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vendredi, avril 03, 2015

La France veut interdire le recours à des mannequins trop maigres

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Mise à jour le vendredi 3 avril 2015 à 9 h 44 HAE  Reuters
Les députés français adoptent un amendement qui interdit le recours à des mannequins maigres et dénutris.
 Photo :  IS/iStock
Les députés français adoptent un amendement qui interdit le recours à des mannequins maigres et dénutris.
Les députés français ont adopté vendredi, dans le cadre de l'examen du projet de loi sur la santé, un amendement qui interdit le recours à des mannequins maigres et dénutris.
L'Assemblée a adopté un amendement qui stipule que « l'exercice d'une activité de mannequin est interdit à toute personne dont l'indice de masse corporelle est inférieur à des niveaux définis », sur proposition des autorités de santé.
Cet amendement, que l'opposition UMP et UDI (centriste) n'a pas appuyé, et les écologistes se sont abstenus, prévoit pour les agences de mannequins ne respectant pas cette interdiction une peine de prison de six mois et une amende de 75 000 euros (102 000 $).
Toujours dans le cadre de l'examen de ce projet de loi sur la modernisation du système de santé, les députés avaient voté mercredi un amendement qui interdit l'apologie de l'anorexie.
Une peine d'un an de prison et de 10 000 euros d'amende (13 709 $) est prévue contre les sites Internet qui poussent « à rechercher une maigreur excessive en encourageant des restrictions alimentaires prolongées ayant pour effet de l'exposer à un danger de mort ou de compromettre directement sa santé ».
Le projet de loi comporte de nombreuses mesures dont la généralisation du tiers payant qui dispense le patient d'avancer les frais d'une consultation médicale, une mesure vivement dénoncée par les médecins.
L'examen de ce texte en première lecture par les députés, commencé mardi, doit se poursuivre toute la semaine prochaine. L'Assemblée doit se prononcer le 14 avril par un vote solennel sur l'ensemble du texte.

Trudeau, ressuscité

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Il faut avoir la mémoire d’un poisson rouge pour ne pas éclater de rire en entendant Justin Trudeau défendre Radio-Canada contre Harper

Gilles Proulx
Avec Pâques qui vient, parlons du messie canadien, celui qui prend nos péchés sur ses épaules, l’agneau sacrificiel: Justin Trudeau.
Comment se fâcher contre Justin? Il faut lui pardonner parce qu’il ne sait pas ce qu’il fait.
Il a beau avoir plus de 40 ans et plusieurs enfants, il a beau être le chef d’un parti politique fédéral qui a une longue histoire (pas toujours nette) derrière lui, Justin me fait toujours penser à un jeune chien fou qui ne sait pas où il va, mais qui déborde de candeur et d’énergie. Même quand il fait des bêtises, il est si mignon!
Normalement, la candeur est un défaut, surtout en politique; mais chez Justin, la candeur atteint un tel niveau qu’elle devient une force. Son «innocence» lui donne carte blanche. Quoi qu’il fasse ou dise, ce ne sera jamais vraiment sa faute.
Harper le responsable
Quel contraste avec Stephen Harper! Solide dans son cynisme, ce dernier a un sens aigu des réalités et une conscience des rapports de force. Il a l’étoffe d’un chef d’État. Même ceux qui le détestent reconnaissent que Harper sait exactement ce qu’il fait, et qu’il l’assume.
Trudeau, lui, ne sera jamais vraiment responsable de ses actes et de ses paroles.
Par exemple, il a le programme du multiculturalisme gravé dans la moelle épinière. Il débite par réflexe les sornettes joviales de cette idéologie. Oui au niqab. Non à l’intégration culturelle des immigrants. Oui aux accommodements les plus déraisonnables. Non à la loi 101. Etc.
Justin dit que ses prédécesseurs n’ont pas été «à l’écoute du Québec» en oubliant que, bien pires que cela, ils l’ont écouté et l’ont fait se taire en sabotant l’accord du lac Meech! Pire: Justin Trudeau était lui-même hostile à la reconnaissance du Québec comme nation. Pire: il a organisé à Montréal un grand rassemblement de ses libéraux fédéraux où tout se passait presque exclusivement en anglais. Pire: il a déjà émis le souhait que le système scolaire francophone acadien soit aboli au Nouveau-Brunswick.
Mais on ne peut pas en vouloir à Justin l’innocent...
Trudeau contre Radio-Canada
Il faut avoir la mémoire d’un poisson rouge ou celle du Québécois moyen pour ne pas éclater de rire en entendant Justin Trudeau défendre Radio-Canada contre le méchant Stephen Harper puisque le premier véritable ennemi de la télévision d’État, qui tempêtait contre elle et qui menaçait de mettre la clef dans la porte, c’était... le père de Justin Trudeau.
Et c’était à l’époque des grands concerts de l’OSM et du télé-théâtre de haut niveau (au lieu des soirées de commérage dominical ou de niaiseries musicales) que Trudeau père accusait la société d’État de «corrompre» le Canada.
Justin Trudeau est le chef du parti politique qui a commencé à taper sur Radio-Canada (ce repaire de méchants nationalistes comme René Lévesque) pour essayer de freiner l’avancement national du Québec, une tâche que Harper ne fait que continuer...
Mais bientôt, nous élirons Justin et, avec la légalisation de la marijuana, tous les péchés du passé disparaîtront. Sur ce, donc: joyeuses Pâques!
Êtes-vous en accord avec le discours actuel de Justin Trudeau ? 

