Sammy Forcillo, Francine Sénécal et Cosmo Maciocia, la compagnie Construction Frank Catania, à Brossard, et la firme de communications MW3, autrefois connue sous le nom de Morrow Communications.

Transparence financière : Ottawa sanctionnera les Premières Nations récalcitrantes

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Mise à jour le mardi 28 juillet 2015 à 15 h 22 HAE
Bernard Valcourt, ministre fédéral des Affaires autochtones et du Développement du Nord
Bernard Valcourt, ministre fédéral des Affaires autochtones et du Développement du Nord  Photo :  Chris Wattie/Pool/The Canadian Press

Le gouvernement de Stephen Harper assure qu'il sanctionnera les communautés autochtones qui ne se seront pas conformées à la Loi sur la transparence financière des Premières Nations.
La Loi adoptée en 2013 oblige les communautés autochtones à rendre publics leurs états financiers et les salaires versés aux chefs et membres des conseils de bande.
Les Premières Nations qui n'ont pas respecté la date butoir pour publier leurs états financiers recevront des rappels. Mais à partir du 15 septembre 2015, Ottawa retiendra les fonds destinés aux services non essentiels de ces communautés, a expliqué mardi dans un communiqué le ministre des Affaires autochtones et du Développement du Nord, Bernard Valcourt.
« Notre gouvernement s'en tiendra fermement à l'imputabilité et à la transparence pour tous les Canadiens. Nous pressons les leaders autochtones de remplir les documents appropriés conformément à la Loi », a dit le ministre.
Bernard Valcourt souligne que l'application de la nouvelle Loi a permis à 98 % des communautés des Premières Nations du pays de savoir comment leurs chefs et leurs conseils de bande ont dépensé l'argent de leurs réserves.
Ottawa et huit Premières Nations se sont adressés aux tribunaux sur cette question. Le gouvernement fédéral veut obliger ces communautés à appliquer la Loi sur la transparence financière. Les huit Premières Nations veulent mettre fin à la poursuite d'Ottawa, car elles contestent la légalité de cette Loi.

Il y a 260 ans, la déportation des Acadiens


http://ici.radio-canada.ca/regions/atlantique/

Mise à jour le mardi 28 juillet 2015 à 13 h 24 HAE

Le 28 juillet 1755, le Conseil de Nouvelle-Écosse prend la décision de déporter les Acadiens. 260 ans plus tard, sa commémoration a eu lieu dans l'Acadie des provinces de l'Atlantique et partout dans le monde.
Mardi, plusieurs événements ont eu lieu afin de rendre hommage aux victimes de cette déportation. Un pèlerinage a été organisé de Dieppe, au Nouveau-Brunswick, à Grand-Pré, en Nouvelle-Écosse.
Les pèlerins ont visité des lieux historiques qui ont marqué l'Acadie. À 16 h 30 (HA), une cérémonie s'est tenue à la Croix de la Déportation à Horton Landing en Nouvelle-Écosse. Puis, à 17 h 55 (HA), les cloches des églises du Nouveau-Brunswick résonneront.
« Les Acadiens et les Acadiennes sont un peuple fort et fier, qui a su traverser des épreuves au fil du temps. »— Jeanne d'Arc Gaudet, présidente de la SANB.

« Les commémorations du Grand Dérangement honorent les victimes de la déportation. Cet événement tragique de notre histoire nous permet de nous pencher sur notre passé afin de le mettre en perspective avec notre avenir », a déclaré par voie de communiqué la présidente de la Société de l'Acadie du Nouveau-Brunswick, Jeanne d'Arc Gaudet.
Grand-PréLa croix du lieu historique national de Grand-Pré, en Nouvelle-Écosse Photo :  Rebecca Martel/Radio-Canada
La colonie acadienne comptait 13 000 membres en 1755 lorsque le lieutenant-gouverneur Charles Lawrence envisage de les déporter. Essentiellement, il conteste le droit à la propriété de ces derniers. Selon lui, les Acadiens occupent les meilleures terres de la Nouvelle-Écosse et représentent un obstacle à la formation d'une colonie anglaise protestante ,puisqu'ils n'auraient jamais prêté allégeance à la Couronne britannique.
« En cette journée commémorative du Grand Dérangement, l'Acadie accomplit son devoir de mémoire en rendant hommage aux victimes de la déportation et à celles et ceux qui ont choisi, au péril de leur vie, de ne pas plier, d'avoir eu le courage de résister, malgré la peur de la déportation, dont très peu sont revenus », a pour sa part déclaré le président de la Société nationale de l'Acadie, René Cormier.
Les déportations ont duré huit ans. Quelque 10 000 Acadiens ont été déportés, soit environ 75 % de la population de l'époque.