Oliver promet le retour à l’équilibre

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Le ministre des Finances affirme qu’un budget de stimulation économique n’est plus nécessaire

3 avril 2015 | Hélène Buzzetti - Correspondante parlementaire à Ottawa | Canada
Le ministre des Finances, Joe Oliver, a profité de la visite d’une usine à Toronto pour faire son annonce.
Photo: Nathan Denette
La Presse canadienne
Le ministre des Finances, Joe Oliver, a profité de la visite d’une usine à Toronto pour faire son annonce.
Ce sera son premier, et Joe Oliver compte le rédiger à l’encre noire. Le ministre fédéral des Finances a annoncé jeudi que son budget 2015-2016 sera dévoilé le 21 avril prochain. Il renouera avec l’équilibre budgétaire, promet-il, malgré la chute des prix du pétrole.
 
« Ce ne sera pas un budget avec des coupes, ce sera un budget qui fournira des bénéfices aux Canadiens et qui encouragera la croissance de l’emploi. Mais nous n’avons pas besoin d’un budget de stimulation économique similaire à ce qu’on a eu pendant la Grande Récession parce que nous ne sommes pas en récession maintenant »,a déclaré M. Oliver. Pour faire son annonce, le ministre a profité non pas de la période de questions à la Chambre des communes, mais plutôt d’une visite d’usine à Toronto. « Il n’y aura pas de déficit », a-t-il assuré.
 
Il faut dire qu’en octobre dernier, alors que les sondages leur étaient défavorables, les conservateurs ont précipité l’annonce d’un bouquet de mesures fiscales destinées aux familles, d’une valeur de 4,6 milliards. Résultat : Ottawa ne prévoyait plus cet automne qu’un surplus de 1,9 milliard en 2015-2016. Depuis, le Canada a prolongé et élargi sa guerre en Irak-Syrie, qui lui coûtera un demi-milliard de dollars, tandis que le prix du pétrole a continué sa chute.
 
Fin des déficits
 
Si le budget — le premier depuis que Joe Oliver est devenu ministre des Finances — est équilibré, alors il mettra fin à la succession de sept déficits conservateurs. Depuis que Stephen Harper a pris le pouvoir en 2006, la dette canadienne est passée de 481 à 612 milliards, une hausse de 131 milliards, ou 27 %.
 
Plusieurs s’interrogent sur la capacité d’Ottawa de faire de nouvelles annonces dans ce budget tardif, reporté pour cause d’incertitudes économiques. Le gouvernement a en effet déjà dévoilé cet automne le fractionnement du revenu pour les familles et le remplacement du crédit d’impôt pour enfants par un chèque supplémentaire de 60 $ par mois. Le premier chèque ne sera envoyé aux parents que le 1er juillet, quelques semaines avant le déclenchement de la campagne électorale. Ce montant sera imposable, mais l’impôt ne devra être payé qu’au moment de remplir sa déclaration de revenus, en 2016. L’émission de chèques, par rapport à un crédit d’impôt, engendrera des coûts de 12 millions par an à Ottawa.
 
Lors de l’élection de 2011, les conservateurs avaient rendu plusieurs de leurs promesses (dont le fractionnement du revenu) conditionnelles à l’atteinte du déficit zéro. De la liste, il ne reste plus que l’instauration d’un crédit d’impôt pour les adultes pratiquant des activités physiques et le doublement du plafond annuel des cotisations à un compte d’épargne libre d’impôt (CELI), qui passerait à 10 000 $ par an.
 
Le gouvernement a par ailleurs été vertement critiqué parce qu’il a prévu une somme de 7,5 millions pour acheter de la publicité ce printemps vantant le budget à venir. « Le premier ministre est en train de prendre 7,5 millions de dollars pour faire la promotion de son budget et du Parti conservateur. C’est du mépris pour les contribuables au Canada », a déploré le chef du NPD, Thomas Mulcair.

UQAM Les professeurs débraient pendant une journée

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La négociation de la prochaine convention collective piétine, déplorent les enseignants

Le Syndicat des professeurs de l’UQAM a voté pour un mandat de deux journées de grève à être déclenchées au moment opportun.
Photo:
Le Syndicat des professeurs de l’UQAM a voté pour un mandat de deux journées de grève à être déclenchées au moment opportun.
Au lendemain de l’obtention d’une injonction contre certaines associations étudiantes qui bloquaient ses entrées, l’Université du Québec à Montréal était frappée jeudi par un débrayage d’une journée de ses professeurs.
 
Ceux-ci avaient d’ailleurs dressé des piquets de grève devant les différentes entrées de l’université, au centre-ville de Montréal, jeudi matin. Les professeurs devaient également participer à la manifestation étudiante prévue plus tard en après-midi contre les politiques d’austérité du gouvernement Couillard.
 
Le Syndicat des professeurs de l’Université du Québec à Montréal, qui représente 1200 enseignants, a voté pour un mandat de deux journées de grève à être déclenchées au moment opportun. La première de ces deux journées était donc exercée jeudi, alors que le long congé de Pâques commençait.
 
Au cours d’une rencontre avec la presse en matinée, la présidente du syndicat, Michèle Nevert, a affirmé que ses membres refusaient de faire les frais des politiques d’austérité du gouvernement Couillard qui sont imposées à l’université.
 
« On a une négociation de convention collective qui piétine, mais elle piétine parce qu’elle est liée à des compressions budgétaires, elles-mêmes liées à une politique d’austérité contre laquelle nous nous opposons fermement, à la fois celle du gouvernement et celle de la politique d’austérité qui est imposée à l’intérieur de notre université par la direction », a protesté Mme Nevert.
 
La convention collective des professeurs de l’UQAM est échue depuis le 31 mai 2013.
 
Deuxième journée à venir
 
Mme Nevert n’a pas voulu dire quand la seconde journée de débrayage prévue serait exercée. « C’est un coup de semonce ; c’est un avertissement sérieux qui est donné à notre direction. Pour le moment, nous avons décidé d’une date, qui est celle d’aujourd’hui. Par la suite, nous allons voir. Ce que nous espérons, c’est que justement, cette journée ait des incidences », a confié la présidente du syndicat.
 
Les négociations se poursuivent tout de même entre les parties.
 