Le mollah Omar, chef taliban, serait mort

http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/international/

   Radio-Canada avec Associated Press et BBC
Une rare photo du mollah Omar
Une rare photo du mollah Omar (archives)  Photo :  AP

Le chef des talibans afghans, le mollah Omar, est-il mort? Des rumeurs à ce sujet relayées depuis des jours par des médias afghans et pakistanais sont devenues plus sérieuses, mercredi, après que le gouvernement afghan eut annoncé l'ouverture d'une enquête pour éclaircir l'affaire.
S'appuyant sur des sources au sein des services de renseignement et du gouvernement afghan, la BBC avance pour sa part que le mollah Omar est en fait décédé depuis deux ou trois ans.
Les talibans afghans n'ont pas commenté l'affaire jusqu'ici. Un porte-parole a déclaré au réseau public anglais que le groupe, qui est toujours en lutte contre le gouvernement, compte publier une déclaration d'ici peu.
Ce n'est pas la première fois que la mort du mollah Omar est annoncée. Selon la BBC, c'est cependant la première fois que des rumeurs sont confirmées par des responsables du gouvernement.
Au cours des derniers jours, des talibans dissidents ont affirmé à des médias locaux que le mollah Omar est mort depuis un bon moment, et qu'il est de notoriété publique au sein du groupe qu'il est enterré dans la province de Zabol. 
« Nous avons vu ces informations », a fait savoir mercredi matin Zafar Hashemi, un adjoint du porte-parole du président afghan Ashraf Ghani. « Nous sommes en train de les vérifier, et aussitôt que nous obtiendrons une confirmation [...] nous informerons le peuple afghan et les médias. »
Le mollah Omar a été le chef d'État de facto de l'Afghanistan entre 1996 et 2001, bien que les talibans, dont il était le chef politique et spirituel, ne contrôlaient pas la totalité du pays. Son pays abritait alors le chef d'Al-Qaïda, Oussama ben Laden, qui avait d'ailleurs épousé une de ses filles.
Le gouvernement taliban du mollah Omar a été renversé par l'armée américaine, après que Washington eut attaqué son pays dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, imputés à Al-Qaïda. Il n'a pas été revu en public depuis.
Les talibans ont néanmoins continué de mener une sanglante insurrection contre les soldats américains et leurs alliés occidentaux, dont les Canadiens. Pas moins de 158 militaires canadiens sont morts en Afghanistan, et quelque 600 autres ont été blessés. 
Des pourparlers entre les talibans et le gouvernement afghan sont cependant en cours depuis peu. Une première rencontre a eu lieu à Murree, au Pakistan, le 7 juillet, et une seconde s'y tiendra vendredi. 

Un avion de British Airways s'est posé d'urgence à Montréal-Trudeau

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Mise à jour le mercredi 29 juillet 2015 à 7 h 28 HAE
Atterrissage d'urgence d'un avion de British Airways à l'aéroport Montréal-Trudeau
Atterrissage d'urgence d'un avion de British Airways à l'aéroport Montréal-Trudeau  Photo :  Radio-Canada
Un avion de British Airways s'est posé d'urgence mercredi matin à l'aéroport Montréal-Pierre-Elliott-Trudeau à la suite d'un appel à la bombe.
L'avion, un Boeing 747, faisait la liaison entre Las Vegas et Londres.
Selon les représentants de British Airways, le commandant de bord du vol BA274 a pris la décision de détourner l'avion par mesure de sécurité. 
L'appareil a atterri à 6 h sans problème. Les passagers ont été évacués dans le calme et conduits vers l'aérogare. L'avion transportait 312 passagers et 16 membres d'équipage.
Les douanes et British Airways évaluent la possibilité de faire sortir les passagers par les arrivées.
Des chambres d'hôtel à proximité de l'aéroport seront fournies pour les passagers évacués et British Airways leur procurera des billets d'avion pour d'autres vols en direction de Londres, a indiqué le transporteur britannique dans un communiqué mercredi matin.
Aucun détail n'a été fourni pour l'instant sur la façon dont l'appel à la bombe a été reçu.
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) affirme que les maîtres-chiens et tous les appareils requis pour de pareilles circonstances sont sur place. L'avion et les bagages seront inspectés. La compagnie aérienne travaille avec les autorités canadiennes.
L'avion reste maintenu au sol pour une durée indéterminée.

Garçon brûlé au 2e degré en s’amusant dans des jeux d’eau

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La jeune victime, Greyson Pelvin, a été brûlée grièvement aux pieds et à la main droite.
La jeune victime, Greyson Pelvin, a été brûlée grièvement aux pieds et à la main droite.  Photo :  Famille Pelvin

Exclusif - Un garçon d'un an devrait savoir aujourd'hui s'il subira des greffes de peau aux pieds, après avoir été brûlé grièvement lundi, en s'amusant dans des jeux d'eau à Georgetown, en banlieue de Toronto.
L'enfant a marché sur des panneaux de métal au sol, à quelques mètres de l'aire de jeu. Ces plaques recouvrent les valves du système d'eau des jets, comme c'est souvent le cas pour nombre de municipalités.
Or, le métal, exposé au soleil, était brûlant, raconte sa mère, Jill Pelvin.
« Quand je l'ai soulevé, la plante de ses pieds était brûlée. La peau était devenue jaune et s'était recroquevillée. »— Jill Pelvin, mère de la victime

L'enfant a aussi été brûlé à la main droite.
Il a été transporté d'urgence à l'Hôpital pour enfants de Toronto, où les docteurs lui ont prescrit de la morphine pour apaiser sa douleur.
Il devait rencontrer à nouveau des spécialistes, aujourd'hui, pour la suite de son traitement.
L'aire de jets d'eau et les plaques de métal sur lesquelles l'enfant s'est brûlé.
L'aire de jets d'eau et les plaques de métal sur lesquelles l'enfant s'est brûlé.  Photo :  CBC
Barrière installée
Les autorités municipales ont installé une clôture autour des portes de métal, à la suite des événements. L'avertissement « Danger » est apposé sur les plaques, ce qui n'est souvent pas le cas dans des aires de jeux d'eau semblables à Toronto, par exemple.
Néanmoins, Mme Pelvin envisage de poursuivre sa municipalité pour négligence.
Une porte-parole municipale indique qu'une enquête est en cours.