« Le fait qu’il y ait un manque à gagner, le fait qu’il y ait des compressions budgétaires qui sont imposées ne signifie pas pour autant qu’il s’agisse d’un déficit pour l’université », argue Mme Nevert. Les professeurs souhaiteraient que d’autres choix soient faits en matière budgétaire par la direction de l’université.
 
Du côté de la direction de l’université, on disait vouloir laisser le processus de négociation de la convention collective suivre son cours. La direction de l’UQAM a fait savoir qu’elle ne voulait pas commenter publiquement la journée de débrayage de ses professeurs, afin de ne pas interférer dans ce processus.

DANS LA RUE CONTRE L'AUSTÉRITÉ Les étudiants n’étaient pas seuls

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Plusieurs dizaines de milliers de jeunes, professeurs, pompiers ou simples citoyens ont défilé dans les rues du centre-ville de Montréal


Aidée par la météo clémente en après-midi, la manifestation s’est déroulée dans la bonne humeur générale.
Photo: Jacques Nadeau
 Le Devoir

Aidée par la météo clémente en après-midi, la manifestation s’est déroulée dans la bonne humeur générale.

Ils ont été des dizaines de milliers — jeunes, moins jeunes, étudiants, mais aussi professeurs, pompiers ou simples citoyens — à défiler dans les rues du centre-ville de Montréal, jeudi après-midi, pour protester contre les mesures d’austérité imposées par le gouvernement Couillard. Une manifestation qui s’est déroulée dans la bonne humeur générale, et dans le calme la plupart du temps, qui visait à envoyer un message clair au gouvernement libéral : il faut que ça cesse.

Les manifestants ont paralysé une fois de plus le centre-ville de la métropole dans l’objectif de mener le gouvernement à plier, jeudi soir, à partir de 20 h. Au moment d’écrire ces lignes, aucun débordement majeur n’avait eu lieu.

En après-midi, l’appel à la manifestation nationale contre l’austérité lancé par l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) avait été entendu par plusieurs dizaines de milliers de personnes.

Le rassemblement a pris naissance aux environs de 13 h au square Victoria. Près de 135 000 étudiants se trouvaient en grève en vertu de nombreux mandats de grève adoptés dans des universités et cégeps de l’ensemble de la province, a tenu à rappeler la porte-parole de l’ASSÉ, Camille Godbout, au tout début de la marche. « 135 000, ce n’est pas rien. On veut forcer [le gouvernement] à réagir. Il est grand temps qu’il aille chercher de l’argent là où il y en a réellement », a-t-elle expliqué, ajoutant que les cégépiens et universitaires ont l’intention de « continuer [à] augmenter la pression de plus en plus » afin de pousser le gouvernement à revoir ses politiques. Après la manifestation du 2 avril, « on va continuer de se mobiliser », a-t-elle promis.

Camille Godbout n’était pas la seule à vouloir transmettre ce message. De nombreuses centrales syndicales et des organismes des milieux communautaires et militants étaient aussi de la partie, tout comme Naomie Tremblay-Trudeau, cette jeune femme de 18 ans ayant reçu un tir de gaz lacrymogène en plein visage, la semaine dernière, lors d’une manifestation tenue à Québec.

Pas d’itinéraire

« Ce gouvernement est illégal : il n’a pas donné son itinéraire », soulignaient de nombreuses pancartes présentes tout au long du parcours, évoquant avec ironie le règlement municipal P-6, qui exige des manifestants qu’ils déclarent leur itinéraire. Ce qui n’avait d’ailleurs pas été fait pour la manifestation nationale, a tenu à préciser l’ASSÉ.

La foule a déambulé dans les rues Robert-Bourassa, Sherbrooke, Saint-Denis, Cherrier, Berri, et Maisonneuve, au centre-ville et dans le Quartier latin, avant de se disperser aux environs de 15 h.

Rencontré sur la terrasse du Café Cherrier, le chef de l’endroit, Christian Darroman, regardait avec une certaine admiration la foule nombreuse qui défilait devant son restaurant en milieu d’après-midi. « Est-ce que ça nous dérange ? Il y a trois ans c’était plus compliqué avec les terrasses, mais on n’a pas ce problème aujourd’hui », a-t-il indiqué, alors qu’il saluait les manifestants.

Dans la fin de la soixantaine, la Canadienne d’origine égyptienne Nadia Alexan tenait à être de la manifestation. Munie de sa pancarte anti-austérité, elle a accompagné les étudiants pendant plusieurs kilomètres. « Vous avez le 99 % qui n’a rien, et le 1 % qui veut s’accaparer tout, comme Philippe Couillard. Ça ne marche tout simplement pas. […]L’université n’est pas une entreprise », dit-elle.

Venue de la Rive-Sud de Montréal, Sophie-Leblond Lessard faisait partie de ces milliers de personnes qui s’étaient déplacées, souvent par autobus nolisés, pour assister au grand rassemblement du 2 avril. « Le printemps 2015, ce n’est pas celui de 2012. Cela touche toutes les sphères de la société, pas juste le milieu de l’éducation », insiste-t-elle. Contrairement à ce qu’évoquait le comité exécutif de l’ASSÉ en début de semaine, le mouvement n’aurait pas avantage à effectuer un « repli stratégique » jusqu’à l’automne afin de militer aux côtés des syndicats, selon elle. « On peut faire les deux. »

Même si une bonne partie des manifestants a quitté les lieux après la fin officielle de la marche nationale, vers 15 h, un groupe composé de quelques milliers de protestataires a par la suite occupé la place Émilie-Gamelin et les rues environnantes pendant un peu moins de deux heures, avant de se disperser progressivement, à la suite de pressions effectuées par les policiers, dont les jambières et les boucliers arboraient eux aussi des slogans anti-austérité. À l’angle de Maisonneuve et d’Amherst, dans le village, les policiers n’ont pas hésité à sortir le poivre de Cayenne pour forcer certains manifestants à battre en retraite.

« On n’a rien volé, nous ! », scandaient alors narquoisement la foule, reprenant, en réaction aux barrages de l’équipe tactique du Service de police de la Ville de Montréal, la formule utilisée ad nauseam par les employés municipaux. Un noyau dur comptant de quelques centaines de manifestants a par la suite été dispersé vers 17 h, lorsque le SPVM a déclaré« illégal » le rassemblement, après avoir donné trois avis.

Retouvé vivant après 66 jours dans l'Atlantique

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Publié par Associated Press le vendredi 03 avril 2015 à 04h29. Modifié par Jean-François Cyr à 06h37.
Retouvé vivant après 66 jours dans l'Atlantique
mer./Photo: Associated Press,
 Steve Earley
Le marin âgé de 37 ans avait quitté la marina de Conway, en Caroline du Sud, le 23 janvier, Il a été retrouvé après plus de deux mois en mer.
CHARLOTTE, N.C. - Un homme qui était porté manquant dans l'océan Atlantique depuis 66 jours a été retrouvé mal en point mais vivant, jeudi, au large de la Caroline du Nord.
C'est l'équipage d'un porte-conteneurs allemand qui a aperçu Louis Jordan assis sur la coque de son voilier renversé à environ 200 kilomètres à l'est du Cap Hatteras.
Il a été pris en charge par l'équipage qui a organisé son retour sur la terre ferme en réclamant l'aide d'un hélicoptère de la Garde côtière américaine.

Louis Jordan a été transporté jeudi soir dans un hôpital de Norfolk, en Virginie. Il souffrait d'une blessure à une épaule et de déshydratation.

Le marin âgé de 37 ans avait quitté la marina de Conway, en Caroline du Sud, le 23 janvier dernier mais depuis, personne ne l'avait vu ou en avait entendu parler.

Il semble qu'il ait survécu à sa mésaventure en mangeant du poisson qu'il parvenait à capturer.